L'idée de ce cycle était d'interroger des personnes, des... On me faut qu'il y en ait beaucoup de réfléchis à cette question. Ça va rire qui est Jésus? C'est une question énorme. L'idée à l'origine était de rencontrer... Voilà, différentes sensibilités. Aujourd'hui, on va écouter Christoph Theobald, prêtre Jésus-Huit, théologien, spécialiste du concilvate sac qu'on va discender et la théologie fondamentale.
On avait sollicité un pastor et professeur d'exégès protestant pour parler plus de détectures, Daniel Margurable, il a du seulement annulé puisqu'il avait un autre empêchement. Cette conférence est annulée. Il y aura une prochaine conférence, le mardi 26 mars, que je recommande déjà de venir, avec un professeur d'histoire de l'université de Telle à Ville. C'est pas le d'Anja Fé et qui est spécialiste de l'histoire du milieu juif au premier siècle, la Fégésu Pry.
Donc en fait du milieu dans lequel Jésus a grandi et été spécialisé dans lequel il a lu sa vie publique. Et donc, d'Anja Fé nous permettra de répondre, de questionner un peu la figure de Jésus, de façon un petit peu excentrée, parce que lui évidemment n'est pas chrétien. Mais il s'est intéressé à cette figure du rabin, du rabie, Yèchois, à l'intérieur de la constélation des controverses rabiliques de l'époque.
Donc il se aura aussi un peu nous dire qu'est-ce qu'on les recherche récentes sur cette question de la différence entre Telle et Jésus et les critères au premier siècle, qui était en fait plus faible que son coïnaginé quand on m'a dit les écratures. Donc merci beaucoup à Christophe Théobal de être parmi l'humour aujourd'hui. Si je ne me trompe pas le titre de la conférence, c'était rencontré Jésus dans le glisse virgule et au-delà pour une interrogation.
Donc je vous demanderai d'être bien silencieux, parce que c'est pas magnifique, mais on a l'habitude au-delà de faire des conférences convigielles dans lesquelles c'est la voix qui est importante et qui porte. Et donc peut-être vous laisser Christophe 45-50 minutes quelque chose comme ça, il n'y a pas de strict pour avoir des échanges avec la salle. Merci à tous et de vous. Voilà, bonsoir à tous et à tous. Donc merci Pierre-Louis, merci d'auroté pour la cueille.
Je vais vous parler de Jésus. Alors c'est déjà comme en dire dans les glises, c'est assez rare qu'on utilise simplement le terme Jésus, souvent on met un trait du lien, on parle de Jésus Christ.
Et donc toujours avec le risque, doubleiller que c'est un personnage, quand on peut parler, j'ai dit Rédenpoin de l'histoire, ce que je vais faire aussi un peu plus, même je ne suis pas, j'ai dit Ré d'abord historien, mais théologien, mais aujourd'hui un théologien qui veut faire un travail qui veut réfléchir sur Jésus, il doit aussi évidemment faire un peu, j'ai dit Ré de l'histoire.
Alors vous êtes sans doute spirituellement situés différentes, de manière différente, je vais aller d'une manière très progressive.
Alors le titre rencontré Jésus comme a donné, c'est un titre aussi assez inabutuel, parce que évidemment la rencontre, ça suppose qu'on connaît déjà un peu quelqu'un, peut-être en le rencontre à l'impoliste, dans la rue, on entend peut-être parler de lui, on dit quelque chose sur lui, mais une vraie rencontre c'est toujours à début pour connaître le personnage un peu plus.
Et donc voyez il y a la fois une question historique et que veut dire connaître un peu plus et que veut dire réelbon connaître la personne. Et donc ça c'est le versant si vous l'est spirituel, je dirais de la question que je vais aborder ce soir avec vous.
Alors je vais procéder en trois temps, premier temps rencontré Jésus, je vais d'abord parler de cet rencontre, mais je vais essayer d'en parler d'abord de manière un peu historique, qu'est-ce qu'on sait de lui, qu'est-ce qu'on peut dire aujourd'hui, de lui, de ce personnage finalement assez bien documenté et dans l'histoire.
Et après, ça sera la deuxième partie, il y a un car four, une bifurcation et où, si vous voulez, j'ai dirais, vont paraître différentes manières de reconnaître et de rencontrer ce personnage. Et c'est seulement dans ma dernière partie que je vais parler de l'Église, rencontré Jésus dans l'Église. Et on avait pas mal discuté de la thématique parce que d'abord la première formulation que tu vas proposer,
c'est rencontrer Jésus dans l'Église. Ah, j'ai disais, je espère qu'on peut le rencontrer aussi ailleurs. Et du coup, voyez, il y a ce haut de là qui est sorti finalement dans le titre. Je vais un peu préciser ça dans la deuxième partie, bifurcation, on s'a veut dire ça, c'est-à-dire, il y a un choix à faire et finalement parler rencontré de Jésus, rencontré dans l'Église comment. On peut être un peu, je dirais, ce que nous allons faire ce soir.
Alors, rencontrer Jésus, le connaître, premièrement, qu'est-ce qu'on peut dire de l'humour historiquement? Qu'est-ce qu'on peut rentir? Alors les historiens, il y a beaucoup, il y a notamment un certain John P. Mayer qui a fait peut-être la recherche la plus étendue aux états-unis et il y a de morir l'an dernier. Je pense qu'on doit avoir six volumes de sa recherche et manque malheureusement le septième le dernier.
Mais j'ai dit à ce qui est très intéressant dans son affaire, il précise la question de la date de la mort de Jésus. La date la plus hautement probable si j'ai fait dire, il y en a deux, soit le 7 avril 30, donc un vendredi, soit le 3 avril 33. Vous voyez, ça c'est si volé, je dirais un peu de rélémence pour un historiel, la fin de ma vie de cet homme. La crucifixion. Je reviendrai tout à l'heure au procès de Jésus. Qu'est-ce qui a pu se passer?
Et l'autre date évidemment le début sans doute Jésus est élevé à Nazareth. Je espère que je vous choc pas à Nazareth. Le Nazariat, comment il dit aussi, c'est le nom qu'on lui donne. Jésus, vous voyez, ça rappelle, Jésus a, vous voyez, qui a conduit le peuple de l'exode vers la terre promise.
J'achois bien au sein de nous, et donc un autre élément important qu'on a de son histoire, il est son autre partie à mon moment donné au bord du Jordan, où il y avait la sèque de le groupe du baptiste, près de Pondrand, pas très loin, et où il s'est inséré dans ce groupe. Et donc, on l'appelle aujourd'hui, les historiens disent, le baptiste, genre, était le mentor de Jésus. Et donc une première question qui est extrêmement intéressante historiquement, pourquoi s'est-il séparé du baptiste?
Pourquoi s'est-il séparé? Et vous voyez, c'est d'une séparation extrêmement paisible. Il n'y a aucune concurrence entre les deux. Et Jésus, dans la suite, j'ai dit, des textes, on peut observer ça, parla avec beaucoup de admiration, c'est le plus grand des prophètes de lui. Mais il y a une différence qui apparaît ici et qui sera historiquement aussi spirituellement et théologiquement assez décésive. Quand vous regardez les textes, le baptiste a eu une prédication, j'ai dit, de la colère de Dieu,
on dit aussi, une prédication apocalyptique. Il y a un lieu, vous donne encore une dernière chance, et si vous ne vous convertissez pas, c'est le malheur qui va tomber sur vous. Et donc c'est le baptême de repentance, etc. Et sans doute, Jésus avait pu aussi se battre. Mais vous voyez tout de suite la différence, tout à fait décésive, et merge ici entre le baptiste, parce que l'évangile de Jésus, c'est-à-dire équipe le Jourdaire, et il va engaliller au bord du lac,
de gali-lé, qu'à faire d'hommes, toute cette région-là. Et au fond, il refait le littilèrère de Jusse-Wa, pardon, de ce prophète qui entre dans la terre promise. Et ça, c'est le message principal de Jésus, Dieu s'est approché, et ça, c'est l'évangile, une nouvelle de bonté absolue, de bonté radical, une nouvelle gilienne de tendresse et de miséricords de son condition. Et c'est avec ça qu'il est entré dans la gali-lé de son départ et rassembler les gens autour de lui.
On va guérir un premier élément bien à repérer à la fois Jésus, une admiration pour son maltorte, et une prise de distance sur le fond, parce que c'est la question de Dieu qui est ici tout à fait en jeu. Donc vous avez, si vous voulez, j'ai dirait un peu les deux extrêmes, et vient très vite de sa vie, donc chez le baptiste, la crucifixion, et vient très rapidement la question, évidemment, mais pourquoi a-t-il été vis-à-mors? Voilà. Et je reviendrai un peu tout à l'heure, évidemment,
j'ai dirait à cette question tout à fait centrale. Donc rencontrez Jésus pour étendre dire, pour point où nous sommes, c'est mon premier petit point, c'est d'abord, comme en dire, le connaître dans sa différence par rapport au baptiste historiquement. Alors que peut-on dire deuxième point,
maintenant, de sa présence, de sa présence, en gali-lé? Alors les historiens vont vous dire beaucoup de choses, peut-être, rien ne l'a fait va y revenir, parce qu'on a beaucoup de recherches sur le monde économique de l'époque, sur la question des impôts, en gali-lé, le double à un pauvre pour le temple, et pour les romans, c'est un pays occupé. Donc il y a la question religieuse et politique de l'époque.
Il y a beaucoup de questions qu'on peut aborder ici. Alors moi, je vais essayer de vous montrer, dans ce deuxième point, c'est-à-dire comment Jésus a-t-il vécu son ministère, son service, soyez ministère, c'est une traduction du terme service, comment c'est-il compris lui-même, qu'est-ce qu'on peut en dire, et comment il a vécu son ministère? Et là, on peut dire d'abord plusieurs choses. Vous voyez, il y a un terme clé qui est merge ici, qui va nous accompagner, c'est le terme autorité.
Si vous connaissez un tout petit peu les récits évangéliques, vous voyez, ça paraît très très vite ce terme. Il n'a pas parlé comme les scribes et les pharisiens, mais il a parlé en homme d'autorité. Et c'est vrai, je dirais, les gens ont reconnu très très rapidement parce qu'ils avaient un sens comme nous aussi. Je dirais pas rapport à la crédibilité de quelqu'un. Et donc, et plus tard, on a appelé ça,
c'est l'autorité, un homme qui parle en autorité. Alors, qu'est-ce qu'il caractérise au fond cette autorité de Jésus? J'ai dit, d'abord, il ne sait pas comment dire son trait sur lui-même, viens ici. J'ai dit, ce qui l'appelle, l'évangile du règne de Dieu, l'évangile du règne de Dieu. C'est-à-dire la notion de l'évangile. On pourrait dire, pour traduire un peu, oeil, angélion, oeil veut dire bon.
Et angélion, on connaît peut-être Angèle, c'est-à-dire, l'ange, c'est-à-dire, c'est le message d'une bonne nouvelle. Ça vient d'isaïe, du prophète Isai. Et il renvoie toujours à cette nouvelle, d'une radicale bontée. D'une bontée absolue. Et donc, voyez, dans l'ambiguité, comme on comprendre la relation à Dieu, il y a donc une décision qui se prend et qui est tout à fait décisive. D'ailleurs, Dieu est d'abord un lieu de bonté radicale,
un conditionnel, un conditionnel. Et donc, il y a une sorte de retour, d'ailleurs, au premier essai de la Bible, la Genèse, vous rappelez, et il y a ce rythme, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon et à un moment donné, ça se termine, c'est très bon. Et donc, l'Oé Angélion, l'évangile, c'est au fond, c'est le nouvel d'une bontée, d'une bontée radicale, et il faut bien dire que c'est une nouvelle exorbitante dans un monde où le mal existe évidemment.
Sous les différentes forts, d'espace, la malle a dit, le malheur, c'est-à-dire ce qui tombe sur nous, à tel au tel moment, d'une manière subite, et tout à fait, il attendu, et évidemment, la malle veillance, la malle veillance, vous avez d'autres, le mal qu'on peut se faire aux autres. Et vous voyez, vous sentez toute suite que j'ai dit, dans cette annonce ici, il y a quelque chose d'utiliser le terme exorbitant,
qui est excessive, qui émerge dans son existence. Et du coup, on peut aussi comprendre tout de suite que cette nouvelle personne ne peut l'annoncer en son propre nom, et même Jésus, l'est texte le disse-trainait clairement, et la jamais annoncée, cette évangile en son propre nom, comme le père m'a envoyé, je vous envoie, etc. C'est-à-dire, il serait fait à Dieu l'évangile de Dieu pour attendir, ça c'est le nouveau testament qui relie les deux, ou Dieu comme évangile.
C'est extrêmement important de dire aujourd'hui où le mot Dieu est tellement instrumentalisé, qu'on revient, si vous voulez, à ces dacts fondamentales, se lient un tune entre bonthe et inconditionnel et ce mot Dieu. Alors on peut dire que le ministère de Jésus consiste en galilée, qu'un système précisément à rendre cela crédible. Par sa présence, au près de qui conne? Et alors pourquoi peut-on se demander ici?
Ça a été reçu. Pourquoi ça a été reçu? Après, évidemment, le conflit qui émerge très très vite, je reviendrai. Pourquoi ça a été reçu? Je dirais, il y a en fond trois victoires qui caractérisent le personnage ici et qui peuvent vraiment, je pense, nous, nous intriguer, très simplement, premièrement le rapport, comme on le dit à lui-même. Je résume très rapidement pour simplifier, Jésus a toujours dit ce qu'il a pensé et fait ce qu'il a dit.
Vous voyez, c'est sûr de ne concordance. Et on est très sensible, nous aujourd'hui, aussi à ça, parce qu'on le perce va tout de suite, n'est-ce pas? Est-ce qu'il y a cette concordance ou est-ce qu'il y a quelque part un mensonge qui s'infiltre dans le personnage? Ça c'est premier élément. Je dirais le deuxième élément, on pourrait parler en termes d'empathie. C'est-à-dire sous les deux verses, avec les deux versants de l'empathie, c'est-à-dire à la fois la compassion et en même temps,
je dirais la sainte patie pour le voyez. C'est magnifique, je dirais avec ces mots ce qu'on peut ce qu'il dise finalement. Les entrailles pour être en dire, c'est un homme qui a des entrailles pensé à la parabole. J'y dirais du bon Samaritan, il y en a un premier qui passe, c'est le deuxième qui passe. Et finalement, un troisième, le bon Samaritan, l'étranger, montre des entrailles et la des entrailles. Et ça, si vous voulez, j'y dirais le deuxième aspect de sa crédibilité.
Et il y a un troisième aspect, vous voyez, jésus, je prends les évangiles synoptiques parce que le quatrième évangile jaanique est déjà très tardique et c'est une sorte de recomposition.
Mais dans les synoptiques les trois premières évangiles, Jésus ne parle jamais de lui-même. Il parle toujours de quelqu'un en troisième personne, le fils de l'homme, les poules, etc. C'est-à-dire pour créer une sorte d'espace de, j'y dirais, de liberté radicale, où ce et celle qui vient à sa rencontre puisse réellement se prononcer par rapport à lui.
Voilà, je pense que c'est ça si vous voulez qu'il caractérise très fondamentalement cette crédibilité qui l'assue, j'y dirais réellement mettre en œuvre, et quitte une manière au fond de rendre non pas lui-même crédible, mais de rendre cet évangile du règne de Dieu crédible. Je ne sais pas la Dieu, c'est approcher, Dieu, c'est approcher. Et vous sentez tout de suite cette extraordinaire différence par rapport au plus grand des prophètes, c'est-à-dire le baptiste.
Alors, tout ça se fait évidemment, j'y dirais dans un réseau de rencontres. On peut citer, si l'autre est en hospitalité, qui, à mon avis, dit au fond, j'y dirais le mieux d'exercices de 100 ministères. C'est-à-dire il y a quelques maisons, notamment à Caffernas, la maison de la belle mère de Pierre, et ensuite Bethany, c'est-à-dire très de Jérusalem. Mais Jésus était un itinérant, mais on peut être itinérant quand on a une base de départ et de retour, vous voyez.
Et donc très vite, se crée autour de lui au fond des gens qui sont dans les maisons, et il y a, j'y dirais ceux qui prennent la route, je dirais, avec lui, j'y reviendrai un peu tout à l'heure. Et au coeur de ça, il y a une expérience d'ospitalité. Vous voyez le propre de ces dépistres ébrux qui a une formule extraordinaire dans le chapitre 13.
Je pense que c'est au verset 2, si vous voulez chercher, soignez bien l'ospitalité, parce qu'il est arrivé à certains de recevoir des angelois et des anges sans le savoir. Et vous voyez ça, c'est le propre générait de l'ospitalité qui pré-suppose une sorte de vulnérabilité, pendant Montal. C'est-à-dire, on a coïd à l'improviste aujourd'hui, celui qui arrive qui se présente et en français, c'est pas dans beaucoup de langues, on a cette possibilité, on sait jamais qui est haute.
Est-ce que c'est celui qui a coïd? Vous voyez l'ospitalité, évidemment, réussit, quand celui qui a coïd devient lui même celui qui a coïd. Vous voyez cette sorte de mutualité et c'est au fond ça si vous voulez cette sorte de dutopie réalisée qui se vit, j'ai dirais dans ce pays, j'ai dirais de galiller autour de la dulac. Alors il faut tout de suite ajouter que l'ospitalité, c'est quelque chose, nous le savons très bien aujourd'hui, quelque chose de tout à fait dramatique en même temps.
Parce que qui va frapper à la porte? Est-ce que c'est la mi? Ou est-ce que c'est un ennemi qui va frapper à la porte? J'y reviendrai tout à l'heure à cette question, j'y dirais tout à fait centrale autour de la fin de la vie de Jésus. Alors peut-être encore une dernière marque ici avant de parler de la mort et du procès de Jésus, une dernière marque. Comment Jésus a-t-il exercé son ministère? De rendre présent l'évangile de Dieu? Il y a au fond trois choses qu'on peut dire ici, trois actes.
La première chose, les historiens, la pèle tomaturge, si vous savez ce que c'est un crematurge, c'est-à-dire un guerriceur. Vous voyez, il a guerri, il a guerri les gens et si vous voulez, ça c'est quand même génial à toute première chose qu'on va dans les évangiles. Alors pourquoi c'est si important? Pourquoi c'est si important?
Parce qu'évidemment, j'y dirais, accéder à la bonne terre radicale de Dieu, c'est le plus difficile quand on est marginalisé dans la société, quand on est malade, etc. Quand on est victime d'une agression, d'une maladie, etc. Et donc, il y a d'ombre les chers jésus, cette intérêt pour les derniers, pour les plus blessés et les plus fragilisés dans la société.
Parce que c'est peut-être facile d'entre guillemets, de faire entendre cette nouvelle de bonnes thé radicales, c'est-à-dire ta vie est gardée et s'en gardée à des gens qui sont des bien-portants. Et il y a toujours cette formule, les bien-portants n'ont pas de médecin, voilà. Mais comment faire entendre cette nouvelle adéjant, voilà, ils ne sont pas bien-portants? Et donc là, on a toute une tradition, qu'on appelle tradition messianique, que Jésus reprend, j'ai dirais ici.
Et on pourrait dire, moi j'aime bien dire ça, au fond, et la l'art de communiquer sa propre santé à d'autres. Et voyez la santé, j'ai dirais, à l'époque, on a un peu perdu, on le retrouve peut-être aujourd'hui, cette idée d'une santé intégrale vous voyez, qui n'est pas uniquement une santé physique, mais aussi une santé psychique, c'est-à-dire qu'il concerne l'intégralité de l'être humain. J'ai dit à d'autres la création.
Et c'est exactement ce qui se passe, parce que pour Jésus, la clé de cette santé, de ceux et de celles qu'il guérit, c'est leur foi. Vous voyez une fois extrêmement simple et élémentaire, cette magnifique formule qui est tout à fait originale, j'ai dirais chez lui, ma fille, mon fils, c'est ta foi qui est assauvé. Vous n'avez pas cette idée, Jésus comme sauveur ici, si il est sauveur au sens où il suscite dans l'auterie, j'ai dirais des forces d'autogérison. Je le traduis de cette manière-là.
Et j'ai dit à le cœur de l'autogérison, c'est finalement cette acte de foi très élémentaire, j'ai dit à la vie, ça vaut la peine d'être vécu, vous voyez. C'est ça, j'ai dirais l'évangile, la nouvelle de bonter radicales, inconditionnelles, exprimées ici d'une manière très personnelle et ludique par rapport à chacun.
Et c'est d'ailleurs assez étonnant, je ne vais pas entrer dans le détail de ça, mais les linguistes et les gens des sciences de la littérature l'ont souvent observés, les évangiles, c'est une littérature très curieuse. C'est une bonne vustillistique parce que c'est Eric Hawa-Barr qui a fait pour la première fois la fin d'un deuxième guerre mondiale, c'est d'analyses.
Parce que comme on dit dans la culture grec, il y a la haute littérature qui est une littérature biographique des héros et comme on dit le barp-uple entre guillemets, comment on disait à le droit à la satire, à la réduqualisation.
Et là, il y a une sorte de d'emergence dans cette galilée, d'un rapport à tout être humain dans son université, dans sa fragilité, sa blessure, etc. Et donc c'est dans la rencontre avec Jésus que ce communique, j'ai dirait, sa propre foi, sa propre foi, à ces personnes. Bon, Fils, ma fille, donc ça c'est une relation d'engendrement, c'est ta foi qui t'a sauvé. Dans un espace, j'ai dirait hospitalier. Ça c'est première chose ensuite, évidemment, c'est un poète, un paraboliste, comme on dit.
Il y a 36 paraboles, comment bien. Mais Jésus a raconté les paraboles de telle manière que d'autres en peuvent inventer. Les historiens nous montrent qu'une seule, une petite partie des paraboles que nous connaissons aujourd'hui sont de Jésus. Mais il y en a bien d'autres que les premiers critères ensuite inventés. Ça veut dire qu'il a fait de la poésie, il a raconté ces petits histoires que vous connaissez, de telle manière que ça donne le goût à d'autres d'inventer d'autres.
De susciter une créativité. Alors ces paraboles, évidemment, sont adressées à chacun. Et c'est, au fond, j'ai dirait une manière de nous montrer par une parole poétique, que nos sens, qui s'agissent de nos oreilles, nos yeux, le toucher, le goût, etc. Sans des sens qui sont souvent obturés et ça fait partie aussi de notre maladie. Et les paraboles ont cette fonction, comme tout un coup, les aveuglevois, les sourntent en quelque chose.
Du mystère, j'ai dirait de la réalité et de l'existence humaine et de la création. Et le troisième type de présence évangélique de Jésus, c'est ce qu'on pourrait appeler sans discours éthique, vous voyez, que vous trouvez par exemple dans le serment sur la montagne. Évidemment, comme je vif de son époque, Jésus a totalement respecté la loi, la loi de Moïse.
On a parfois dit le contraire, mais ça paraît de plus en plus clair, j'ai dirait aujourd'hui, c'était un juif pure, si je puis dire, qu'il y a un respecté de la loi de son époque. Mais voilà la différence, il était parfaitement conscient que intimer la loi, ça ne reçait rien. Ça ne reçait rien.
Et comment dire que le problème de l'existence et le problème de l'évangile, de cette nouvelle de bonhe thé radicales inconditionnelles, c'est de permettre aux personnes de trouver le goût du bière, de faire le bière avec du goût de se réjouir du fait. Et on retrouve ça à travers tous les textes finalement. Et donc ça s'inscrit évidemment dans la grande tradition de Biblique de l'époque de Jésus.
Mais lui donne quand même, j'ai dirait, ici, une couleur et plus que une couleur, une insistance tout à fait particulière. Alors ça nous conduit donc finalement vers le dernier point, mais pourquoi finalement, oui, la crucifixion? Qu'est-ce qu'il y a pu se passer? Et donc on va bien, j'ai dirait, c'est peut-être la chose la plus mystérieuse dans l'histoire.
J'ai dirait de notre humalité, peut-être nous les prouvant aussi parfois, dans une des prédications de pierres, dans les actes des apôtres, il dit, il a traversé le pays en ne faisant que du bière. Comment quelqu'un qui ne fait que du bière peut-il susciter des réactions? Alors c'est une sorte de dénique, mais j'ai laissé l'énique, mais du mal finalement. Auquel on n'a pas, j'ai dirait de réponse à cette question.
En tout cas, c'est ça ce qui s'est produit, c'est-à-dire des conflits, on particulier avec ce qu'on appelle la casse s'assère d'autal. Vous voyez, les saduciens qui est cette casse qui tient l'autorité liturgique et d'octrinal dans le temple. Et qui se caractérise par un élément tout à fait d'excésif, c'est-à-dire comme écriture sainte, il n'accepte que le pantateuque, avec évidemment le lévité, je dirais, au centre. Et donc, c'est au fond progressivement un conflit qui se nécine avec ce groupe.
Alors, pour les pharesiens, j'ai dit à les historiens, nous disons aujourd'hui, c'est plus ambivalent, parce que finalement, qu'est-ce que c'était les pharesiens, c'était des géniaux pédagogues, qui disait très bien, j'ai dit, la loi c'est bien, mais il faut éduquer le peuple. Et donc, ils ont construit les synagords, elles peuvent vous voyez, c'est les curés comme en dire synagogôts, de l'éproc pour étendir. Et donc, au fond, j'ai eu été assez proche, n'espérés, on voit qu'ils mangent avec eux,
et il est quand même en conflit aussi avec eux. Et il y a un déclencheur. Il y a un déclencheur, c'est-à-dire de ce conflit qui conduit vers la fin, c'est son geste prophétique dans le temple. On vous rappelait de ça, n'est-ce pas, j'ai dit à dire, la maison, il cite la maison de mon père, est une maison de prière, il renverse les tables des gens avec leurs monnaies, etc. Donc, un geste, je dirais, pourrait dire d'une douce violence.
Mais quand même, c'est un geste assez violent et il faut voir comment dire que les prophètes de l'ancienne testament posaient des gestes prophétiques. C'est le sorte de comment dire ça, je dirais, je pense qu'il y a une traduction de cette célèbre formule que Saint-Jean nous rappelle, le zèle de ta maison me dévoire et Martin Luther traduit le zèle de ta maison me bouffe. J'ai dit, c'est l'engage un peu que ordinaire au XVIe siècle. Et il y a quelque chose de ça chez Jésus, vous voyez.
À un moment donné, j'ai dit la force de l'évangile, l'invite tellement, comme tout je vais, il va à Jérusalem et à donc la suggeste. Et donc, on lui fait le procès de faux prophètes. Et ça, c'est fondé dans le... Comment dire, dans le deux te renormes, vous trouvez ça. Le procès de faux prophètes, voilà un faux prophète. Et vous voyez, il y a une frontière extrêmement, je dirais, fragile entre l'autorité, je reviens au point de départ et la présomption.
En lui fait, je dirais ce qui caractérise le faux prophète, c'est la présomption. Et si vous regardez les textes, c'est, au fond ça, je dirais, le titre d'accusation, qui revient. Donc, on lui fait le procès. Et alors, la question que les historiens se prouvent, mais pilates n'est pas d'avérer à avoir avec ça. Comment pilates prouvent-ils être entraînés? Et alors là, il y a le passage, vous avez le titre de la croix, qui est absolument historique, Rex, you, there, or, le roi des juifs, voilà.
Ce qu'on appelle des titos lo-scrouches, c'est le titre de la croix et chez sagesant, on a met dans les vengées de gens, on a même des trois langues. C'était en débreu, en grec et en latin, que c'est affiché. Et donc, on passe du faux prophète, la présomption, vers la prétention à la royauté.
Et donc, les historiens nous ont montré quelque chose d'absolimement remarquable, parce qu'on a maintenant énormément de documents juridiques, c'est-à-dire, pilates étaient obligées, pilates étaient obligées, je dirais, de confronter Jésus, et de dire, est-ce que tu es le roi des juifs? Et ce qui est spirituellement historiquement la chose la plus enigmatique, Jésus c'est tout. Le silence de Jésus pendant le procès.
Et donc, le silence signifient qu'il s'est accepté qu'on pable, et donc l'exécution a suivi. Alors, pourquoi je vous dis ça? Parce que évidemment, j'ai dit à un moment où les deux comme les notés, tu l'as évoqués tout à l'heure, commence à se séparer, et notamment après la destruction du temple, après ce façon d'ils, il y a une polybique énorme qui n'est entre les deux.
Et nous, nous sommes les héritiers, au fond de cette polybique, et j'ai dit à un certain antisémétisme aussi, qui est au anti-judaïsme, qui a été simplement clarifié le malier extraordinaire par le concil, va t'éconner. Et donc, voyez, c'est un à ce moment-là. Et donc, les historiens, et il faudrait interroger Yann d'affait là-dessus.
Et aujourd'hui, que les salutions, en fait, c'est pas une question de jalousie, uniquement, comme en dire, mais ils en fait, ce que selon leur propre doctrine, ils devaient faire. Le baptiste est un faux profet, et Jésus est un faux profet. Et également, ils ont passé le bébé, si je puis dire, à Pense Pilate, une situation de documentation, et Pense Pilate a fait ce qu'il fallait.
Et donc, voyez, j'ai dit à dire, dans les textes, si on les analyse un peu en détail, ce que font les linguistes et les historiens, j'ai dit à aujourd'hui, d'une manière tout à fait admirable, avec une grande probabilité, vous voyez. Apparaît à ce moment-là, précisément le mystère du personnage Jésus avec beaucoup de plus de force. Pourquoi il sait tout? Et les évorgélistes utilisent ensuite les psalms. Pourquoi c'est le tout?
Vous voyez, il n'a pas pris la posture de Socrates, par exemple, le procès de Socrates, qu'on est vôts que souvent en parallèle, et de s'est défendu. Et il ne prend pas la posture des quelqu'un qui est devant Pilate, il dit, mais ce sont des malentendus. Il aurait pu le faire, il se tait. Et vous voyez, c'est si vous l'aurez dit, l'ultime marque sur cette histoire, j'ai dit à l'oppone vie historique, il ne se défend pas parce qu'il attend tout de Dieu. Et il attend tout de Dieu.
Vous voyez, c'est là où il y a ce cri final, ça c'est commun, et vous voyez les premiers chrétiens, l'interprète différemment, il prenne l'Obsome 21, mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'a tu abandonné? Il prend l'Obsome, je pense 31, entre tes mains, je mets mon esprit, ou j'ai dans le 4ème évangile, voilà, j'aisoif, sur le 21, tout est accompli. Vous voyez, c'est une interprétation au fond, je dirais, de ce silence, qui se termine, je dirais pas à un cri.
Voilà, je pense que je viens de vous dire un peu, aujourd'hui, tout le monde qui se confronte un peu, honnêtement, avec ce personnage, peut dire ça. Alors, on peut le détailler, on n'a pas trop le temps pour ça. Alors, je reviens à mon deuxième point, maintenant, le deuxième partie, la bifurcation. La bifurcation. Elle consiste en quoi? Je viens de parler d'un personnage historique.
Alors, un personnage historique, vous voyez dans le midi-ster, a duré grosso modo, les historiens nous disent, peut-être deux ans et demi, c'est beaucoup. C'est déjà beaucoup. C'est la parabole de la plus petite cementse. Vous voyez? C'est un rien, un presque rien. Un bif, sur l'histoire de l'humanité. Un presque rien.
La parabole du la petite cementse, voilà, dans le sort, je dirais, le plus grande désordre de quel niche les voisons, etc. Donc, il y a effectivement une grande histoire qui a sorti, qui a la séparation plus ou moins violente des deux communautés, qui étaient très proches, et la bancaule au début, 70, la destruction du temple, la tradition critique n'existe.
Déjà, c'est déjà deux générations, et c'est à partir de la destruction l'incendie du temple que les communautés commencent, j'ai dirais, à se séparer et que la communauté chrétienne invente de nouveaux marqueurs d'identité. Donc, ce n'est plus la loi de pureté. Ça a le plus important. Donc, la loi de pureté qui sépare l'hospitalité, c'est la mixité sociale en le vois dans les communautés polignais. Ce n'est plus la circonsition, voilà, négatiquement.
Des rythmes nouveaux qui sont inventés à la fois le baptême, et notamment des rythes d'hospitalité, le manger ensemble, la scène, etc. Et donc, le point le plus important, le temple et la terre ne sont plus ennonges. Et donc, voyez, les communautés a commencé à séparer quand le judaïsme de l'époque, notamment, j'ai dit à les éloges, etc. Ce sont enfermés dans le temple pour le défendre contre l'éromain, les chrétiens n'ont dit c'est pas ennonges. La terre n'est pas ennonges.
La galilée ça peut être partout dans le monde, partout dans le monde. La galilée des nations, voyez, est reprête de cette formule. La galilée des nations. Et donc, elle sortit si voulait, j'ai dirait de ce bib de l'histoire, elle sortit longues histoire, j'ai dit elle, de 2000 ans, de deux communautés en conflit, les ghettos, les exterminations, les pogroms, j'ai dirait la choi et ceux à quoi nous insistons aujourd'hui. Donc, à la fois 2000 ans, c'est encore extrêmement proche.
Et donc, finalement, la bifurcation ici. En fait, aujourd'hui, une différence, et je crois qu'il y a beaucoup de chrétiens qui l'affront et beaucoup d'autres qui s'intéressent, je dirais, à ce personnage de Jésus, entre d'un côté la cause qui l'a défendue et la personne, la cause qui l'a défendue.
Et beaucoup de gens, je disais, dans nos cultures, on pourrait presque dire que les valeurs de la République, la légalité, la liberté, la fraternité, au fond, sont des résultats de la cause de Jésus, de ce qui l'a défendue, mixé tésocial, la solidarité, il y a quelques problèmes avec la fraternité, évidemment, la liberté, l'égalité de tous. Le campat pour les excluts, pour les plus fragiles, quand on va toutes les tentatives autour de nos législations sociales, etc., le débat sur les immigrés.
Et donc, on pourrait dire, c'est la cause de Jésus qui a survécu. Et beaucoup de gens pensent ça, mais voyez, c'est pas exactement la même chose que s'intéressait à la personne de Jésus. Vous voyez comment la notion de rencontrer Jésus ici commence à se différencier. Pourquoi je m'intéresse à lui aujourd'hui? Est-ce que c'est pour ceux qui l'a défendu et pour ceux qui les morts? Où est-ce que c'est de sa personne?
Vous voyez, c'est là où apparaît ce que les premiers chrétiens appellent avec un mot « il est ressuscité ». Vous voyez, c'est là où il y a la bifurcation. Il est ressuscité, il est encore vivant aujourd'hui et les premières communautés chrétiennes ne se sont pas fondées sur une cause, mais ils se sont fondés sur la personne de Jésus. Et il s'appelait d'abord les gens de la voix et ensuite très rapidement, j'ai traduit des chrétiens.
Parce que, quand on dit chrétiens, c'est à le terme finalement assez contemporain, on est dans la comparaison des religions. Mais chrétiens, quand les appellent chrétiens, on t'y hose, c'est les gens du Christ. Du Christ Jésus, du Messie. Mais alors, un curieux Messie, évidemment, qui est mort, j'ai dirait comme un brigand, comme un malfaiteur, celui-là croire, qui s'est tué, qui s'est pas défendu. Vous voyez ce que ce terme peut aussi provoquer comme un entendue.
Et donc, il dit, il est ressuscité. Alors, j'ai dit à pourquoi il dit ça? Vous voyez, il y a deux, peut-être trois éléments fondamentaux qui permettent un peu, je vais le prendre, je dirais de quoi il s'agit. La première chose, il ne faut pas oublier que la tente générale de la résurrection existait à l'époque.
D'exéter une croyance assez répandue qui n'était pas la croyance, j'ai dirais des saluciens que j'ai évoqué tout à l'heure, mais on le retrouve un peu dans les livres profétiques et beaucoup plus tard, évidemment, dans le judaïsme, comme en dit le 2e temp, c'est une croyance assez répandue. Et pourquoi cette croyance? Au fond, j'ai dit récite une émanation de l'idée de la justice de Dieu. C'est lié à l'idée du jugement.
On ressuscitera pour que la justice de Dieu peut vaincre pour que ceux qui ont été victimes dans l'existence du mal des autres, etc., puisse être récompensé. C'est une sorte de vision, je dirais, d'un Dieu, de justice et l'idée de résurrection, c'est une implication de ça. Mais Jésus aussi, il croyait en la résurrection générale. Et donc, est-ce que aujourd'hui, encore, je dirais, c'est ça la grande question, fait-re une de nos grandes difficultés. Est-ce qu'on peut encore pré-supposer?
J'ai le fait de manière cette vision d'une résurrection généralisée. Ou peut-être revenir tout à l'heure un peu comme question. Mais je dirais ici, c'est au fond, le mystère de la mort, qui est en jeu, ici, d'abord. C'est-à-dire, tant que les générations, j'ai dirais ce suivre dans la vie, d'un point de vue, j'ai dirais biologique pour étendre dire, la mort est merge seulement comme réalité.
Au moment où vous avez la vie quelque chose de bisexualité, c'est-à-dire qu'il y a des êtres qui disparaissent effectivement et y a des nouvelles êtres qui sont en train des mers gés. Et ce qui caractérise l'être humain, c'est qu'il est conscient du fait qu'il est mortel. C'est ça qui est nous caractérise finalement.
Et on va bien, j'ai dirais, dans les grandes cafes qu'on a découvert, au fond, les premiers dessins connés, c'est exactement ça, c'est-à-dire, c'est-à-dire, c'est-à-dire de représentation de la limite de l'existence humaine avec les entièrement, etc., qui, toutes les ritualités qui se dévelent autour de ça. L'être humain est conscient de ça, mortalité.
Et voyez, ça suppose, au fond, je dirais, une idée, disant ou une vision ou une utopie, on peut utiliser beaucoup d'autres termes pour clarifier ça, nous sommes conscients de notre mortalité parce qu'au fond de notre existence habite un désir d'accomplissement. Voilà. Un désir d'accomplissement. Mais évidemment, on a aucune représentation de ce que pourrait être cette accomplissement, c'est un terme de genre, n'est-ce pas?
J'en ai que ce pourrait être cette accomplissement et ce qu'il propre au fond de l'écriture qui nous propose de métaphores, les métaphores extrêmement simples, l'arbre de la vie, l'olivier, etc., c'est tout finalement. Et on pourrait dire cette croyance fondamentale en la résurrection. C'est au fond une prise de conscience d'un potentiel de maturation qui est en chacun de nous et qui apparemment être à un moment donné interrompu avec l'amort.
Mais quand même, j'ai dit à quelque chose absolument extraordinaire entre la naissance, j'ai dit à l'amort, il y a comme une expérience de notre université qui se fait. Imaginons quelques instants que la vie continuait un définiment. Vous voyez, ça serait l'enfer. Et rien n'aurait du poids. Il y a du poids dans l'existence. Il y a un maturation parce qu'il y a un commencement, il y a une fa.
Et c'est au fond, j'ai dit à l'Emistère, qui émerge dans toutes les créatures avec une question finalement ce qui est en train d'abvenir dans chacun de nos existances. Est-ce que c'est une promesse de vie ou est-ce que c'est une promesse n'en tenue? Est-ce que c'est une promesse de vie ou est-ce que c'est une promesse n'en tenue?
Et ça vient, au fond, je disais, le rapport de Jésus à la question de Dieu, c'est-à-dire un lieu de bonté radical, inconditionnel, et il est difficile de croire en ce Dieu si on n'y implique pas la résurrection. La fois, on la résurrection. N'oublions pas que c'est une métaphore aussi. Résociité, c'est faire lever. Vous voyez, c'est l'image d'utiliser, qu'on a d'ailleurs sur certaines images. Et donc, voyez-là, il y a une sorte de vie de fabrication.
Je reviens ici à ça qui apparaît ici et qui est traînée dans le nouveau testament. Et qui conduit, je dirais, la pôtre Paul, en particulier, à proposer une conception de Dieu qui est à la fois biblique et qui est dans même temps radicalement nouveau. Par exemple, vous avez ça dans les pétro-romains. Le Dieu qui fait vivre les morts est appel à l'existence ce qui n'existe pas. Oui ou non? Oui ou non? Le Dieu? Voilà. C'est finalement la seule raison ou voilà de croire en Dieu.
Est-ce que c'est le Dieu qui fait vivre les morts et qui appellent à l'existence ce qui n'existe pas? Qui appellent à l'existence ce qui n'existe pas? C'est-à-dire, tout l'univers, c'est la fois en la création. Et donc, il y a, si vous voulez, là, une sorte de cercle. J'espère que vous arrivent à vous faire comprendre ça. C'est-à-dire, quand je dis, je crois en Dieu, est-ce que je crois vraiment à quelqu'un entre guillemets? Voilà. Qui appelle à l'existence ce qui n'existe pas?
Oui. Et qui fait vivre les morts. Si c'est pas le cas, c'est-à-dire, je peux me dire, peut-être, je crois pas, son corps réellement en Dieu. Vous voyez? Et donc, voyez, il y a une sorte de chemin, vous voyez, qui s'ouvre ici. On pourrait dire pour la pôtre pôle, Dieu et la résurrection se définissent l'utuellement. Et c'est seulement si vous dites ça, c'est vraiment la question de Dieu qui est en jeu, que vous pouvez dire, je rencontre aujourd'hui, j'ai suivi vivant.
Je m'intéresse pas uniquement à sa cause, mais je m'intéresse à sa personne vivante, c'est-à-dire, qui en gendre d'autres personnes à la vie. Alors, je suis presque au bout, quelques instants, dans l'Église. Dans l'Église. Alors, ce que j'ai quand même... Je tiens beaucoup à ça, on veut dire d'abord, on ne rencontre pas uniquement dans l'Église. Et justement ceux qui s'intéressent à sa cause.
Ça suppose beaucoup de fois élémentaire pour s'intéresser aujourd'hui à sa cause, de défendre les exclus, etc., etc. Donc, ce n'est pas comme en dire, déjà dans le nouveau testament, c'est pas une conception exclusive. Vous voyez, quand vous lisez chez le matieu, par exemple, vous êtes allés les prisonniers, les malades, etc., quand est-ce que nous avons fait ça? Et il y a des gens qui le font, qui le sont critisés, ou non, c'est pas la question pour l'évangéliste de matieu.
Dans cette célèbre parabole du jugement dernier. Donc, il faut bien tenir à ça, on peut rencontrer ce Jésus, sa cause bien en dehors de la sphère et clésiale. Alors, j'ai dit, dans l'Église, il y a un chemin pour ça. Et qu'est-ce qu'on va dire au fond, un chemin qui va de l'extérieur vers l'intérieur? Et ça, c'est un long chemin.
Parce que rencontre, suppose d'abord, qu'on rencontre effectivement quelqu'un, mais vous avez cette extraordinaire formulae chez la pôtre Paul, ce n'est plus moi qui vit, mais c'est le Christ Jésus qui vit en moi. Et voyez-le, il y a un itinéraire. Et ça, uniquement, si vous voulez, vous pouvez le dire, si vous ne t'arrêtez pas uniquement à sa cause, mais vous intéressez à sa personne et vous découvrez progressivement que cette personne vous a transfé formée de l'intérieur.
Et il y a un double langage dans les créatures pour ça. Vous avez à la fois le langage de la suite, suivre Jésus, alors ça, c'est le langage des synoptiques, c'est-à-dire mettre les pas dans les siennes, et donc ce qu'on essaye de faire, j'ai dirais, je l'espère, dans l'Église, de mettre les pas dans les siennes.
Et Paul, il a un autre langage, il part de l'imitation, ça, c'est le langage de l'époque, des éducateurs de l'époque, l'éducation, évidemment, est fondée sur l'imitation, la mémécisse, l'imitation, l'exemple. Émitez-moi comme moi, j'émite le Christ de Jésus. Mais évidemment, avec, je dirais, chaque fois un problème, c'est-à-dire, émitez quelqu'un, ça permet de découvrir que ce qui est inimitable en lui est ce qui est inimitable en moi.
Donc c'est ça, si vous voulez, j'ai dire, cette itinéraire d'une rencontre effective avec quelqu'un et où finalement, dans cette rencontre, on est radicalement renvoyé à sa propre singularité. Et donc, il y a, si vous voulez, quatre chemins à ça, dans l'Église, d'abord lire les écratures, faire première chose, et Saint-Gérôme a dit un jour, il n'y aurait les écratures, c'est il n'y aurait le Christ. Et donc, ça, si vous voulez, j'ai dit, c'est le premier moyen.
Ensuite, je dirais, le sacrement du frère, c'est la deuxième chose, absolument fondamental, c'est-à-dire, le bon Samarita, je ne sais pas si j'ai des entrailles. Le moraliste dit, il faut que tu ait des entrailles. Il faut que tu sois comme le bon Samarita. C'est ridicule de dire ça. Jésus ne parle pas de cette manière-là. On est sur un chemin, il découvre tout à coup, qu'on a effectivement des entrailles, ou on en manque dans tel hôtel situation. Et donc, ça, c'est le deuxième voix.
Parce que c'est la vie qui forge ça en nous. Le troisième élément, c'est le bâtème. Mais, voyez, je ne prends pas le bâtème ici sous forme de rythme, mais vous avez là aussi, je n'ai pas l'une formule extraordinaire, revêtir le Christ. C'est-à-dire, la rencontre dans l'Église, conduit jusqu'à ce que le Christ devient mon vêtement. Mon vêtement. Et donc, le ryth veut signifier et s'élèbrer cela. Et dans la nuit pas scale, voilà. On y revient. Et finalement, la louriture.
Vous voyez, c'est des choses extrêmement simples que le christianisme primitif n'est sans à inventer. Le plau, voilà, revêtir le vêtement et manger et boire ensemble, voilà. La scène le caristie. C'est un lieu le Christ qui nous nourrit. C'est cette relation qui devient nourriture. Et vous avez dans la célébration de la scène, j'ai des le caristies. Vous avez cette, ce qu'on appelle la d'oxologie final, par lui, avec lui et en lui.
Et donc, vous voyez, vous l'avez là, le mouvement d'interiorisation. Voilà, si vous voulez, j'ai dit, il est quatre éléments du rencontre du Christ de Jésus dans l'Église. Et donc, le reste, c'est suivre et limiter, voilà, au jour, au jour le jour. Et j'ai terminé avec cette extrait de l'hymne d'un chant, comme on dit, que les premiers chrétiens ont inventé, sont de voir, notamment, vous voyez, c'est ça le mystère, hein, sont de voir, notamment, voilà. Son de voir, nous croyons.
Il y a là, la rencontre finalement, c'est ça, c'est-à-dire de dépasser les espaces et les temps dans un acte de foi, j'ai dit, et ta mort. Il y a des oreilles pour entendre, qu'il entendre. Et bien voilà, celui, la première question, vous deux. C'est fraîtes. Il y en a déjà deux, la rencontre me relevait. Et peut-être les deux, ouais.
Est-ce que vous pourriez nous dire, parce que je sais qu'au voyage, notamment, au accident chrétiens, certainisait, mais pourquoi Jésus est-il, elle est une être, la part? Est-ce qu'il n'en a pas vu, n'être, le pays du cathedral, dans notre pays du pré-quiens-t-il, etc? A Paris. Voilà, voilà. Est-ce qu'il nous pouvait nous expliquer, peut-être dans le projet de Dieu, pourquoi cette naissance est un sub-moment là, et dans cette culture? C'est la deuxième question. Non, mais dis-le-moi.
J'ai fait un drôte à tenir deux questions, peut-être une troisième, enfin voilà. Je ne sais pas, je ne sais pas, mais il s'en parle du retenu Christ, qui a un retenu à un moment. Est-ce que vous pouvez le retenu, Monsieur? Je vais vous faire un peu développer, Monsieur. Tout à fait, très volontaire. Mais d'abord la première question. Je ne suis pas dans le projet de Dieu, et peut-être, comment dire, il y a une théologie médiévale tout à fait comprendre.
C'est d'ailleurs ce qu'on appelle une théologie descendante ou déductive. C'est-à-dire en part de Dieu, en part je dirais de ce qu'on appelle, c'est un terme de la littérature apocaliptique du projet de Dieu, protestiste tout au-dessus, ne traduisait pas proteste de Dieu, voilà. Protessiste, voilà. Le projet de Dieu, en part de là, et on essaye de déduire. Alors, selon ce qu'on appelle à l'époque, une nécessité de convenance, pour les écratures.
Le qu'on va dire, vous vous rappelez peut-être du texte des disciples des mausse, Jésus qui dit à un moment donné, le qu'on va dire, ne va pas que le Messie passe partout ça pour accéder à son règne. Et donc, en partant du projet de Dieu, et en descendant à partir de ça, pour analyser les convenances, on dit c'est devenu impossible aujourd'hui. Et donc, c'est pour ça que l'histoire est tellement importante. On procède d'une manière inverse.
C'est-à-dire, on parle du fait qu'il est né, tout ce que j'ai essayé de vous faire comprendre. Et on procède d'une manière inverse, et on dit, pourquoi cela nous parle du dessin de Dieu? Est-ce que vous comprenez un peu j'ai dit à cette manière de procéder? Et donc, vous pouvez à ce moment-là, évidemment, je dirais, comme théologien, avec toute la tradition chrétienne, des grandes conciles, etc., vous abotissez, j'ai dit, au terme d'incarnation.
Donc, on est avec le premier chapitre de l'évent, selon sa agent, de célèbre prolog. Et qu'est-ce qu'il veut dire à la fin de ce prolog? C'est la fin de ma réponse, après, il y a l'autre question. Qu'est-ce qu'il vous dit? Null'a jamais voulu, Dieu! Ah, ça c'est remarquable. Première évidence, et qui est l'évidence de de Moïse, mais c'est pas, null'a jamais viedu, parce que, comme on dit dans le dorm, dans le livre et de l'exode, on ne peut pas vivre et le voir.
Vous voyez, c'est lié à la question, comme on dit, de l'unicité de notre existence, entre la naissance et la mort, et ce potentiel d'accomplissement, dont je vous ai parlé. C'est le mystère radique. Null'a jamais vu, Dieu! Mais le texte continue. Mais le fils unique, qui est dans le sein du père, nous en a fait l'exégèse, littéralement traduit. Donc le faux-junt, Jésus, c'est l'exégète par l'excellence. L'interprète par excellence est l'interprète de qui est Dieu.
Alors, il y a quelque chose absolument magnifique ici. D'abord, une ambivalence. C'est-à-dire le sein de Dieu. Alors, ça s'abienne dosée. Vous voyez, Dieu a un sein maternel. Et donc, vous voyez, on est haut de là ici du masculin et du féminin. Les latins n'ont pas trop aimé ça. Ils ont 30 traduits intima-de-i. C'est magnifique aussi. Null'a jamais vu, Dieu, mais celui qui habite dans l'intimité de Dieu, nous en a fait l'exégèse. C'est magnifique. Jésus était dans l'intimité de Dieu.
Il est dans l'intimité de Dieu. C'est plus abstrait, mais vous voyez comme tu as traduction, ça dit un peu autre chose. C'est très jeux. Et donc, ce Jésus, c'est ça, l'incaination. Dans l'intimité de Dieu, il arrondit l'évangile présent. J'avais dit ça tout à l'heure. J'ai essayé de montrer comment. Il en a fait l'exégèse qui est Dieu. Et voilà, et voilà, c'est la démarche tout à fait inverse.
Et qui est la démarche fondamentale de la tradition fétienne, qu'on trouve à la fin de l'évangile de Jean dans les discours d'Ouvres d'Alle-Eu. Oui, tu m'interroges, Philippe, qui m'a vu, a vu le père. Et donc, si vous voulez, j'ai dit à être sur cette terre, et quelque chose qui s'est passé, il y a un homme, voilà.
Jésus de Nazareth, voilà, qui a traversé le Jourdan, qui est entré dans ce pays de Galilée, et en montrant que la Galilée, ça peut être partout aujourd'hui, en dit autour de la planète. Et donc, cette planète, dans l'intimité de Dieu. Je suis un peu répendue.
Et l'autre question, je dirais évidemment, les premiers chrétiens, ils pensaient, ils attendaient, et on a aussi dans des paraboles pensées, j'ai dit au parabole des divières, etc., il y a ma plusieurs paraboles du banquet, c'est-à-dire que le temps se faisait court.
Et donc ils ont dû découvrir, à travers, j'ai dit, les trois premières générations, ça durait à certain temps, oui, que le temps de Dieu se fait court, Pierre dit, millon comme un jour, n'est-ce pas, et que l'aujourd'hui est décésif. Mais il y a cette attente, j'ai dit, d'une rencontre ultime. Et on a ça dans cette magnifique formule, j'ai dit, dans l'épitre au correntien, quand Paul parle du repas du Seigneur, il dit, vous annoncez la mort de Jésus, jusqu'à ce qu'il vienne.
Et jusqu'à ce qu'il vienne. Mais le texte reste un des disciples, est-ce que c'est une venue à la fin du temps, ou est-ce que c'est la venue? Je dirais maintenant, quand la communauté est réunie, et c'est l'èbre le repas du Seigneur. Quand il se rend présent, j'ai dit, dans le caristisme, qu'on a appelé la présence réelle.
Et donc, il y a cette sorte de tension qui devient fondamental à un moment donné, entre le ici et le maintenant, l'aujourd'hui, la présence ici, et une sorte de douverture vers une fin que nous connaissons pas. Voilà. Oui. Merci.
Vous pouvez juste avoir un éclairage, ou comment vous pouvez faire le carrage, lorsqu'un disciple va enterrer son père et que Jésus lui répond, l'esclément enterré leur brouhant, qui se demande par rapport à la scelle, parce que vous avez développé, niveau de la résurrection, etc., etc., donc comment on peut l'entendre, l'esclément enterré leur brouhant. Oui. Parce que comment dire le profet Élie, et il y a le rapport entre le maître et le disciple, Élie est Élysée.
Et quand Élie appelle Élysée, c'est-à-dire, pour Jésus, Élie a d'une grande figure, qui revient plusieurs fois. Et quand Élysée vient, il y a l'essentement d'abord enterré mon père et après, je vais te suivre. Donc c'est là, c'est question des ritages qui va suivre. C'est à ce moment-là que Élysée lui dit, oui, va enterrer ton père. Et alors Jésus, non, il dit pas ça.
Élie, c'est une sorte de relativiser, de relativiser, j'ai dirais, la question de la bord, et d'insister sur une urgence, une urgence. La peine, voilà, on entend. Et alors, c'est évidemment, comment dire, possible, parmi les itinérants.
On est souvent des cédentaires, etc. Et ce qui est d'ailleurs le problème de la tradition qu'elle, quand il est devenu, comment dire, christianisme, j'ai dit, d'État, à partir du 4ème siècle, alors, j'ai dit, alors, j'ai dirais, toutes les cotumes d'entermes, etc. Reviens avec force. Et donc, on entend peut-être plus. Alors, faut pas prendre ça à la lettre, non plus. On entend peut-être plus, cette sorte de durgence, si tu veux me suivre, c'est pas demain. C'est pas demain. C'est maintenant.
Voilà. Je vous m'en ai pas, on en serait souvent, Jésus est mort sur la croix pour la rémission des péchés. Oui. Il va y donner une autre façon de Jésus, vous ne vous parlez pas de cette astée rémission des péchés. Ça m'est bien, un peu, un péroujet. Oui. Et aussi, je sais pas, ce devuait être une petite clé pour comprendre le lien sur la croix et la rémission des péchés. Oui, tout en fait. Tout en fait. Tout en fait. J'ai dit, quelques petites observations.
J'ai dit, la première, comment comprendre, il y a deux ou trois formules dans le nouveau testament. Il y a pour nous, pour notre péché. Donc, il y a le pour d'abord, qu'il faut retenir. C'est-à-dire, la croix de Jésus n'est pas un absolu. Il faut d'abord prendre, je dis, il y a une le sens historique, la cruauté, n'est-ce pas. Et ça du Sien, comment dire, c'est-à-dire, après ça mort, j'ai dit à cette formule du Dutéronome, maudit est celui qui est pendu sur la croix.
Il va reprendre ça et va le retourner. Donc, la croix est pour. Et pour. Et alors, pour nos péchés, ça veut dire d'abord, de reconnaître ce que nous sommes. Et c'est la rencontre, si vous voulez, j'ai dit, entre, ça gimme nouveau une rencontre, entre l'innocent qui s'est eu, d'un côté, et face à lui, j'ai découvert et nous découvrons qu'il nous sommes.
Alors, ça, c'est très fortement solide, dans les évangiles synoptiques, vous avez là des personnes qui se frappent la poitrine et Jésus, ne vous lamentez pas sur moi, mais lamentez-vous, sur vous, etc. Et donc, c'est une rencontre fondamentalement asymétrique, entre d'un côté lino-sant qui est crucifié et de l'autre côté, le regardant nous découvrons ce que nous sommes.
Et donc, ça, c'est, j'ai dit, le premier sens, alors qu'il est très fortement soligné par Jean, vous rappelez peut-être la scène, où, en lui casse pas les jambes, comme aux deux autres, il est là, voilà, et il y a la lance qui le traverse, il y a de l'eau et de sang qui sort, c'est des symboles, justement, de la rédention. Et il regarderont, il regarde, dit le prophète, il regarderont celui qu'ils ont transpersé.
Ça y est face, je dirais, il y a ça, c'est une expérience humaine fondamental, tout un coup, j'ai réalisé ce que j'ai fait. Et donc, ça veut dire, je ne débindais que le pabilisme pas sur les pauvres juifs au pilate qui l'encressifiait. Oui, jamais le nouveau testament fait ça, mais le nouveau testament implique tous ceux qui auraient pu faire exactement juda, en premier pierre, etc. Et donc, vous voyez, la rédemption pour nous, c'est d'abord ça.
La découverte face à la croix, c'est pour ça que les chrétiens mettent la croix, pour découvrir qui nous sommes et que la découverte de ce que nous sommes n'est pas quelque chose uniment dramatique, mais précisément, il y a de l'eau et de sang qui coulent de sang côté et nous sommes remis à l'évangile de Dieu dont j'ai parlé tout à l'heure. Alors, vous avez une déformation de ça, c'est-à-dire, à partir déjà du Moyen-Âge et au Moyen-Âge tardif, on attraduit le pour, comme à la place.
Il a vécu ça à notre place. Et nous voyons là, comme on dit, il y a quelque chose d'ambigu qui arrive. Quelque chose de profondément enmigue, comme si j'ai dit la crucifixion, nous enlèverais ou le salut, nous enlèverais la liberté de vivre jusqu'au bout notre propre itinéraire. Et donc là, il s'agit de d'où une rencontre, vous voyez.
Alors, à l'arrière-plan de tout ça, il faudrait donc d'éveloppement c'est l'ébrechant du serviteur que les églises crétiennes lise, voilà, pendant la semaine salle. Cette formule absolument étonnante par ses souffrances, et il nous a guéris. Par ses souffrances, et il nous a guéris.
Et donc, il y a un symbole, qui est au fond un symbole grec, d'un sclépios, vous voyez, j'ai dit que vous trouvez dans nos pharmacies, c'est-à-dire le bâton et le serpent qui se roule autour, n'est-ce pas, et quand on trouve aussi, évidemment, dans le livre de Lexon,
c'est-à-dire, c'est très mystérieux, c'est-à-dire la vulnérabilité de l'autre, si je la regarde réellement, et si l'autre, alors c'est le cas du Christ de Jésus, se présente jusqu'au bout dans sa vulnérabilité, et je le regarde en vérité, ça peut me transformer. C'est ça le salut. Àguédoise-y. Ah oui, j'ai pas vu. Une question à vous, c'est une partie de l'éclanquée sur la place de la prière dans la rencontre avec la personne de Jésus.
Vous n'avez pas parlé, vous pouvez se qu'il faut les prendre dire, j'ai uniquement à la fin, non mais la d'oxologie, c'est-à-dire la prière de louange et d'action de grâce. Alors évidemment, ça serait encore une autre manière, j'ai dit à de revenir à ma première partie. C'est au fond comment dire les disciples, comment ils ont pu découvrir ce qu'ils ont suivi, l'intériorité de Jésus. Et ils ont découvert, on le voyant prier.
Et si vous voulez, c'est le côté très secret aux disants discrètes des récits évangéliques. Dans les récits évangéliques, on ne va pas beaucoup, j'ai également les gestes, les paroles de Jésus, le tomateur, les paraboles, sa prédication éthique, etc. Mais il faudrait beaucoup de temps pour développer ça. À certains moments, on va juste se retirer sur la montagne, dans les déserts. Et donc les disciples sont très intrigués. Et ils demandent mettre à prendre nous à prier.
Et ça c'est une tradition au fond comme en dire dans le nouveau testament, en part du précieux posé, qu'on ne sait pas prier. Ce qui est très consolant pour moi, peut-être pour vous aussi. Ça me parle le dit, et dans le chiffre chaffit de l'épitre au roman, mais nous savons pas prier comment prier. Mais l'esprit intervenant avec des gémissements inéphables est pris en nous. Et donc, apprends-nous à prier. Selon le nouveau testament, on ne sait se d'apprendre à prier, à recommencer.
Et prier, alors l'unique prière fondamental de Jésus, c'est ce que nous appelons le Norte-Père. Et donc, c'est la réalisation intérieure de notre relation de filiation. Et donc, ça c'est absolument décisif et la première communauté chrétienne. Qu'est-ce que la reprieve, et la reprieve la prière juive, l'épçon, qui était le livre de prière de Jésus, et les évangiles sont, notamment les récits de la passion, je l'ai dit tout à l'heure, sont portés par l'épçon.
Et donc, les gens repris ça, et l'église jusqu'à aujourd'hui, quelqu'un comme Martin Boubert, des philosophes juifs, Rosenswike et d'autres, et ils disent, peut-être dans notre relation de juifs aux chrétiens, il faut qu'on reconnaisse que l'obsautier, elle devenu tout un coup, un obsautier mondial, c'est-à-dire parce qu'il est passé dans le monde païen, etc. Donc, la apprentissage de notre prière est tout inféguée.
On vous retrouve la partie en présentant la pire qui est du Christ, vous avez dit parler de mon père radical, et j'ai un peu en compte que si le Christ n'est des que, cette bonté radicale, et que pour ça, il avait été pris dans les autres du conflit, et qui s'est retrouvé en victime, par cause de cette bonté. En gros, les vengines, nous présentent beaucoup de visages du Christ assez dur aussi.
Oui. Par exemple, les insultes assez violentes qu'il adresse aux paraisirs et aux skis, rases de vipères, c'est du rebondit. Avec ces disciples aussi, il y a des moments où il est assez violents sur le plan verbal, et vous avez parlé aussi du épisode des marchandises.
Et du coup, ma question, c'est un peu, est-ce que finalement, on peut comprendre, j'ai su que, comme cette figure de bonté radicales victimes du conflit, ou est-ce qu'on peut pas aussi le voir, comme une personne qui a assumé frontalement le conflit d'une certaine manière, d'une manière mondiale, violente, etc. En tout cas, on veut évidemment et si on peut voir si on envisage cette autre figure par cette autre représentation, quelle leçon on peut en serrer pour notre temps et notre vie.
Merci beaucoup, c'est une question très, très juste. Comme on dit ça, les preuves pour lui, pour la bonté, c'est la dureté du cœur. Et j'ai dit à y'a une barrière absolue qui est très vite, dans le nouveau testament, face à ce ministère de guérison, etc. C'est la dureté du cœur, comme en dire une liberté qui est de soncturaire et que même le Christ de Jésus, voilà, n'y touche pas. Et donc ça c'est peut-être une première chose à dire. Il discute avec le Satan dans les tentations, voilà.
C'est une joute scripturaire, le Satan, Jésus cite l'écriture, le Satan va réagir, etc. Et à un moment donné, stop. Il n'y a plus de négociation possible. Et donc on a continuement cet type d'arrêt, alors qui sont très complexes parce que comme en dire, on peut dire c'est la dureté du cœur. Mais la dureté du cœur s'exprime aussi comme en dire par des mesquimeries. Par exemple, peut-on comme en dire guérir un malade le dimanche, oui ou non? Le Saba, là, met-il pour le Saba et il pour l'homme.
Vous voyez, face, si vous voulez, j'ai dirais, à cette bonheur, qui respecte la loi, mais qui, comme en dire, et on a ça aussi, dans les débats, entre des... T'as lenu dit qu'on a ce type de question, c'est pas absolument propre à Jésus, mais il est une sorte de clarté à un moment donné. Ou, il perçoit qu'il pense en eux, qu'il y a cet homme qui pardonne les péchés, seul lieu, peut pardonner les péchés.
Donc, voyez, vous avez continuement, j'ai dit à ce type de débat et à mononée, il y a des arrêts. La dure téliqueur. Et alors, quand cette dure téliqueur est repérée, si vous voulez, socialement et politiquement, c'est-à-dire, ce n'est plus le farisien chez les qualités invités, si moi, je dirais, cette femme-là, voilà, qui a aimé le plus, etc. Donc, là, on peut, par des paraboles, mais j'ai dit, quand un engage parabolique devient totalement inopérant.
Parce qu'on est en face, je dirais d'une caste s'assère d'autal, d'une ideologie pour étendre dire, farisien, etc. Alors, à ce moment-là, il y a la salle de colère de Jésus qui sort. Et ça, c'est extrêmement important parce que, comme on dit, on pourrait avoir une vision très douce-être de la bonté. C'est absolument pas ça, c'est un signe de grande force. Et j'ai dit à la force, c'est quelque chose de tout à fait décisif dans le pours-characteriser les Jésus.
Je ne veux pas, je utilisaisais le terme autorité, mais j'ai dit, on peut se faire qu'une force sort de lui, dynamiste, qui devient le terme pours-characteriser l'esprit ça. Et donc, il y a du non-negotiable, comme on l'ir, du certain manière. Quand, à un moment donné, je dirais, ça s'envénit, et il y a le mot mes esprit qui commence à s'y mettre. Et avec les disciples, c'est très rude. C'est très rude.
Au point, comme on dit que les chrétiens de la communauté matéale et l'ucaliel en eut du mal avec l'évangile de Marc, parce que l'évangile de Marc, le plus court, c'est le l'évangile le plus dur, vis-à-ri des disciples. Et c'est comment dire, c'est pour ça que sans doute une des raisons pour laquelle Marc, c'est la fois ou pas la fois. Ben, tu veux, c'est la fois, la non-fois et peu de fois. C'est magnifique, c'est trop ça. peu de fois.
Et donc, il y a cette sorte de dureté qui est sans doute historique parce que, pour quoi la dureté? Parce que c'est le mal entendu fondamental, qu'est-ce qu'on attend du Messie? Et j'ai eu n'ai jamais utilisé ce terme. Jamais, il a utilisé. Il parle de fils de l'ordre, n'est-ce pas? Et donc, c'est là où apparaît-il sorte de, je disais, de dureté, parce qu'ils ont bien voté par leurs pieds. C'est magnifique, ils l'ont suivi, n'est-ce pas? On le voit. Et donc, il y a une relation qui est là.
Et donc, une relation qui, dans la deuxième partie, de l'évangile de Marc, après la première annonce de la passion, peut devenir une relation déducateur à éduquer. Et à ce moment-là, apparaît-ce évidemment aussi de rudesse. Mais merci beaucoup pour cette question. Évidemment, pour nous, je dirais, aujourd'hui, c'est une sacré question. Qu'est-ce qu'on appelle dialogue? Qu'est-ce qu'on appelle dialogue? Ça suppose quand même que l'autre veut dialogueer.
Et que progressivement, comme on dit à une conversion des deux côtés, c'est-à-dire une expérience d'écoute, réelle. Et donc, on dialogue parce que, donc, pas pourrais affirmer ses opinions, mais aussi pour changer d'alime, peut-être. Ça donne beaucoup à réfléchir aujourd'hui. Je vais prendre un coup. On va prendre encore deux, trois questions. Oui. Oui. Oui. Je me sars tout à fait en communion avec ce que l'on a fait.
En communion avec ce que tu dis, bien sûr, sur plein de points, il y a quand même quelque chose que je vais retenir. C'est qu'il est évident que Jésus est rentré en confus. Avec les prêtres du temps. On vient d'accord. Ça court tout le temps des élanches. Oui. Et ça s'ouvre suite dans les âmes des apprentes puisqu'il menace les premiers bissades de la récession. Il y avait un peu de fouilles. C'est bien tôt. Donc il y a une petite réforme entre Jésus et la caste, ça s'est fait pas.
Ce qui me reste supposé que je suis nume à la croix que Jésus a pu créer des prêtres. Mais c'est un bon sujet de l'aborde de l'Embache. En revanche. Je crois qu'il est mort parce que comme ce crop, comme temps d'or est merveilleux, il a été exécuté parce qu'il a interrogé et la perturbé, insistelle, le système religieux de son temps, du fait de sa fiscalité.
Alors je vais terminer sur cette parole qui est issu du Vatican et qui est proposé aux prêtres pour la Messe actuelle en conclusion d'offertoir. Chaque fois que l'offertoir s'est terminé, le prêt est dit ceci, les catoes dans la salle où on répond. Prions ensemble, au moment d'offrir le sacrifice de toute l'Église et en mépent pour la croire de Dieu et sa vie du monde. Ça, j'ai mis du tard comprendre que c'est un support tard.
Mais alors la deuxième proposition que propose le Vatican prête est la sulle. Écoutez, je suis tombé une machèse. Brillez frère cesseur, le prêtre, comment sacrifice qui est aussi le vote soit agréable à Dieu la porte. Et c'est un sacrifice de son délou des géants qui sont des trucs barpas et la salle agrice à la rencontre. Il a fallu le sacrifice du piste pour acheter les bêchés et que ce soit agréable à Dieu, dit les vies. Un Dieu pour qui faut être agréable par le sacrifice du sulle.
C'est ce qu'il y a. Est-ce qu'on peut retenir une deuxième question? Oui, je ne suis pas toute avisson d'avoir une piste. Est-ce que vous vous dites par bifurcation? Oui. Mais si je comprends d'un, c'est ce qui a fait bifurquer la communauté des premiers chrétiens par rapport aux autres, à ce qui s'est passé juin. Et vous avez situé cette bifurcation sur la question de la résurrection. Mais est-ce qu'on ne peut pas la faire remonter à la question de la filiation?
Est-ce que tout simplement le fait que Jésus soit dit fils de Dieu c'est pas déjà un embranchement qui est pris et sur lesquels les juifs ne nous s'est pas? Oui, c'est pas difficile. Comme ça. C'est ça, je dirais, aussi. On peut inverser la chose. C'est parce que la communauté croit en Jésus, ré-sucité et en sa résurrection, qu'elle croit aussi en sa filiation des vines.
Parce que comment dire, il a fait quelque chose absolument inouïe dans sa prière et ça, comment dire les exéjects, nous le montrez très bien. Il a utilisé un terme pour parler de Dieu qui n'était pas beaucoup utilisé à l'époque. Il a appelé Abbas et les premiers critères ont introduit ce terme aramean dans le texte grec et l'engardé toujours Abbas. Qu'est-ce que ça veut dire Abbas? Papa. Et donc il a vécu effectivement dans cette intimité avec Dieu.
Mais comment dire qu'on n'a pas découvert comme ça? Je les disais tout à l'heure en réponse à la question de la prière. Il décicle l'envie prier et est-ce qu'il leur a dit, j'appelle mon père Abbas, en tout cas, quand vous priez, priez notre père.
Et donc là, il y a cette sorte de intimité à Dieu, effectivement que les critères comprient après la mort de Jésus, quand ils sont devenus critères, etc. Ils ont lieait intimement la fois, on se dit qu'il y a appel de néan que les choses existent et qu'il y appelait les morts à exister et la filiation divine en même temps. Ils ont compris ça. Et donc il est le fils unique.
Mais c'est quand même, je dirais, une expérience d'une certaine manière autrement probable qu'ils ont fait après la débatte de Jérusalem. Il ne faut pas oublier, ils ont pris la fuite et ça pris un petit moment comme génial. La symbolique du troisième jour, il faut la prendre comme un temps, quand même assez substantiel. Et donc, ces Paul qui utilise le terme, il s'est montré, Dieu s'est montré, Dieu l'a montré, vivant.
Un coragien 15 qui est le texte par excellence, qui nous parle de la résurrection. Et donc, ce n'est pas d'abord la filiation. C'est les deux, j'ai dit réentiment liés. Ils ont fait une expérience du Christ de vivant qui leur a permis ensuite de relire les écratures et de comprendre réellement l'identité de chez eux. Et celui-ci du temps de son vivant, Pierre n'a pas dit à Jésus, tuais le Christ, le fils du Dieu vivant? Ah, ça c'est la formule de Matthieu, effectivement.
Mais qui, comme on dit, quand on trouve pas chez Marc, par exemple, au chelou qui est une interprétation ensuite pas-skal de la parole de Jésus et de Pierre, de Simon, a vu eux, oui, ça c'est. Mais comme on dit, il faut bien voir le lien intime dans les discours des actes des apôtres. On interprète le célèbre psaume, son dis tué Mofis aujourd'hui, j'étais engendré.
Comme un psaume qui se réalise avec la résurrection, c'est-à-dire avec la résurrection, Dieu engendre réellement son fils à la filiation pour toujours. Alors votre question, voilà, et je vous rassure d'abord que moi, je ne dis jamais la deuxième formule. Oh, je sais, non, c'est là étendie. Qu'est-ce qu'on appelle sacrifice? C'est toute la question. Relisez Paul, le chapitre 12, n'est-ce pas? L'appel occulte spirituel. Relisez le chapitre 4 de gens avec la samba-ritaine.
Où est-ce qu'il faut adorer à Jérusalem, ou sur le garrésime, etc., non le culte, on esprit et en vérité. Et donc vous avez une sorte de déplacement qui n'est pas uniquement néo-testamentaire, mais que vous trouvez cette prof en émo-profétique chez Jérémie, chez Isai, c'est-à-dire le vrai culte, qu'est-ce que c'est? C'est-à-dire c'est un cœur brisé, un cœur qui a des entrailles et la capacité de mettre en jeu son existence.
Et c'est finalement comment dire le sacrifice des lèvres, c'est-à-dire l'action de grâce, l'action de grâce, la gratitude. Et donc voyez le terme de, je dirais, de sacrifice. Et là, une ambiguïté fondamentale, je vous l'accorde, premièrement. Le pétrohosebre dit, les sacrifices sont toutes terminées. L'unique sacrifice, c'est de celui qui est entré avec sa propre existence, son sombre et sa chère, dans le sanctuaire de Dieu qui est toute la création.
Et donc il y a, dans la tradition chrétienne, une sorte de confusion. C'est peut-être ça que vous entendez, mais il ne faut pas jeter le bébé avec le, avec le bas. Vous voyez, c'est plus compliqué parfois dans le monde. Parce que quand vous dites, il y a rien de sacrifice, voilà, qu'est-ce que ça signifie le sacrifice? La confusion, c'est entre le sacré et le sac. Et le nouveau testament, l'édinence est peut-être un des premiers d'avoir réfléchis.
Là, c'est formule absolument extraordinaire, dans les lectures talmudiques, les premiers 5, sur le sacré et le saint, où il dit le monde n'est peut-être pas encore assez secularisé pour comprendre ce que c'est la sainteté de Dieu. Ça n'a rien de sacré, rien de sacré. Et donc le nouveau testament, l'utilise jamais le vocabulaire du sacré, mais il utilise le terme de la sainteté. La sainteté du Christ de Jésus, la sainteté, la sanctification des chrétiens.
Alors, on a le sac rôme, même le sac rossangtom. Vous voyez, le sac rossang, donc vous voyez, et peut-être aujourd'hui à cause de la crise systémique, un peu dans laquelle on est pour utiliser le terme de la bu, ce qu'on découvre c'est le problème de la sacralisation du ministère. Mais le ministère est décisif. Il est décisif, il est constitutif de l'Église. Je vais pas entrer dans ce sujet là, maintenant, mais c'est ça, peut-être la confusion.
On avait une dernière question, oui, parce que sinon le temps, c'est tout le monde. Il n'y a pas encore pris la presse. Merci pour ce que vous avez fait. J'aimerais vous dire sur la proposition initiale, qui était de rencontrer Jésus dans l'Église et au-delà. Et sans vouloir vous brusquer. Est-ce que vous voyez quelque chose à dire, à quelqu'un qui aime Jésus, le cherche, mais à l'impression parfois de leur rencontrer partout et par tous ces moments dans l'Église?
Oui, j'étais cette réalité à laquelle on n'est peut-être pas assez sensible. Parce que, comme en dire, quand on parle de l'Église, alors ce serait une autre conférence d'abord. Non, mais quand votre question, les frontières sont fondamentalement pourreuses. Ils sont fondamentalement constitutivement pourreuses, sinon on ne peut pas comprendre l'Église. Je parlais en termes d'hospitalité tout à l'heure.
Et celle d'Ougustin à cette formule extraordinaire qui est repris par le Consil Vatican II, on peut en être de corps sans en être de cœur. C'est-à-dire on peut avoir fait la totale, mais de cœur on est ailleurs. Ce qui veut dire on peut être de cœur sans en être de corps. C'est ça que ça veut dire, c'est frontière pourreuse.
Quand je suis pas dans l'Église, voilà, ça m'arrive souvent, je dirais, dans mes rencontres, avec son que je suis beaucoup engagé dans le département de la creuse, et un de mes grandes amis, c'est un François Maçon et qui est lorsqu'on appelle le cercle comme l'orcer. Mais j'ai une relation extrêmement forte avec lui, et notre rencontre est sur la base de ce que j'ai tout à l'heure. Il a une défense beaucoup mieux que moi, je dirais, de la cause de ce que Jésus a défendu.
Alors ça c'est absolument, je dirais, décésif dans son existence, il connaît assez bien les écratures. Il n'est pas comment dire, il n'est pas parti de l'Église, il est baptisé sans doute. Je lui jamais posais la question, voilà, discrétion. Il fréquente beaucoup de chrétiens qui travaillent ensemble avec lui, mais il n'est pas comment dire dans, je dirais, dans ceux qui vendent à le caristie, etc. Est-ce qu'il aime Jésus? Je n'osrais pas lui poser la question à me dire.
Et j'ai pas non plus envie de lui dire à profondesux M Jésus. Parce qu'il y a une sorte de d'alterité et de discrétion qui me paraît tout à fait décisiste dans une forte amitié. Mais il a un tel intérêt sur mon rapport à Jésus que je me pose quand même la question. Pourquoi il m'interroge? Il est là dessus. Qu'est-ce que ça s'y défi? Et donc parfois je me dis Dieu reconnaîtral et s'il y a un ressentir. Merci beaucoup Christophe Tavéli. Merci beaucoup Christophe Tavéli. Merci beaucoup.
Merci beaucoup. Je vous ai dit prochain. Je peux le faire un ajout le mardi 26 qui auront la prochaine conférence avec Danja Féli, qui vient de Razzis Raël. Et avant ça, je dis de la semaine prochaine dans une semaine exactement. Ici au Doro-Ti, au Rallye, avec l'association Confrontation, une conférence sur la question des écratures de la Bible face aux fonds d'avontalisme aujourd'hui.
C'est à la fois une réfection sur les ressources de la Bible pour faire face aux fonds d'avontalisme qu'elle m'aime et peut-être en genre. En tout cas, c'est une malgréé. Avec deux intéhôles, un exigé Jésus Christ aussi et une pastor protestante. Si vous êtes que bien, vous êtes bien. Et vous êtes donc plus tard, vous pouvez trouver ici. Ici, si vous n'avez pas adéné, la situation n'est pas adénée. Quelque sentie, ou quelques euros.