Atlantique Mobile, l'appli de Banque Atlantique, intuitive et performante, vous propose Appel sur l'actualité. 33 9 693 693 70 Merci d'être avec nous, l'antenne vous appartient jusqu'à 9h, temps universel, vous nous suivez évidemment à la radio mais aussi en vidéo sur la chaîne YouTube. De RFI, dans 30 minutes, nous parlerons de la Guinée après la grâce accordée au capitaine Moussa Dadis Kamara, condamné il y a tout juste 8 mois.
a 20 ans de prison pour crimes contre l'humanité pour son rôle dans le massacre du 28 septembre 2009. Une grâce qui fait polémique. Les familles des victimes et les associations de défense des droits de l'homme dénoncent une prime à l'impunité. Hier, le Bureau des droits de l'homme de l'ONU. a réclamé l'annulation de cette décision. En revanche, du côté des soutiens de Dadis Camera, on y voit surtout un geste de réconciliation nationale. Alors que vous inspire ?
Cette décision du général Dumbuya, quelles peuvent être désormais les conséquences de cette grâce présidentielle ? On en parle, on en débat évidemment ce matin sur RFI 33 9 693 693 70 et vos commentaires également sur nos réseaux sociaux. J'ai dû lire. Allez, quelques centaines de réactions en arrivant au bureau ce matin.
On fera en sorte évidemment de prendre le plus grand nombre d'auditeurs tout à l'heure dans notre débat du jour. Mais d'abord, vous le savez, c'est votre rendez-vous privilégié pour mieux comprendre l'actualité. Ce sont vos questions. On va commencer en parlant du Sénégal. Hassan, bonjour. Oui, bonjour, Juan. À Dakar, où on nous écoute sur les 92FM. Hassan, vous avez des questions sur un projet de loi qui fait polémique dans votre pays, le Sénégal. Oui, bien sûr, Juan.
Pourquoi le gouvernement sénégalais propose-t-il d'interpréter la loi d'amnésie plutôt que l'abroger ? Qu'est-ce que cela change concrètement ? que l'Assemblée nationale examine ce projet de loi qui vise donc à réviser La loi d'amnistie adoptée en mars 2024, quelques jours avant la fin du mandat du président Macky Sall. Bonjour Léa Elisabeth Sterhoff.
Bonjour Juan, bonjour Hassan. Correspondante permanente de RFI à Dakar, il faut rappeler que l'abrogation de la loi d'Amnesty était une promesse électorale d'Ousmane Sonko. Oui, le Premier ministre l'avait bel et bien promis, notamment lors de la campagne pour les législatives anticipées en novembre dernier, d'abroger cette loi le 27 décembre à nouveau, lors de sa déclaration de politique générale devant les députés.
Ousmane Sonko avait promis de revenir sur cette loi d'amnistie controversée puisqu'elle annule les poursuites pour les faits relatifs aux trois années de violence que le pays a connues entre 2021 et 2024. Une amnistie qui a permis également de libérer près d'un millier de personnes, dont l'actuel président Bassirou Diomaïfaï et Ousmane Sonko. Alors déjà fin décembre, le Premier ministre n'avait plus utilisé le mot abroger, mais avait promis de revenir sur cette loi, de faire en sorte...
que toute la lumière soit faite et les responsabilités établies sur ces manifestations et leurs répressions violentes qui ont provoqué la mort d'au moins 65 personnes. Alors expliquez-nous, Léa Lisa Westerhoff, pourquoi le PASTEF, le parti présidentiel, propose finalement... d'interpréter la loi d'amnistie plutôt que de l'annuler.
Eh bien, pas le choix, disent en somme les défenseurs de ce projet de loi d'interprétation. Selon Amadouba, le député du PASTEF qui a rédigé ce projet de loi, c'est tout simplement... parce qu'en se penchant sur la question, il s'est aperçu que l'abrogation n'est pas rétroactive, elle ne revient pas sur les droits acquis.
C'est-à-dire que l'abrogation, selon le PASTEF, ne permettrait pas de résoudre le problème de l'impunité et pour les familles de victimes d'ouvrir des procédures judiciaires sur des faits qui ont été amnistiés il y a un an. Autre problème de l'abrogation selon le PASTEF, environ 2000 personnes qui avaient été arrêtées ont été libérées suite à cette amnistie.
Si on abroge, qu'advient-il de toutes ces personnes qui avaient été libérées ? D'autant plus que je le disais, l'actuel président et le Premier ministre étaient eux aussi en prison, libérés grâce à cette amnistie. un imbroglio juridique qui risquerait d'être particulièrement compliqué à gérer selon le PASTEF. Face à cette situation, la loi d'interprétation aurait deux avantages, selon Amadouba toujours.
Elle s'applique aux instances en cours et elle rétroagit. Toutes les affaires sont concernées puisque cette loi n'abroche pas. préciser le champ d'application de la loi. En somme, elle vient dire qui est concerné par l'amnistie et qui ne l'est pas. Elle permet donc d'éviter l'impunité puisqu'elle exclut de l'amnistie les faits qui peuvent être qualifiés d'assassinat, de meurtre, de torture. les traitements inhumains ou dégradants, ce qui permet aussi de mettre le Sénégal
en conformité avec ses engagements en termes de respect du droit international. Et cette loi d'interprétation qui est donc proposée par le PASTEF ouvre aussi la possibilité à toute personne ayant été victime de ces manifestations violentes de demander réparation. Oui, les personnes victimes dans leur chair, mais aussi celles qui jugent avoir été injustement détenues, par exemple.
Mais ce qui pose problème à certains, c'est que resteront bénéficiaires de l'amnistie les personnes qui ont commis des dégâts matériels, brûler un bus ou autre.
Des réparations seront possibles pour les victimes de ces dégradations matérielles, mais pas de poursuites. Et c'est la raison pour laquelle 20 organisations de la société civile et des membres de l'opposition s'inquiète d'un deux poids deux mesures, que cette loi ne soit finalement interprétée de façon à servir une justice non équitable, en protégeant une partie de la population, les militants du PASTEF, notamment le parti aujourd'hui au pouvoir.
Faux, répond le gouvernement, qui promet que quiconque se sera rendu coupable de crime de sang, quel que soit son bord, pourra être poursuivi et qu'au final, ce sera au juge d'apprécier contre qui entamer des poursuites ou non.
Mais les débats risquent évidemment d'être agités aujourd'hui à l'Assemblée nationale. Et on suivra ça bien évidemment avec vous Léa Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Et on en parlera évidemment demain matin dans cette émission. Le sujet fait la une au Sénégal. Auditeurs et auditrices sénégalaises, vous aurez donc la parole demain matin. Hassan, est-ce que vous y voyez un peu plus clair désormais avec les explications de Léalisa ?
Oui, la correspondante a été très bien claire. Bon, tant mieux. Je sais que c'est un sujet qui tient à cœur de nombreux Sénégalais. Bonne journée à Dakar. Merci à vous, Léa Lisa Westerhoff. à Dakar, et en temps universel, il est 8h17. Des questions maintenant à la rédaction de RFI sur la Birmanie, 5 jours après le tremblement de terre qui a ravagé le centre du pays. Bonjour Adjiba !
Oui, bonjour Juan Gomez, bonjour à tous les auditeurs de RFI. Vous nous appelez de Portboué, c'est en Côte d'Ivoire, on vous écoute. Pourquoi les ONG craignent que l'aide internationale soit contrôlée par des militaires? Et la deuxième question est, La distribution des leds dans certaines zones risquent d'être perturbées. Le dernier bilan fourni ce matin par les militaires, par l'agent qui dirige la Birmanie. Le dernier bilan fait état de 3000 morts. Bonjour Carole Isou.
Bonjour. Correspondante régionale de RFI basée à Bangkok, en Birmanie, les besoins. sont immenses. C'est suffisamment rare pour être souligné, Carole Izou, dans les heures qui ont suivi le séisme, le chef de la Jeunte a lancé un appel à l'aide internationale, invitant tout pays, toute organisation à apporter son secours. Comment s'organise l'arrivée de cette aide internationale ?
C'est très difficile pour l'instant. Autant des délégations chinoises, russes, indiennes ont été accueillies dès le lendemain du séisme. En revanche, pour les occidentaux, les américains, les européens, c'est beaucoup plus compliqué. Les visas ne sont pas délivrées. Je viens d'ailleurs d'avoir une équipe de secouristes français au téléphone.
Ils sont actuellement bloqués à l'aéroport de Rangoon avec leur radar. C'est un matériel sophistiqué qui permet de détecter les battements de cœur des victimes pour déterminer s'il y a encore des survivants sous les décombres. Alors évidemment, on imagine bien que c'est un travail où chaque jour... Chaque heure, chaque minute compte, donc ils rongent leurs freins à l'aéroport de Rangoon. C'est une situation très difficile à accepter pour eux.
La ville de Mandala est largement détruite, la population dort sous détente. L'agente a fait appel à l'aide internationale, c'est vrai, mais pour l'instant, elle refuse de laisser entrer des secouristes en provenance de pays qui, politiquement, ne sont pas leurs alliés. Alors justement, Adjiba en Côte d'Ivoire a entendu sur notre antenne que plusieurs ONG craignaient que… cette aide internationale soit contrôlée par les militaires. Pourquoi une telle crainte ?
Tout simplement parce qu'il y a un historique, il y a des craintes très légitimes, puisque la jeune, juste avant de prendre le pouvoir par coup d'État, on s'en souvient, en février 2021, s'était emparé de plus de 5 milliards d'euros en provenance du FMI.
donc des craintes tout à fait légitimes que les militaires détournent une partie de l'aide, notamment dès que le fret va arriver, les couvertures, les rations alimentaires, ou alors soit les détournent pour eux-mêmes, soit les distribuent uniquement. à la petite partie de la population qui les soutient. Parce qu'aujourd'hui, avec l'ampleur du conflit qui oppose l'armée birmane à des groupes armés issus de la population civile,
la junte ne contrôle que 20 à 30% de son territoire. Et donc l'autre crainte, c'est justement que la junte ne profite des effets du tremblement de terre et de la nécessité de devoir acheminer des vivres pour reprendre le contrôle des axes principaux de transport. et récupérer une partie des territoires. qui étaient jusqu'ici aux mains des rebelles. Donc on comprend qu'il y a des enjeux territoriaux très importants.
dans la façon dont va être acheminée cette aide. Et du coup, sur le terrain, en raison de ce conflit dont vous nous parliez à l'instant, Carole Izou, la distribution de l'aide internationale risque d'être compliquée, perturbée ? Mais oui, on sait qu'il n'y a pas eu de trêve, que les combats, littéralement, les frappes aériennes ont repris dès les premières heures après le séisme. Donc pour les secouristes, on imagine que c'est impossible de travailler dans ces conditions.
Un autre élément, c'est la présence massive de mines antipersonnelles dans le pays, puisque la Birmanie, c'est l'un des pays au monde le plus contaminés par les mines. Donc il y a des ONG qui travaillent dans leur cartographie pour les localiser, mais avec le tremblement de terre, elles ont bougé. Et donc, là aussi, c'est un danger supplémentaire pour les secouristes qui se trouvent dans des conditions extrêmement difficiles pour travailler. Ajiba, a-t-on répondu à vos questions ?
Absolument, et vraiment merci à RFI pour tous ces éclaircissements. Je vous en prie, on est là pour ça. Grand merci surtout à Carole Izou. correspondante régionale de RFI à Bangkok. Bonne journée à tous les deux. 10h21 à Paris, vous avez des questions sur l'actualité, surtout, n'hésitez pas, vous nous appelez tous les matins, on est là. pour vous répondre en direct, 33 9 693 693 70, sinon vous nous envoyez directement.
vos questions sur les réseaux sociaux, et on vous rappelle évidemment, dès que possible, Hulbert nous écoute au Tchad, il a des questions sur Donald Trump. Bonjour Hulbert. Bonjour, bonjour aux journalistes de R&P ainsi que les fidèles auditeurs appellent sur l'actualité.
Permettez-moi de traverser de l'autre côté de la maison pour dire bonjour à Marc Perelman de France 24. Ah, très bien, Marc Perelman. De l'autre côté de la maison, j'aime beaucoup cette expression. Merci en tout cas, Hulbert, de vos encouragements. Quelles sont vos questions sur Donald Trump ? Bien que la Constitution américaine ne le permet pas, Donald Trump a évoqué la possibilité de briguer.
Il y a de la friture sur la ligne, mon cher Hulbert. Qu'avez-vous fait ? Vous vous êtes déplacé. Ça faisait bien longtemps que je n'entendais pas une telle friture. Constitution américaine ne permet pas à Trump, si j'ai bien compris, de briguer un nouveau mandat, et donc ? Oui, surtout que le président américain n'a pas caché sa volonté de passer 4 ans de plus à la Maison-Blanche. Bonjour Ludivine Gilli.
Bonjour. Directrice de l'Observatoire de l'Amérique du Nord de la Fondation Jean Jaurès. Ce n'est pas une blague, a dit Donald Trump à nos confrères de la chaîne NBC. Un troisième mandat pour Trump, pourtant, Hulbert le rappelait à l'instant, la constitution américaine est très claire. Tout à fait. C'est le 22e amendement à la Constitution qui a été adopté en 1947 et ratifié en 1951, donc il ne date pas d'hier.
Et il ne permet pas à un président de briller plus de deux mandats. La Constitution est très claire. La Constitution est claire. Et la question d'Ulbert est pertinente. Est-ce que Trump peut essayer de modifier la Constitution ? Dans la mesure où la Constitution interdit à Trump de briller un troisième mandat, la seule possibilité légale pour lui de le faire
c'est effectivement de modifier la Constitution. Alors, est-ce qu'en théorie c'est possible ? Oui, en théorie c'est possible puisqu'il existe un processus d'amendement. un processus pour amender la Constitution. La Constitution, aujourd'hui, elle en a 27 d'amendements. Ce ne sont pas des choses qui sont faites extrêmement fréquemment, puisque le dernier amendement remonte à 1992.
Cependant, entre la théorie et la pratique, il y a un pas, puisque la modification de la Constitution est un processus extrêmement compliqué. En fait, il faut disposer pour modifier la Constitution. D'abord, pour l'amendement proposé d'un vote qui le valide avec deux tiers de la Chambre des représentants et deux tiers du Sénat. Et ensuite, si cette majorité qualifiée est obtenue, il faut que les trois quarts des États des États-Unis valident l'amendement.
Dans la mesure où c'est un amendement qui serait favorable aux Républicains, il faudrait que les Républicains disposent des deux tiers de la Chambre, des deux tiers du Sénat et des trois quarts des États, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui. Effectivement. Donc hypothèse peu probable.
d'une révision de la Constitution pour permettre à Donald Trump de briguer un troisième mandat. Et pourtant, Ludivine Gilley, dans cet entretien à NBC, Donald Trump a dit qu'il existait des méthodes pour y parvenir. Savez-vous à quoi le président américain pensait à ce moment-là quand il a tenu ses propos ? Alors, je pense qu'il pensait surtout à faire en parler. Il y a quelques stratégies légales qui ont été évoquées, mais toutes se heurtent in fine à la Constitution.
Du fait de ce 22e amendement dont nous avons parlé, un autre stratagème viserait à ce que Donald Trump se présente comme vice-président. et que le président qui se présenterait avec lui ensuite renonce à sa présidence pour que Donald Trump puisse accéder à la présidence. Le problème, c'est que là, on ne parle plus du 22e amendement, on parle du 12e amendement.
qui ne permet pas à une personne de se présenter à la vice-présidence si elle n'est pas éligible à la présidence. Ah oui, donc finalement la constitution américaine a prévu tous les scénarii possibles pour pas qu'on...
qu'on touche à ce fameux amendement qui dit que pas plus de deux mandats quand on est président de la République. Président, pas de la République, président des États-Unis. Des États-Unis, tout à fait. Et donc, le seul moyen... envisageable pour Donald Trump de briguer un troisième mandat serait d'enfreindre la Constitution.
Bon, écoutez, on va suivre ça. Le sujet passionne. On a eu plusieurs auditeurs qui s'intéressent évidemment à cette perspective. Merci Ludivine Gilley, directrice de l'Observatoire de l'Amérique du Nord et de la Fondation Jean Jaurès. Bonne journée. Il nous reste 3 petites minutes et 30 secondes pour être précis. Bonjour Rachid ! Oui, bonjour Juan. Oui, pardon, allez-y.
Oui, bonjour à l'équipe technique de RFI, bonjour à la jeunesse de Guiraille. Merci à vous, vous êtes à Guiraille, effectivement en Guinée. Vous avez des questions sur la bande de Gaza ? Oui Juan, le Hamas a approuvé une nouvelle proposition de cesser le feu à Gaza. Que contient ce nouvel accord ? Est-il si différent des précédents ? Alors effectivement, c'est une proposition de cesser le feu.
venant des médiateurs égyptiens et qataris. Bonjour Frédéric Ancel. Bonjour. Merci de prendre quelques instants ce matin pour répondre à Rachid. Vous êtes professeur en géopolitique à Sciences Po Paris. Le Hamas accepte donc un nouveau plan. Est-ce que vous en connaissez le contenu ? Alors le contenu par un faux paradoxe n'est pas très différent.
des contenus précédents. Je veux dire par là qu'il s'agirait de restituer un certain nombre d'otages. Alors on parle de 10 otages, on parle de 11 otages sur la cinquantaine qui reste encore aux mains du groupe islamiste radical. moyennant la cessation bien évidemment des hostilités et le retrait israélien d'une partie. de la bande de Gaza, donc pas l'intégralité du territoire, mais une partie. En réalité, je vais vous dire,
Ça fait presque un an qu'on est approximativement sur ce type d'accord. Et d'ailleurs, ces dernières semaines, ça avait fonctionné. C'est sur cette base-là qu'un certain nombre d'otages avaient déjà été libérés. Donc, il n'y a rien de très fondamental. Mais pourquoi le Hamas ? accepte aujourd'hui parce que le rapport de force est pratiquement désespéré. Et puis le Hamas est absolument seul et il n'est plus en capacité de projeter de la force ou de la violence.
sur le territoire israélien. Par ailleurs, aucun pays, aucun pays arabe ne le soutient ni ne le soutiendra. Benyamin Netanyahou a-t-il réagi justement au fait que le Hamas accepte cette nouvelle proposition de cesser le feu à Gaza ? Oui, a priori, Netanyahou est d'accord, puisque de toute façon, c'est lui qui exerce les pressions militaires à nouveau ces dernières semaines et ces derniers jours. Sauf que du côté du gouvernement nationaliste israélien, on dit la chose suivante.
vous nous restituez les otages, mais de toute façon, la guerre continuera tant que vous serez au pouvoir. Enfin, ce qui reste de pouvoir dans la bande de Gaza. Alors le problème est le suivant, c'est que si vous êtes à la tête du Hamas, vous ne voyez pas très bien l'intérêt de restituer l'intégralité des otages, puisque vous savez qu'à ce moment-là, Ce gouvernement israélien, en tout cas très nationaliste, de toute façon ira jusqu'au bout. Et là, il n'aura plus.
à craindre de son opinion publique intérieure, puisque par définition, il n'y aura plus de prise sur les otages. Je rappelle que selon l'armée israélienne, 58 otages sont toujours retenus par le Hamas, dont 34 morts. Merci de votre éclairage. Frédéric Ancel et je renvoie nos auditeurs à votre dernier ouvrage publié aux éditions Odile Jacob.
La guerre mondiale n'aura pas lieu. Merci à tous de votre fidélité. Restez évidemment à l'écoute de RFI. Dans un instant, on retrouve l'ensemble du service Afrique pour la dernière édition d'Afrique Matin. Et on revient tout de suite après pour débattre, après cette grâce présidentielle qui fait polémique en Guinée, grâce accordée au capitaine d'Addis, les organisations de défense des droits humains.
dénoncent une prime à l'impunité. D'autres préfèrent parler d'un geste en vue de réconcilier la nation.