Bonjour, c'est un nouveau numéro de soyez-ça à Joupa, je suis Laurent Quivogne, je vois à compte à nouveau comme la dernière fois une histoire de Nazrédin tirée du recueil de Jean-Louis Manori sublime par rôle et idioside Nazrédin HoCHA. Et Nazrédin prenait en l'âge, s'offre les services d'un valet pour les dédans dans les tâches de quotidien qui lui pèse au plus en plus. Un jour un ami lui demande si les satisfaites s'est servi, si la compulsion travaille, si l'étagréable.
Oui, à peu près, répond Nazrédin, mais une chose me traquasse, il ne cesse de me demander de l'argent. A bon, répond l'autre, en fait, non, un peu la surprise, mais qu'en fait-il du peu près, je ne l'en ai encore, rien d'autre, mais voilà, c'est la fin de cette très courtiste fois.
Mais tu ne poses, j'ai eu beaucoup de mal à trouver ce que je voulais dire pour une fois, souvent ça vient tout seul, et puis là, voilà que j'ai eu des difficultés à trouver quelque chose que j'avais envie de vous dire à vous, quelque chose qui sortent à tout petit peu de l'ordinaire, alors, fait un peu les fortes aussi, si je veux se dire, à fléchissais, dites-le moi en commentaire, n'ayant.
Pourquoi est-je rigue, monsieur, je demandais, au fond, c'est pas drôle, cette histoire de patron de patron, qui ne donne pas un sous à son employé. Un surprise peut-être devant quelque chose qui ressemble à de la naïveté de Nazrédin. Ça n'est pas que d'ailleurs Nazrédin ne fait rien comme les autres qui fait qu'il est drôle, c'est qu'il