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La chimie, arme fatale des tueurs (1/2)

Nov 27, 202323 min
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Summary

Cet épisode explore comment la chimie devient une arme fatale dans les mains des tueurs, obligeant les experts en chimie forensique à être en première ligne. Il raconte l'histoire de Lowell Amos, soupçonné d'avoir tué sa femme Roberta avec une dose massive de cocaïne et dont le passé révèle un schéma de décès suspects. L'épisode introduit également une autre affaire d'empoisonnement de masse dans un bureau en Arizona, soulignant la complexité de ces enquêtes.

Episode description

Dans un hôtel américain, une femme meurt d’une overdose mais les enquêteurs découvrent qu’il s’agit en fait de l’œuvre d’un tueur en série. Pendant ce temps, en Arizona, une employée de bureau s’écroule subitement après avoir bu l'eau de la fontaine à eau. Qui est l'empoisonneur de cette entreprise ? Dans une autre affaire, alors qu’une femme est trouvée morte dans son bain, une odeur de solvant flotte dans l’air, faisant comprendre aux experts qu’elle ne s’est pas noyée seule. Quand des composés toxiques sont utilisés pour tuer, les chimistes se retrouvent alors en première ligne pour confronter les coupables.


“Police scientifique” est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures, adapté de la série documentaire audiovisuelle "FBI Files" produit par New Dominion Pictures. Cet épisode a été écrit par Steve Zorn et il a été réalisé par Shannon Czaplinski Bailey.



Bonne écoute ! 


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Crédits du podcast

Production exécutive du podcast : Initial Studio

Production éditoriale : Sarah Koskievic et Astrid Verdun, assistées de Sidonie Cottier

Montage : Johanna Lalonde

Illustration : Laurine Vogel


Avec la voix de Benjamin Saeptem Hours


Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Transcript

Dans un hôtel américain, une femme meurt d'une overdose, mais les enquêteurs découvrent qu'il s'agit en fait de l'œuvre d'un tueur en série. Pendant ce temps, en Arizona, Une employée de bureau s'écroule subitement après avoir bu l'eau de la fontaine à eau. Qui est l'empoisonneur de cette entreprise ? Dans une autre affaire, alors qu'une femme est trouvée morte dans son bain, une odeur de solvant flotte dans l'air.

faisant comprendre aux experts qu'elle ne s'est pas noyée seule. Quand des composés toxiques sont utilisés pour tuer, les chimistes se retrouvent alors en première ligne pour confronter les coupables. Vous écoutez La chimie, arme fatale des tueurs, première partie. À 10h, le samedi matin 10 décembre 1994, La police fut dépêchée à la chambre d'hôtel de Lowell et Roberta Amos, à seulement un pâté de maison du poste de police.

Lowell déclara que sa femme était morte dès suite d'une overdose de cocaïne. Il y avait bien une paille et une carte à jouer dans un des tiroirs de la table de chevet, mais aucune trace de drogue. Amos déclara qu'il avait paniqué et qu'il l'avait jeté dans la toilette lorsqu'il s'était aperçu que sa femme était morte. Mais Amos ne semblait pas seulement s'être débarrassé de la drogue. La chambre était immaculée. Les draps, cependant, où gisaient la victime, étaient complètement souillés.

La tête oreillée de la victime était tachée de maquillage bien qu'elle ne semblait pas emporter. Le coroner détermina que la victime était morte plusieurs heures avant l'arrivée de la police. On soupçonna tout de suite son mari, Lowell Edward Amos. L'équipe d'enquête aux homicides fut dépêchée sur les lieux et prit sa déposition. Roberta Amos avait été vue la dernière fois en compagnie de son mari dans la suite d'hôtels de son associé, Norbert Crabtree.

La firme pour laquelle ils travaillaient leur avait réservé des suites à l'hôtel où avait lieu la réception de Noël. Ainsi, les membres de la direction n'auraient pas à limiter leur consommation d'alcool. Laurel et Roberta venaient de se séparer, mais Roberta avait tout de même accepté d'accompagner son ex-mari. Après la soirée, Crabtree invita le couple dans sa suite pour un dernier verre. Ils y restèrent jusqu'à 4h30 du matin.

Lowell déclara à la police qu'ils étaient ensuite retournés dans leur propre suite où ils avaient eu une relation sexuelle et consommé de la cocaïne. Lowell s'était endormi pendant que Roberta continuait à prendre de la drogue. Selon lui, elle avait des problèmes de sinus et n'était pas capable de la renifler. Elle avait fait l'overdose pendant qu'il dormait. Peut-être s'était-elle injecté la drogue. Lowell avait hésité à alerter la police tout de suite à cause de la cocaïne.

Il disait qu'il l'avait jeté. Mais pourquoi avait-il attendu si longtemps avant de signaler son décès ? On retrouva des traces de cocaïne dans les sécrétions vaginales de la victime. Il n'y avait aucune autre trace externe de la drogue. C'était étrange, compte tenu du fait que son organisme contenait 14 fois plus de cocaïne que la victime d'une overdose habituelle.

Elle était décédée avant même que son organisme n'ait assimilé la moitié de la drogue. La victime d'un empoisonnement à la cocaïne est prise de violente convulsion juste avant de mourir. Selon l'expert chimiste Phyllis Goode, Amos n'avait pas pu dormir à côté de sa femme pendant son overdose. Il ne s'était sans doute même jamais endormi. La cocaïne est un stimulant du système nerveux central.

Elle garde le sujet éveillé et plein d'énergie. Il est en fait très rare que quelqu'un puisse dormir juste après en avoir consommé. Amos avait nettoyé la scène du crime, mais sa version des événements ne collait pas à la réalité. Les détectives étaient résolus à prouver qu'il avait tué sa femme. Au laboratoire judiciaire du Michigan, Phyllis Goode examina les draps afin d'identifier les tâches. Amos n'en avait jamais parlé. Comme le corps de la victime était très propre,

Il était plausible de penser qu'il l'avait lavé juste avant de les alerter. Peut-être restait-il des indices sur la litterie. Le drap fut enduit de produits chimiques qui avaient la propriété de faire ressortir les tâches. Des morceaux furent découpés et étiquetés. Comme le drap était couvert de tâches, Phyllis Goode en découpa des échantillons partout sur le tissu.

Elle répéta le même procédé sur la tête d'oreiller afin de vérifier s'il y avait autre chose que du maquillage. La disposition des tâches sur le tissu laissait à penser que la victime ne s'était pas simplement appuyée la tête sur l'oreiller. Ce qui ressemblait à une simple trace de rouge à lèvres, à prime abord, s'est révélé être l'empreinte d'une dent, des marques de dents.

Cette marque se trouve sous cette coloration bleue qui a été produite lors de l'analyse en laboratoire. Des témoins avaient déclaré à la police que la victime était maquillée. Les marques sur l'oreiller démontraient qu'elle l'était effectivement lorsqu'elle s'était couchée. Pourtant, il n'y avait pas de traces de maquillage sur son visage lorsqu'on l'avait analysée.

Elle semblait avoir mordu l'oreiller avant de mourir, ou peut-être encore le lui avait-on appliqué fermement sur le visage. Il y avait une blessure sur son nez qui semblait indiquer qu'elle avait reçu un coup. où subit une forte pression. Les échantillons de taille, de rayée et de drap furent envoyés au laboratoire judiciaire de la police d'État pour subir d'autres analyses. Les enquêteurs attendaient les résultats.

Ils interrogèrent les collègues du suspect, dont Norbert Crabtree. Selon ce dernier, Laurie Lamous l'avait appelé à 8h30 le matin en lui demandant de l'aide. Crabtree, qui avait été réveillé par le téléphone, ne se rendit à la chambre que vers 9h30. Un autre collègue l'accompagnait. Lowell leur annonça que Roberta était morte. Il leur remit alors un sac qu'il leur demanda de lui garder. Le détective Patrick Hanahan était assigné à cette enquête.

Le petit sac de cuir contenait une serviette tachée de l'hôtel, qui sentait particulièrement mauvais, un blouson et une seringue sans aiguille. Amos reprit le sac chez ses amis un peu plus tard. Les enquêteurs ne parvinrent jamais à le retrouver. Ils devraient se contenter des indices dont ils disposaient pour découvrir ce qui s'était passé, c'est-à-dire le drap et la taie.

Les examens ne révélèrent que la présence de cocaïne sur les draps. Selon les résultats de l'analyse, il n'y avait sur les draps ni taches d'urine. ni traces de sperme ou de liquide séminal. Et tout ce que nous avons réussi à identifier dans les sections brunes, c'était des traces de pus.

L'équipe fut incapable d'identifier les taches brunes. Ça ne faisait qu'ajouter au mystère. Pour ce qui était de la cocaïne, le fait qu'il y en ait sur le dessus et les côtés du drap, indiquait que Lowell avait trafiqué la Seine, soit par crainte d'être accusé d'avoir tué sa femme, soit pour cacher qu'il l'avait bel et bien tué. avait un dossier criminel et les détectives y découvrirent bientôt une information intéressante. Il n'en était peut-être pas à sa première victime.

Lowell Amos, le suspect numéro un dans l'enquête sur la mort de Roberta Amos, avait un passé douteux. La première Madame Amos, Sandra, était morte en 1979 à l'âge de 36 ans. Elle était mariée à Lowell depuis neuf ans. Selon ce dernier, elle avait consommé en même temps un sédatif et du vin. Elle était tombée et s'était frappée la tête sur le comptoir de la salle de bain.

Il y avait bien des traces de sédatifs et d'alcool dans le sang de Sandra, mais pas en quantité suffisante pour lui faire perdre l'équilibre. La majeure partie du médicament se trouvait encore dans son estomac et n'avait même pas encore été assimilée. Elle avait une seule petite éraflure au-dessus de l'œil. Ce n'était certes pas suffisant pour l'assommer ou pour la tuer. Il n'y avait malheureusement pas assez d'indices pour ouvrir une enquête.

Lowell Edward Amos toucha la somme de 350 000 dollars à titre de bénéficiaire de l'assurance vie de sa femme. Peu après, il épousa Caroline, la maîtresse qu'il avait eue pendant son mariage avec Sandra. Leur relation était difficile. Caroline se disputait avec Lowell chaque fois qu'il prenait une police d'assurance sur sa vie. Il avait refusé de renoncer à ses assurances et en 1988, Caroline l'avait chassée du foyer.

Il était alors parti vivre chez sa mère de 76 ans, Mary Towles. Il resta avec elle pendant environ deux semaines jusqu'à ce qu'elle tombe malade et soit transportée d'urgence à l'hôpital. Son médecin émit l'hypothèse qu'elle avait été droguée. Mais aucun des médicaments qui lui avaient été prescrits n'avaient pu la mettre dans un tel état.

Sa santé s'améliora pendant son séjour à l'hôpital et on lui donna bientôt son congé. Caroline Emus appelait sa belle-mère Mary Tolles toutes les semaines pour s'enquérir de son état. Quelques semaines après son retour de l'hôpital, c'est Lowell qui répondit à son appel. Il lui apprit qu'il venait tout juste de découvrir le corps de sa mère. Apparemment, elle était morte depuis plusieurs heures.

Caroline, accompagnée d'une amie, se rendit immédiatement à la résidence de sa belle-mère, là où elle était en train de mettre ses effets personnels dans son auto. Il ne voulait pas que quelqu'un apprenne qu'il vivait chez sa mère. Il toucha bientôt un million de dollars en héritage. Mary Tolles ne fut jamais autopsiée à cause de son âge avancé. Caroline autorisa Laurel à revenir vivre avec elle. Neuf mois plus tard, au printemps de 1989, elle mourait à son tour.

Selon la déposition de Lowell, il lui avait servi un verre de vin pendant qu'elle se séchait les cheveux dans la salle de bain. Il était retourné voir ce qu'elle faisait et l'avait trouvé morte, étendue sur le carrelage, tout comme sa première épouse. L'ambulance mit un certain temps à atteindre la propriété qui était isolée. Il était alors trop tard pour la réanimer. Selon Amos, elle s'était peut-être électrocutée avec le séchoir à cheveux.

Le fil électrique avait été entaillé, mais Caroline n'avait pas été électrocutée. On ne parvint jamais à déterminer la cause de sa mort. Amos toucha la somme de 800 000 dollars à titre de bénéficiaire des assurances de sa deuxième femme. De toute évidence, Lowell s'attaquait aux femmes qui partageaient sa vie. Tous ces décès ne pouvaient pas être liés qu'au seul hasard. Aucun de ces décès n'avait fait l'objet d'une enquête poussée, mais la mort de Robert Hamas...

allait peut-être permettre de jeter un éclairage différent sur les actes de son mari. En 1994, le Michigan modifia son code criminel. La nouvelle loi permettait de se servir d'informations obtenues lors d'enquêtes antérieures dans le cadre d'un nouveau procès. Si l'on démontrait que le passé de Amos avait peut-être quelque chose à voir dans la mort de Roberta, ce serait le premier cas de procès qui tiendrait compte du nouveau code criminel.

Nancy Westveld, du bureau du procureur de Wayne County, fut appelée à déterminer si la nouvelle loi pouvait s'appliquer au cas de Lowell Amos. Nous devions revenir sur le passé de M. Amos et tenir compte de son comportement lors du décès des autres femmes de sa vie. pour démontrer quelles étaient ses vraies intentions. Tout comme les autres victimes, Roberta Amos était morte depuis quelques heures lorsque les autorités avaient été avisées.

Lowell s'assurait que ces femmes ne pouvaient plus être sauvées. Il voulait être sûr qu'on ne parviendrait pas à les ranimer parce qu'il les voulait mortes. Le mariage de Roberta Amos ne fonctionnait plus, mais il n'en allait pas de même avec sa vie professionnelle. Peu avant sa mort, elle s'était achetée une maison avec ses propres économies. Elle prévoyait divorcer et repartir à zéro.

Lowell Edward Amos n'avait rien à gagner à tuer Roberta. Mais les enquêteurs croient qu'ils ne l'avaient pas supporté d'avoir été rejetée par elle. Il y avait beaucoup de ressemblances entre la mort de Roberta Amos et celle des autres femmes de Laurel. Tout portait à croire qu'il était un tueur en série et qu'il commettait ses meurtres quand cela pouvait lui être profitable.

Grâce aux indices recueillis dans la chambre d'hôtel de Lowell Amos et aux informations relatives à son passé, la police put procéder à son arrestation. Les photos de cette soirée montraient une Roberta Amos heureuse. Elle semblait bien s'amuser. Peut-être était-elle remplie d'espoir pour son avenir. Elle se trompait.

Lors du procès, la poursuite présenta une reconstitution de la dernière soirée de la vie de Roberta Amos. Le couple avait quitté la suite de Norbert Crabtree pour retourner dans sa propre chambre. Lowell avait dissous une grande quantité de cocaïne dans de l'eau. Il était ensuite parvenu à immobiliser sa victime et il avait utilisé une seringue pour administrer la drogue.

Elle avait alors probablement été prise de convulsion et il l'avait étouffée avec un oreiller. Lowell avait ensuite nettoyé le corps et la scène du crime du mieux qu'il pouvait. avant d'appeler Crabtree pour que ce dernier le débarrasse des indices qui restaient. Pour ce meurtre, il fut condamné à la prison à vie sans possibilité de libération conditionnelle. Il était parvenu à échapper à la justice à maintes reprises grâce à d'ingénieux stratagèmes, mais son passé avait fini par le rattraper.

Certains meurtriers sont moins subtils, mais tout aussi difficiles à arrêter. Le lundi 24 mars 1986, à Tempe en Arizona, La journée commença comme tous les lundis. À 8h30 du matin, les employés de la compagnie d'assurance France America Title étaient déjà à leur bureau. Tout comme ses collègues, Julie Ann Williams, 46 ans, se rendit dans la cuisinette. Quelqu'un avait déjà fait du café, mais elle préféra se servir de l'eau.

Elle en but une gorgée. Elle avait un goût étrange. Elle eut un malaise et se rendit aux toilettes. Malheureusement... Il était trop tard. Une employée trouva Julianne Williams dans les toilettes un peu avant 9h. Elle semblait avoir été victime d'une crise cardiaque. Lorsque les ambulanciers arrivèrent au bureau, elle était inconsciente. Ils l'emmenèrent d'urgence à l'hôpital. Il y avait quelque chose dans l'eau qu'elle avait bu.

Pendant que les employés discutaient de ce qui était arrivé, Diane Harry appela son mari. Elle était inquiète car un incident de la même nature lui était arrivé quelques jours plus tôt. Lorsque les policiers arrivèrent sur la Seine, Lewis Harry, le mari de Diane, était déjà à la recherche de ce qui avait pu contaminer l'eau.

C'est le sergent Mike Palmer de la police de Tempe qui menait cette enquête. Ce dernier constata très vite qu'il n'y avait pas que la bonbonne d'eau qui avait été empoisonnée. J'ai détecté une odeur dans la pièce. J'ai examiné toutes les tasses et les contenants de toutes sortes et j'y ai trouvé une substance dans chacun d'entre eux. Quelqu'un semblait avoir versé un produit dans ses contenants pour empoisonner ses gens. Heureusement, il n'y eut pas d'autres victimes.

Quant à Julianne Williams, elle mourut après un long coma. L'empoisonneur était désormais un meurtrier. La police recueillit des échantillons de poison pour le faire identifier. On préleva aussi les empreintes digitales sur tous les contenants, mais aucune ne se révéla intéressante. Les enquêteurs interrogèrent ensuite les employés. Diane Harry mentionna que le vendredi précédent, elle avait été incommodée après avoir avalé une gorgée de scotch chez elle.

Le samedi suivant, elle avait eu le même malaise en buvant une tasse de thé. Elle avait peur d'être la cible de l'empoisonneur. C'était pour cette raison qu'elle avait appelé son mari au moment où Julianne était tombée malade. Les enquêteurs interrogèrent Lewis Harry. Ce dernier était également inquiet que quelqu'un tente d'empoisonner sa femme. Il déclara qu'il avait reçu des lettres de menace du petit ami d'une femme qui l'avait aidée. Peut-être cherchait-il à se venger.

La police demanda à Louis de lui remettre ses lettres ainsi que la bouteille de scotch et la théière afin de procéder à des analyses. On confisqua également toutes les cartes de sécurité que les employés utilisaient pour rentrer dans l'immeuble. La personne qui avait mis le poison l'avait probablement fait pendant le week-end. La police constata que seulement une carte de sécurité avait été utilisée. Cela s'était produit à 10h18 le samedi matin. Il s'agissait de la carte de Diane Harry.

J'ai demandé des explications à Mme Harry au sujet de cette information et elle m'a affirmé ne pas avoir utilisé sa carte. Elle ne comprenait pas comment cela avait pu se produire puisqu'elle l'avait mise dans son sac à main et qu'elle n'y avait pas retouché. La carte était bien dans son sac le lundi matin lorsqu'elle s'était rendue au travail. Diane Harris en tenait à dire qu'elle n'était jamais sortie de la maison puisqu'elle n'avait pas quitté le lit du week-end.

Tout semblait incriminer Diane Harry. Était-elle le suspect ou la cible ? Il était encore trop tôt pour le dire. Vous venez d'écouter Police Scientifique. Si vous avez aimé ce podcast, vous pouvez vous abonner sur votre plateforme de podcast préférée et suivre Initial Studio sur les réseaux sociaux. Cet épisode a été écrit par Steve Zorn. et il a été réalisé par Shannon Chaplinsky Bailey. Police Scientifique est un podcast coproduit par Initial Studio et New Dominion Pictures.

Adapté de la série documentaire audiovisuelle New Detectives, produite par New Dominion Pictures. Production exécutive du podcast Initial Studio. Production éditoriale Sarah Koskiewicz et Astrid Verdun. assisté de Sidonie Cotier. Montage, Johanna Lalonde, avec la voix de Benjamin Septemours.

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