Ordre et désordre républicains (1/3) : Troubles à l'ordre public ? Avec Valentine Zuber - podcast episode cover

Ordre et désordre républicains (1/3) : Troubles à l'ordre public ? Avec Valentine Zuber

Apr 15, 20242 hr 47 min
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Qu’est-ce que l’histoire religieuse nous apprend sur la place des religions dans la vie démocratique aujourd’hui ? Le moment 1905 consacre le modèle français de liberté religieuse mais le lien entre République et diversité des pratiques religieuses semble aujourd’hui érodé. De fait, l’exercice de la liberté religieuse donne lieu, depuis les années 1990, à une vaste jurisprudence dans plusieurs pays européens et devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Les religions seraient-elles devenues un trouble à l’ordre public ? Du cléricalisme comme ennemi désigné des gouvernements à la diversité des pratiques religieuses, peut-on voir un lien entre sentiment anti-protestant dans la France du dernier XIXe siècle et peur de l’islam aujourd’hui ? L’élaboration de la laïcité comme valeur démocratique relève-t-elle d’une cohérence propre de l’idée républicaine ? Nous aborderons ces questions avec Valentine Zuber, professeur à l’École pratique des hautes études (EPHE) et autrice, notamment, de Laïcité en débat (2020).

Transcript

On démarre un petit oro-mose sur le lieu d'être d'orotiste. Donc, de l'orotiste, c'est un café associatif. Dans lequel on a plusieurs activités, on a des conférences comme ce soir. Donc, c'est un entrage intellectuel. On a aussi un entrage manuel. On a des ateliers derrière qui sont dans lequel on a des artistes qui travaillent. On a un atelier de prix collage ouvert sur la vis et sur le quartier avec des gens qui viennent précoller chez nous le soir et le week-end. Ça, c'est l'entrage manuel.

Et puis, enfin, on a un entrage social avec un café solidaire qui est ouvert, qui est tenu par des bénévoles. Et qui est ouvert la Premidie en semaine à le week-end. Et qui accueille tout le monde pour voir un café, pas faire des chargets s'emportables et créer des bien-sosables. Bienvenue à tous et puis surtout à ceux qui viennent aux d'orotis pour la première fois.

Je passe la parole à Thomas avant de présenter notre intervenante ce soir pour présenter peut-être le cycle dans lequel s'inscrit la conférence de ce soir. Merci, Tibo. Bienvenue à tout le monde. Bienvenue aux personnes qui ne connaissent pas encore le d'orotis. On est ravis de vous accueillir et n'hésitez pas à découvrir les activités dont on a parlé Tibo. Bienvenue à la première conférence de ce cycle de trois conférences que nous organisons cette année.

On va parler de l'ordre et du désordre républicain, à la petite rinpeur étrange. Mais l'idée c'est d'interroger l'idée de république dans ce qu'elle peut suggérer à la fois d'ordre supposé. Un ordre qui devrait être aussi le garant des libertés citoyennes, d'une liberté politique, celle de participer à la vie publique.

Et puis en même temps, une République qui peut être encore plus ces dernières années, peut toujours se nier avec des actions autoritaires, les actions d'un ordre qui parfois passe par une certaine imposition autoritaire parfois par la force ou la violence pour garantir des institutions qui seraient menacées par le désordre rampant des personnes qui seraient considérées comme des ennemis de la République.

Donc il y a un peu une question qui se pose autour de cette notion de République, qui est en quelque sorte celle de savoir de quel côté ce stueur républic, qu'est-ce que la République se situe du côté de la liberté politique ou est-ce qu'elle se situe du côté d'une autorité qui irait à l'encontre de cette liberté.

Donc, vaste programme, ce soir nous recevons Valentin Dubair qui est historienne pour parler de la notion de laïcité, qui est une des notions aujourd'hui farde de cette idée de République débattue fréquemment. Et on aura deux autres soirées alors je vous dis les dates sans me tromper. La première, c'est le mardi 30 avril.

Et ce sera sur le thème tous écoterroriste débattent sur la criminalisation des luttes. Alors là on recevra le sociologue Julien Talpain et on parlera de la manière dont certains discours et certains armes juridiques, en particulier la loi sur les séparatismes de 2021,

si je ne me trompe pas, a pu peut-être utiliser aujourd'hui contre les associations contre certaines libertés associatives, avec une question mon contour de l'engagement sociatif, mais aussi autour de la liberté religieuse à nouveau.

Et puis un troisième volet le jeudi 13 juin, cette fois avec Aoues Seniger qui est politiste, politologue, qui parlera du rapport entre la laïcité et l'Islam, ici autres grands acteurs de ce débat autour de l'idée de République, la République qui serait devenu une espèce d'arme garante de la laïcité contre des religions qui en voudrait à la République.

Et donc ici la figure de l'Islam est très importante, on en parlera déjà ce soir je pense et on en parlera encore plus avec Aoues Seniger, la question de savoir si la laïcité offence est instrument démonspassion, déreligion et de l'Islam ou si c'est un instrument de contrôle de ces religions. Alors ce soir donc je laisse la parole à Tibo et Valentin pour entamer cette difficile question de la laïcité. Merci beaucoup Thomas, si vous n'avez pas noté les dates tout est sur le site Web.

Bonsoir Valentin du Berk. Bonsoir. Vous êtes professeur directrice d'études, on dit à le PH, à l'école pratique des audités études, on vous reçoit ce soir donc pour cette première soirée qu'on a intitulé, trouve la l'ordre public pour un interrogation, les religions dans la République. Vous êtes historien donc on a choisi de faire ça selon un plan chronologique.

On va essayer de suivre trois moments, un premier moment en gros entre la révolution française et la loi 1905 pour avoir le point de vue historien sur les enjeux de cette loi à son époque. On va aussi comprendre les enjeux d'aujourd'hui un deuxième moment sur le XXe siècle et un troisième moment sur la période contemporaine. Peut-être pour débuter. C'est ainsi que moi je vous avais formulé les choses, mais c'est vous qui allez nous dire.

Quelles sont en fait à l'époque, depuis le titre de la révolution française, les enjeux de la loi 1905 à l'époque? Comment est-ce qu'on peut en faire une histoire politique dans aussi l'histoire politique française, donc en fait dans l'histoire républicaine française? Tout à fait. Ça peut prendre cinq minutes comme ça peut en prendre deux heures, mais je vais essayer d'être concise. Oui, on va passer à la parole à la salle.

On essaiera de passer la parole à la salle après chaque moment, si ça vous dit. Oui, c'est peut-être plus intéressant dans la conversation. Merci beaucoup de m'avoir invité. Je suis ravie de découvrir ce lieu que je connaissais de réputation. Mais je n'étais pas montée jusque là encore, mais je trouve tout à fait intéressant et accueillir. Alors quand on parle de laïcité, évidemment, on choisit ces points de vue.

Moi, je suis historienne, donc je vais vous montrer un peu comment ça s'est construit péniblement pendant deux siècles. Et pourquoi ça a appris cette forme là? Et en quoi en plus cette laïcité n'est pas une exception française, comme certains continuent de le dire, avec un énorme cocorrigo qui ne résout pas le problème.

Alors vous avez effectivement parlé de révolution et c'est important de partir de là, parce que à la veille de la révolution, vous avez un peuple qui est majoritairement catholique, socialisé dans le monde catholique, un roi qui, ça légitimité directement de Dieu. On l'appelle le lieu tenant de Dieu sur terre, donc il se prendra pour la prise de vue tout à la même. On a une église catholique qui est sous la coupe du roi, bien plus que sous le sel du pap.

Et on a deux minorités, religieuses qui existent depuis toujours pour les juifs. Ils sont une micro minorité parpillée un peu dans l'espace national, en Alsace dans le compte avenissant qui n'est pas encore français et autour de Bordeaux et de Bayonne.

Et puis une minorité plus importante, qui est la minorité protestante et qui est là depuis le 16ème siècle, et qui n'a cessé de subir depuis les guerres de religion qui ont été sanglantes, n'a cessé de subir des avenies et des persécussions de la part du pouvoir foillale. Et ce jusqu'à très tard, dans le 18ème siècle, puisque c'est en 1787 seulement que Louis XVI va publier un édit dit de Tolérance, qui va accepter l'existence civile des protestants.

La fiction étant que depuis la révocation des dignes nantes, il n'y avait plus de protestants ou trans. Et donc il vivait dans une plan d'estinité la plus totale.

Donc un pays qui a beaucoup souffert des guerres de religion, des confrontations religieuses, un pays qui a beaucoup nier son pluralisme interne, même s'il était très déséquilibré, bien entendu, puisqu'on a à faire très grosse majorité et de moyenne et petite minorité, et un pays qui rentre dans la modernité de manière brutale à travers la geste révolutionnaire, donc de 1789 et des années suivantes.

Et le premier acte, un des premiers actes le plus fondamental de ce régime révolutionnaire en cours de constitutions, c'est dès 1789, la rédaction compliquée de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen qui prend 7 jours, un peu comme geste divin, et donc deux sont consacrés entièrement à la discussion sur l'article d'is qui donne du bout d'élèbre le droit à la liberté de conscience et à l'alignement.

Et au besoin, à la liberté de culte, c'est-à-dire de manifester sa religion non pas quand une ancien privée, mais au vu et au sud de tous, et votre titre est très bon, puisque la seule limite à cette liberté qui était nancée à l'article d'is est le trouble à l'ordre public. Et donc dès l'abord, si vous voulez, le religieux est mis en parallèle avec le trouble de l'ordre public.

Alors, il y a d'autres articles de la déclaration qui évoque ce trouble à l'ordre public, mais néanmoins, c'est quand même pour cet article justement que... et voilà. Et à l'époque, on l'écoute, on l'aisez, c'est une petite anecdote, mais en histoire, c'est toujours difficile d'essayer de le lire avec les yeux des gens qui l'ont vécu, on l'entendait comme trouble au culte public. Et le culte public, c'était le culte majoritaire, c'est-à-dire le culte catholique.

Donc vous voyez, c'était vraiment une liberté donnée du bout des doigts, mais qu'il y aura une posterité formidable, puisque cet article d'is va être pris réécrit de manière plus moderne, dans l'article premier de la loi 1905, qui là aussi garantit la liberté de conscience et assure la liberté de culte.

Donc c'est que l'ensemble de ce qui constitue la liberté religieuse et c'est l'état, la République qui doit être garant et assurer cette liberté, sous réserve de ne pas troublée l'ordre public, on reprend exactement les mêmes termes quand 1789 et ça a propos de la religion. Donc il faut comprendre cette histoire traumatique et puis cette reconnaissance à la fin du 18e siècle de la pluralité religieuse de la population française.

Ensuite ça va être organisé par Napoléon Bonaparte parce que lors de la révolution, je n'insiste pas, c'est pas le sujet.

Il y a une guerre civile aux religieuses qui se traient avec le schisme entre les catholiques assèrentmentés, les catholiques qui refusent de prêter le serment au pouvoir, une véritable guerre civile religieuse que Napoléon résout en démissionnant tout le monde et en reconstituant une église catholique qui n'est plus l'église de l'État, ça c'est fini en France, il n'y a plus d'église d'État mais qui devient l'église de la majorité des Français.

Ce qui a beaucoup des plus vous imaginez au parc qui préparait, enfin invoquait toujours la fillet née de l'Église, la France, fillet née de l'Église etc. Et Napoléon très pragmatique à Bonaparte à l'époque, il est pas encore en preu, Bonaparte très pragmatique accordent cette même liberté religieuse au protestant et des deux confessions,

c'est-à-dire que l'utérienne est réformée, mais aussi, infiné au juif, ce qui est absolument scandaleux dans le rot entière, puisque les juifs ont toujours été considérés comme les êtres de seconde classe et certainement pas des sujets hors en France, ils le sont depuis 1781, ce sont des citoyens comme les autres et leurs culteurs va être reconnus par l'État.

Et donc, on est dans une, vous me direz, c'est pas la laïcité de reconnaître des cultes et de les subventionnés, mais c'est une forme quand même de laïcisation de l'État, puisque l'État n'a plus de coloration religieuse, particulière et contrôle tout particulièrement les cultes reconnus en les subventionnants, évidemment, en les menacences, il ne n'obéisse pas de leur retirer leurs subvention.

Donc, on est dans cet État, qui est un peu l'État d'un certain nombre d'un pays autour de nous, ce, cette laïcité de reconnaissance, qui fait que le pluralisme est organisé et subventionné et contrôlé par l'État, c'est vrai de tout à côté de chez nous, par exemple en Belgique, et c'est vrai, dans d'autres casées d'État, comme en Italie, etc, avec des formes moins curts, je dirais.

Donc, première étape dans la laïcisation, et ça a tenu très longtemps, parce que vous savez que le 19e siècle, c'est 11 régimes successives, chaque fois amené par des coups d'État, donc c'est des révolutions sur-regolutions tous les 20 ans, et on change tout, sauf le système de régulation des cultes qui,

c'est un peu l'évalomérite de bien marcher. Alors pourquoi tout à coup, c'était dans le programme des républicains face à la puissance et à la prétention politique du néglise catholique que la révolution, finalement, n'avait pas beaucoup abattu, et bien les républicains vaient dans leur programme que celui de Belleville, par exemple dans une année d'iciens 70, de séparer cet église de l'État, mais il ne le mettait jamais en application, et pour des raisons qui se raisonnent encore actuellement.

C'est-à-dire que dans un pays peu sûrs politiquement, où les républicains pouvaient se faire renverser d'un moment à l'autre, il fallait affaire-mire son pouvoir, et bien ne plus contrôler par les subventions, l'église catholique était une manière aussi de lâcher la bride à des forces réactionnaires qui pourraient avoir une action politique extrêmement forte.

Et ça, vous voyez que cette réflexion, elle est liée toujours dans l'esprit des républicains, dès le début, c'est pas par bon tédame qui vont séparer l'État des religions, c'est après mieux réflexion, après avoir petit à petit regagné tous les espaces institutionnels de la société.

Et c'est pour ça que la séparation est la rivende 1905, alors que la politique de la décision républicaine, elle va s'étaler sur un certain nombre d'années, à partir des années 1880, et l'État va créer des institutions laiques qui vont devoir remplacer les institutions religieuses. C'est le cas de l'école, toujours été très contrôlée par les curés ou des évêques, c'est le cas des prisons, c'est le cas des établissements de santé, c'est le cas de la justice.

Toutes ces institutions vont être ramenées dans le Gérône de l'État et vont être laissisée, c'est-à-dire que le religieux n'y aura plus sa place, en tout cas dans les instances dirigentes tout du moins, puis peu à peu dans les personnels, puisque laissise les métiers d'infirmières, on la laissise le métier d'enseignants,

on la laissise les cimetières pour éviter les discriminations entre les gens, on l'a ici les funerais et n'est plus obligatoire de passer par les blises pour se faire intérêt, etc. Et infiner, donc on en arrive au dernier acte final, qui est la séparation des églises et de l'État. Alors je dis bien déséglise parce que avant, il y avait des églises reconnues, il n'y avait pas que l'Église catholique, il y avait les protestants, il y avait les juifs.

Donc tout le monde sorte, on va la même enseigne, accepte plus ou moins cette loi pour les catholiques, c'est très compliqué, il va falloir attendre les années 20 pour que l'Église catholique accepte le système culturel qui a été organisé par la République, mais finalement, à quoi ça veut dire cette séparation? C'est peut-être là-dessus que c'est aussi intéressant de savoir qu'elles étaient les options. Alors, il y avait deux options principales.

Donc je vous dis, on revient d'un système de reconnaissance et de contrôle, de contrôle même assez tatiant, je ne me dis pas.

Mais à la faveur de la faire de réfuge, à la faveur de la défaite face à l'Allemagne, avant, pardon, c'est moi je ne le dis pas dans l'ordre chronologique, à la faveur d'un anti-sémitisme extrêmement virulant qui s'exprime à la fois dans l'écolonie et d'ouardrement le terre de la libre parole et député d'Algérie, à la faveur de troubles aussi, de contestations politiques, du côté catholique,

le journal Lacroix et à l'époque sous-titré le journal le plus anti-sémit de France. On oublie ces choses-là. On est vraiment dans une bataille de civilisation, une véritable bataille de civilisation et donc évidemment les républicains veulent passer fiers les choses et ils le font à la fois de manière libérale et de manière autoritaire.

Et donc on commence par la manière autoritaire et c'est le petit père Cond et Milcom, donc président du Conseil au tout début du XXe siècle qui va faire une politique extrêmement clérico, voire anti-religious et l'exatoire vis-à-vis des catholiques,

en désarmant complètement particulier toutes les congregations religieuses, les congregations enseignantes, les congregations hospitalières etc. et qui va mettre sur la route de l'exil un peu comme les protestants en 1685 et à peu près dans les mêmes proportions d'ailleurs des congregations entières qui vont s'exiler, qui vont partir au Québec, à Garnese, qui vont s'installer sur la frontière belge etc.

parce qu'ils ne sont plus autorisés à fonctionner. Donc il y a un paroxysme si vous voulez anti-clérico à ce moment-là et pour certains républicains le but ultime c'est bien d'en finir définitivement avec le religieux et particulièrement la religion catholique. Les juifs et les protestants, ils sont assez d'ossiles, ils ont tout gagné avec la religion français donc ils ne sont pas vraiment concernés par ces mesures très dures.

Et donc ce qu'on veut, ce que veulent certains républicains parmi les plus dures, c'est démolir cette puissance politique que représentent encore à leurs yeux l'existe catholique en France. Donc il y a cette position et il ne faut pas l'oublier, elle existe, elle est très forte et elle est en tout cas publicment au cours de politico-médiatique, elle est majoritaire.

Ça ne veut pas dire qu'après dans les urnes et à la chambre des députés, elle est gagnée mais elle est majoritaire donc il y a un contrat dure. Et puis il y a un camp autour de Jean-Joresse et d'Arresti-Briand plus à gauche, il dirait, ou enfin une autre gauche, qui va pléder pour indivorce, indivorce sans faute, indivorce entre l'Etat et les différents puls anciennements reconnus afin que l'Etat reste chez lui et les églises exèrent sans toute liberté chez elle.

Donc décirez ce contrôle et en même temps permettre l'épanoucement le véritable épanouissement de la liberté de religieuse des individus et des groupes. Alors ça va mettre évidemment un certain temps, l'assemblée, enfin la chambre des députés sera feu et assant mais en moins d'un an on réussit à construire ce texte tout à fait équilibré qui est toujours en vigueur aujourd'hui.

Pas certains articles de transition bien sûr qui n'étaient plus importants et qui n'avaient plus de sens mais en tout cas les deux articles de principe qui est l'article 1 sur, comme je vous disais, l'Etat garantit la liberté de conscience et assure la liberté de cul et l'article 2 qui dit le changement de régime et qui choisit un régime de la illicité que j'appelle séparatiste, c'est à dire d'un point de vue juridique.

Le domaine de l'Etat et le domaine public, le domaine de l'espace public, pas de l'espace la rue, l'espace public, en sens l'espace de l'Etat et des institutions de l'Etat et puis les religions cessent d'être subventionnées et prennent une... Je ne suis pas juriste, je vais mal m'exprimer mais disons qu'il relève maintenant du domaine juridique privé et qu'il doit subvenir leur besoin par eux-mêmes et voilà.

Et l'autre exigence aussi de la part de l'Etat, c'est que les religions ne se melent plus de politiques directement de politiques au sein des églises ou des synagogues ou des temples mais aussi par dans des mouvements politiques à couleur religieuse et c'est peut-être pour ça qu'en France il n'y en a jamais eu comme en Italie de grands mouvements par exemple démocrate-cretiennes, ou etc. et qu'on se méfie toujours de l'association entre politiques et religions.

Comme je vous disais le camp libéral entre guillemets à gagner, c'est cette loi, comme je peux très libéral qui a gagné et qui évidemment va à l'encontre de toute idée de d'extrruption du religieux mais toujours qui est un des religions. Et c'est pour qu'il y ait une liberté assez grande mais toujours dans les limites de sèles de l'ordre public et de tout le problème c'est de savoir ce que c'est qu'il trouve la l'ordre public et comment il est défini par les lois ou par les hommes politiques.

Voilà un petit peu donc le climat qui existait dans ce 19e siècle extrêmement tumultueux et avec des combats très très dues. Merci beaucoup pour cette éclaircissement vraiment passionnant sur les origines de la laïcité. Je vous l'avais donné la parole à la salle donc si vous avez déjà des questions n'hésitez pas à les dire.

Juste une toute position sur le terme laïcité, j'ai que le comprendre qu'il n'apparaissait pas dans la loi de 1905 et ce qu'il apparaît déjà avant dans le débat public et dans les... Est-ce que Jules Ferri par exemple entre le terme laïcité qu'on y parle de l'éducation etc. Alors oui tellement il en parle tellement que dans la loi 1882 qui est habile le programme de l'école laïque et le public et la première matière qui doit être enseignée c'est l'instruction civique laïque.

Donc c'est vraiment peut-être on en reparlera sur l'école mais on est dans la construction d'une école qui est une école de manière un peu carrécutivale donc on veut dire prosélite. Il s'agit bien d'arracher les enfants de l'emprise religieuse qu'ils aient subi si ils étaient restés seulement dans leur famille ou éduqués par les curés dans les écoles prétiennes.

Donc donc on est vraiment là oui dans le... et le terme de laïcité effectivement n'apparaît pas dans la loi 1905 mais c'est intermassé, on parle de laïque en fait, on parle de l'adjectif et la meilleure prof c'est que faire d'invution qui le perd de l'école laïque va parler d'un étalaique et définir ce que c'est l'état laïque un état sans dogmatisme qui n'est pas un fait. Il n'est pas un fluancé par le religieux qui est neutre et impartial vis-à-vis des citoyens.

Parce qu'il y a déjà des questions sur ces... c'est très historique. Je vous menine au reste tout à l'heure en ce qui concerne l'intécação de la religieuse. La justice par exemple par un vote de justice de 150. Parce que quand vous parlez de... de faire sortir la religion par les membres de l'épidue questionnissuelle, ça me paraît clair et simple, des opicots aussi. Ce qui concerne l'injustice, je ne vois pas comment ça fonctionne au parable.

Tout simplement il y avait des très grands crucifis derrière le juge et il y avait des tableaux religieux et il y avait aussi un serment qui était préféré et qui incluait la capacité de Dieu. Jusque dans les années 1970, ça a duré beaucoup plus longtemps. Désonque, merci d'avoir lu attentivement. Mais effectivement, la laïcisation de ces différents espaces a mis beaucoup de temps.

Dans un autre état laïque, par exemple, Italie, vous savez peut-être qu'il y avait toute une histoire devant la cour européenne des droits de l'homme. Parce que une dame canandesse, je crois, qui habité en Italie, dénoncer le fait qu'il y avait des crucifis dans les salles de classe de l'école publique. Et ça a été interdit une première fois par la cour européenne des droits d'homme qui s'est dédite et qui a dit qu'en suite c'était une tradition, qu'il fallait, ça n'avait pas de signification.

Donc il y a toujours des débats. Merci. Nous l'envions, en fait, nous c'est pas un truc à l'œil qui nous montre contre l'influence de l'Église ou le critique de l'Église de l'Église. Il va chers, vous venez un peu la dessus, c'est une arme. C'est pour l'époque, qu'est-ce que vous prétentionne à l'Église? Ah bah, effectivement, c'est quoi le lieu? D'abord, il y a des prélins dans la chambre des députés.

On a pu l'habitude. Mais on a aussi à la chambre haute, plus particulièrement à la chambre haute, qui est déjà plus conservatrice, mais des prélins. Je vous ai dit ce que c'est des prélins. Ah, les prélins, pardon. Bah, des évêques, tout simplement. Vous avez certainement entendu mentionner un jour la loi Falou. Le Falou est un évêque, je sais plus, un grand évêque de l'époque. Donc, il y a déjà une présence physique et politique évidente dans les assemblées.

C'est pour tout, en tant que responsable d'équipe, parce que par exemple, la défière est élu, le petit oeil non, on est en... Oui, bien sûr. Le créat de l'Église, c'est qu'il y a une autre idée particulière. Je suis peut-être trop bien entendu, de deux. En étant... aux autres, on est envers des... Oui, c'est là, en tant que évêque, et pas en tant que évue. Si, si, mais vous savez, en particulier pour le sénat, il y avait des sénateurs, une amovie qui avait été créée à une certaine époque.

Alors, ils en ont profité à maximum. Donc, ils étaient élu, enfin, lointainement. Mais on est à deux époques très différentes. Vous imaginez bien des évêques en grande tenue, qui assistent au débat et qui proposent des lois, qui défendent des lois, etc. Et puis, la bépière, qui est un peu, qui représente tout seul. Et d'ailleurs, c'est un signe de la secularisation très forte. Mais fort en France, c'est que c'est devenu une incongruité.

À tel point que dans l'Assemblée nationale actuellement, il y a un règlement intérieur qui interdit les vêtements politiques, les vêtements religieux, les vêtements qu'on est députés. Ou les vêtements, parce que vous savez, il y avait le François Rufin qui était présenté en mailleux de foot. Et donc, on en a profité, puisqu'on était dans l'ambiance, on va en parler tout à l'heure, des lois contre les vêtements religieux. On a mis aussi les vêtements religieux dans le pack.

Mais donc, à la fin de 19e, c'était une véritable même nationale. Menace au niveau des institutions de gouvernement de la République, le risque de la démocratie, c'est que le gouvernement peut changer et y changer d'ailleurs beaucoup sous ce régime. Et puis, il y avait cet enjeu de l'enseignement. Et c'était vraiment l'école de Dieu et l'école du Diable à une époque. Et les gens avaient du mal à choisir. Alors, évidemment, surtout dans les campagnes.

Mais bon, il y avait quelques arguments que tes républicains, c'était gratuit. On apprenait quelque chose et pas seulement le catéchisme. Il y avait des arguments, quand même. Mais sur des tas de sujets, l'Église avait du mal à lâcher un pouvoir si, enfin, pas civil, mais un pouvoir temporel que l'avait encore beaucoup.

Dans l'esprit des républicains, les lois qui est plus faite pour se prémunir contre ce qu'ils voient comme un risque politique, ou tout le monde, l'Église, réactionnaire qui compte la République. C'est parce que vraiment, positivement, ils sont contre, le dire, le contenu de la religion crétienne, ils veulent la remplacer par une éthique rationnelle, ça dépend des groupes. En fait, les républicains sont extrêmement divisés sur ces sujets.

Ce qui est très dit, cette grosse opposition par exemple, comme un Paul Berre, qui veut radiquer l'Église catholique et il trouve qu'il compte qu'il a un projet de séparation d'Église et de l'État qui est tellement anti-liberal que forcément, ça va entraîner de la fin des paroisse ou de l'organisation ecclesiastique propre à la... Une atteinte très forte à la liberté religieuse, c'est une différence sentiment.

Et pourquoi Jorès, qui est socialiste, pour pouvoir avérer, a soutenu cette loi et le fait que c'est une loi d'équilibres, etc., c'est que aussi il a bien un agenda derrière. C'est problème religieux, en France, et c'est encore le vrai aujourd'hui. J'en suis un peu prépersuadé, c'est à l'aura aussi de par avant pour ne pas traiter d'autres problèmes.

Et Jorès, à l'époque, son programme a été d'instaurer l'impôt sur le revenu, d'instaurer une meilleure justice sociale, étant qu'on se offie entre bouffeur de curé et curé, on n'arriverait pas à mettre en place un programme de progrès sociale. C'est pourquoi d'ailleurs aussi, il faut jamais oublier que dans la 5ème... La Constitution de la 5ème de la République, la République est certaine laïque, mais elle est aussi sociale. Donc les deux choses doivent être pris en compte toutes les deux.

Merci beaucoup Jean-Prophie. Pour l'encer, tu veux qu'on y a une question? On va être dénue à l'aïque. J'ai décidé à compréhiger ce que je connais. Les printes est fort en France. En France, on a su pour faire faire un bien. On s'ouvent mieux la lécuter fortement. Oui. Et quelle est la différence juste pour voir sur les protestants de France? Les protestants des Etats-Unis, on a la question plus techniqueuse dans le rectum. On précie ça, bien sûr, sur la vie, le...

Et c'était l'experra, enfin, sur rapport entre la laïcité des protestants de laïcité et de la laïcité qui est différente à la France et différente aux Etats-Unis. Alors, elle est différente... Oui ou non? Parce que les Etats-Unis aussi étrange que cela puisse nous paraître et le premier pays laïque d'un point de vue chronologique dès 1791, dans le Bill of Rights, il est dit que l'Etat a interdiction de s'occuper du domaine religieux et de favoriser tel ou tel religion par rapport à d'autres.

Et un stort, les personnes ont parlé de mûres de séparation. Donc, un siècle, largement un siècle avant la loi 1905, une séparation juridique, et faite entre l'Etat faits des rares américains et les différentes religieux. Alors, cela ne veut pas dire, si elle ne s'épargne pas, cela ne veut pas dire que les gens sont moins religieux. Et c'est la société qui est ultra religieuse aux Etats-Unis.

Même si cela commence un petit peu à changer, mais dans les années 1970, on était encore à 80 % de gens qui se déclaraient croyant. Maintenant, la secularisation avance même aux Etats-Unis et on voit même des attailles qui revendient que leur atéisme publiquement, ce qui était pratiquement impossible à 20 ans. Donc, on est vraiment là dans un basculement côté américain. Mais alors, évidemment, ce que vous citiez, c'est-à-dire une God-Weat Trust sur le Biais américain.

Cela, c'est une mention très tardive. C'est mid-20e siècle. La prestation de serment, alors on en parlait tout à l'heure de la prestation de serment. Il y a une philosophie très importante pour la laïcité qui est celle de John Locke, et c'est l'aide sur la Tolérance. Il était extrêmement ouvert à une Tolérance de tous les spécificités religieuses que ce soit. Il se posait à deux.

Les seuls qui ne pouvaient pas être Tolérés, c'était les catholiques parce qu'ils avaient un autre maître, le parc, et donc on ne peut pas avoir deux maîtres. On va trahérer là ou on va trahérer l'autre. Et dans sa conception, on a du 17e siècle. Et la deuxième interdit, c'était les athés, parce qu'ils ne pouvaient pas prêter serment. Parce qu'avant, sous entendu, le serment se fait toujours sous l'autorité de Dieu, parce qu'évidemment, il y a une justice immanante.

Et si vous ne respectez pas votre serment, Dieu va y pourvoir. Donc, la prestation de lui serment, c'est très important pendant très longtemps, les athés ont été poursuivi parce qu'il n'était pas fiable. Et le cas, c'est ce qu'il tu rêve qui est resté aux États-Unis pendant très longtemps. Alors, il faut juste savoir que pour le serment, ça n'est jamais arrivé.

Mais pour le serment du président de la République, s'il n'est pas chrétien, il peut prêter serment sur n'importe quel autre livre qu'il considère comme sacré. Donc, c'est arrivé pour un député du congrès, qui était musulman, et qui a prété serment sur le coron. Donc, on est là dans une religiosité, ce qu'on appelle la religion civile américaine, c'est-à-dire extrêmement vague et large, et qui permet d'intégrer toutes les spécificités particulières des habitants des États-Unis.

Et tout ça, évidemment, c'est pour ça que l'histoire est importante pour moi. Ça vient, évidemment, de cette peur des Américains, des persecutions religieuses, qu'ils ont décus, parce qu'ils sont, à l'origine, tous des persecutés religieux, qui ont fui leur pays, l'Angleterre, l'Olan, l'Irlande, éventuellement la France, parce qu'ils étaient persecutés religieusement et qu'ils vont établir une...

Et c'est pour ça aussi que les États-Unis sont tellement attachés à la liberté religieuse, parce que c'est au fondement même de leur... de leur... orégie. Oui. Merci beaucoup. Je vais vous qu'on a dépassé le cadre plus du... Alors, il y a beaucoup... Il y a beaucoup de choses qui étaient très propantes dans ce que vous avez dit et moi, mon impression, ça me fait ma transition vers la seconde partie, c'est que...

Il y a des choses qui, à la fois, dans ce moment autour de 1905, qui, à la fois, semble très proche de ce que... de... de la situation actuelle, de ce qu'on vit actuellement. Et en même temps, on a l'impression que la société a profondément changé entre temps et qu'entre temps, il y a eu une... lame de fond, une réalité sociologique, très mètre, qui est celle de... de la secularisation, c'est-à-dire tout simplement du fait qu'il y a moins de croyants que les gens sont moins croyants.

Et puis, par ailleurs, et on y viendra que il y a des religions qui ont pris démographiquement progressiment un peu plus de place en France. Et donc, la ma question, c'est, en fin de compte, depuis 1905, et tout au long du XXIe siècle, avec peut-être des moments particuliers qui serait, par exemple, la Constitution de la Sénégal Public, avec qui définit la République comme laïque.

Qu'est-ce qu'on observe, comme mouvement, alors vous avez parlé tout à l'heure avant de commencer la Constitution, de passification, après cette loi de 1905, qu'est-ce qu'on observe comme mouvement qui amène à la situation qu'on connaît aujourd'hui, ou en l'impression que la laïcité

est devenue quelque chose d'assez différent puisque vous l'avez mentionné comme exemple, à l'Assemblée, la laïcité devient un outil pour dire qu'on ne peut pas arborer une toute une heure d'une vieule, etc. Oui, mais l'histoire est, l'histoire est contrastée à l'élongue et elle peut être lue de manière différente. Alors, je vous présente ma version.

Comme je vous disais, le PAP a refusé que les évêques appliquent la loi de 1905, c'est-à-dire, de techniquement, de former des associations culturelles, c'est-à-dire un peu différente des associations au 1901, mais assez semblables aussi, qui étaient gouvernés par un bureau élu. Évidemment, les catholiques ne pouvaient pas accepter, par les autoriques catholiques, les clairs ne pouvaient pas accepter qu'il y ait un président laïque, par exemple, qui organise la vie de telle part-ouace.

Donc, ils ont obtenu, la France a été bonne fille, pendant de nombreuses années, ils ont finalement obtenu que ces associations qui devaient donc gérer le culte et privées, évidemment, du domaine privée, ils ont obtenu que ce transforme en association diocesaine, donc ce qui veut dire qu'elles étaient, forcément dirigées par les vecs. Donc, il n'y avait pas de délection possible, autre qui faisait, évidemment, peur, au cargé.

Donc, il y a eu des acommodements, bon ça, c'est passé, c'est même biais, c'est des accords diplomatiques entre le Vatican et la République, on a pour qu'elles savent les accords brillants cérés, et ça date des animaux. Donc, petit à petit, cette guerre des deux France, un grand chercheur sur la laïcité qui est mort il y a quelques années, il m'a eu le poulet, par les deux guerres des deux France, la France catholique et la France républicaine, cette guerre des deux France, elle s'apaisse,

et elle s'apaisse d'autant mieux que après la guerre et en dépit de l'épisode vichiste, les vecs vont se rallier à la République complètement, ils vont dire à leur otherwise que c'est le meilleur régime qui soit pour la France, c'est elles qui existent après le drame de la seconde guerre mondiale.

Donc, rallément du catholicisme, et peut-être en forme, alors que aussi la secularisation commence, c'est-à-dire que les églises commencent, petit à petit à ce vidé, quand même, c'est guillomcuché qui étudie ce processus, c'est qu'ils voient l'accélération au début des années 60, où on assiste véritablement une émouragie dans les paroisse. Donc voilà, il faut trouver une solution.

Et en particulier les écoles privées, puisqu'on a conservé la liberté de l'enseignement, après l'épisode combiste, les congregations sont revenus, les écoles privées s'étaient développées, en toute liberté, mais cet écol monde argent et l'État va voler à ce coup, et c'est la fameuse loi de Bray de 1959, quand on repart aujourd'hui. Voilà.

Et donc l'État va prendre en charge une partie du budget de ces écoles, sous avec un certain nombre de pré-roquies, qui ne sont pas tous véritablement respectés, on l'a vu récemment, qui est l'interdiction de la discrimination dans le choix des élèves, en fonction de leur confession religieuse. C'est une plus qu'ils reçoivent de l'argent de l'État.

Il doit avoir une attitude toute laïque vis-à-vis de leurs élèves, des programmes qui doivent être ceux de l'éducation nationale, la surveillance d'inspection des professeurs, qui doivent avoir un bloc de l'État. Donc, il y a quand même des pré-requies très forts, mais malgré tout, et on ne sait pas ce que on ne sait pas. Et je pense qu'on va savoir un jour, on ne sait pas combien sa coûte à l'État. Voilà.

Donc, il y a cette loi de bruit qui va être ensuite accompagnée, d'autres lois, me baranger, etc. Qui vont raffiner le problème et qui font une entorse quand même, réfléchissez-y à l'article de la loi 1905, qui interdit tout subventionnement d'activité religieuse. Alors, c'est très facile, en France, je ne sais pas si c'est rare dans les autres pays, quand on n'est pas à l'aise avec un mot, par exemple, le change. Donc, c'est pas considéré comme un subventionnement.

Tout simplement. Donc, il n'y a pas faute. Donc, voilà. Donc, la commandement, il est là avec l'Église catholique, les autres représentent toujours assez peu de divisions, c'est pas un problème. Et puis, comme vous le dites, il arrive sur le territoire français à peu près dans les mêmes moments, une immigration venue des anciennes colonies.

Il y a aussi la décolonisation. Donc, venu des anciennes colonies assez massivement, parce que les choses se passent pas bien dans ces anciennes colonies, qui sont abandonnées, enfin qui abandonnent et qui sont abandonnées par la métropole. Et donc, il y a une immigration de deux travail qui vient, vous savez tout ça, mais à l'époque, dans les années 70, 80, par les désimmigrés.

C'était des hommes-sols qui envoyaient de l'argent, etc., à leur famille, etc. Et puis, il y a juste la politique du regroupement familial, puisque ces gens se sont installés. Et donc, là, une importante communauté qui est devenue la seconde minorité religieuse en France. Donc, après, le catholicisme, si tenté, je suis un peu provoquante, le catholicisme n'est pas devenu lui-même une minorité dans une France extraordinairement secularisée.

Bon, donc, il y a effectivement, et c'est une autre religion. Mais il y a quelque chose qu'on oublie un peu, c'est que cette autre religion n'est pas du tout inconnue en France. Et qu'elle a même été majoritaire dans trois départements français, des départements d'Algérie.

Et que les gens qui l'apprevaissaient, ont été plutôt maltraités par la puissance coloniale française, et aussi, autres traumatistes qui ressortent encore dans les discours de certains musulmans traumatismes, les juifs algériens qui vivaient absolument des coups d'accoudre avec les musulmans qui avaient des mêmes conditions de vie, etc., etc., vont être élevés au rendu citoyen par le décret crémeux en 1880. Et donc, il va se créer un fort ressentiment là aussi.

Ce qui explique aussi pas seulement le conflit Gaza, Palestine, Israel, c'est aussi cette mort trésure, mais il fait que les musulmans sont restés des indigènes à soumis au code de l'Indigénat, et ça, jusqu'à l'indépendance, alors que les juifs algériens ont bénéficié d'une certaine manière, d'une reconnaissance, d'une égalité, de ce qu'on appelait sous la révolution des emancipations. Donc, il y a là aussi quelque chose à facteur de trouble, dont la France est particulièrement responsable.

Alors, pourquoi c'est une vaste question, pourquoi la France a élevé les juifs au rendu citoyen, et le juif un ou les juifs de France, c'était déjà citoyenne depuis très longtemps, c'est sur l'impression beaucoup des juifs de France, certainement l'alliance universelle, quand on toute s'est élu, mais voilà, c'est... Enfin, voilà, quand on divise pour réiner quelquefois, on divise sur la longue durée. Et donc, il faut se rappeler ça.

Alors, donc les musulmans, français, enfin, indigènes d'Algerie, enfin, le culte musulman n'a jamais été séparé de l'État, c'est-à-dire qu'il s'est appliqué au catholicisme, ça s'est appliqué au grand écentisme, ça s'est appliqué au judaïsme, et ça s'est pas appliqué, alors que l'État contrôlait par via l'argent, largement les dieux cultes musulmans pour éviter qu'il n'y ait pas de rague.

Donc, il n'y a pas eu ça, et ça a été aussi un des motifs de l'indépendance et cette volonté de séparer et de ne plus être sous le contrôle de l'État. Et je dirais, pour l'Histoire, c'est toujours assez frappant de voir qu'il peut y avoir des correspondances. Et dans le ressenti de certains musulmans actuellement, et particulièrement Algerie, il peut y avoir ce souvenir aussi de ce contrôle inséissant de l'État et de ce statut à part qu'il aurait été réservé.

Ça n'excusent pas des actes de malveillance ou jusqu'au terrorisme, encore que ce ne soit pas... Je crois tellement démissionnementaligerien, qui en sont les auteurs. Peut-être... En disant plus, Algerie, en titre face, c'était généralement assez français. Mais voilà, donc il faut bien voir aussi les racines profondes, alors les gens, quand ils veulent une explication facile, vous disent bah c'est l'Islam qui est incompatible avec la laïcité. Pourquoi? On ne sait pas.

Peut-être parce qu'on ne leur a jamais appliqué. On ne leur a jamais donné la liberté que le représente pour les aiguises, pour les mouvements religieux, la loi de séparation. Voilà, c'est pas de séparer de prendre. Merci. Ça nous amène à la situation contemporaine, est-ce que des questions sur cette émolution ou du... C'est bon? Pas de question mais il va remercier moi. J'ai le problème, je vous ai promenu. Bah j'ai... Je me jure, merci moins également. J'ai pas t'arrêté. Oui, c'est pas bon.

Alors, une question, oui. C'est déjà une question, c'est quand même... Il faut s'attaquer qu'il y a des gens qui compris... Ce qu'on avait le premier testament, le mot prix aussi, les critères de l'humain dans l'histoire, et les confusions aux trois plus élus qui, pour faire galomèrent pas de séparation.

Il y a pas de séparation, la royauté d'Ibraël, c'est aussi une mécecin, une affaire à une essie, une affaire à une essie, une affaire à l'extraël, et la poste en tant qu'ils se convertent à la banque Christianiste. C'est très moderne, la séparation... Vous avez tout à fait raison, c'est une idée tout à fait modè... Enfin, modère dans le sens des historiens, c'est-à-dire que ça date du 16ème, 17ème siècle. 18ème.

C'est une idée moderne, bien sûr, c'est une idée qui met en avant l'individu, les droits naturels de l'homme, et qui évidemment, met en question le fait que les nations doivent être divisées, doivent être colorées, je dirais, religieusement, par la religion du souverain, pas vivre en pès si on n'est pas monocoleur, religieusement. C'est rigu, c'est rigu. Voilà, c'est rigu, rigu, rigu, rigu, rigu, à la hachacane, la religion du prince. Mais ça, ça a été une fiction.

C'est aussi comme ça que ça n'a jamais existé véritablement, même après les redécoupages des traités de l'esphalie, et toujours eu des minorités dans des pays avec une majorité, etc. Du pluralisme religieux, toujours des équilibres que je vous ai décrit pour la France, elle s'est posée dans tous les pays, elle s'est posée dans tous les pays.

En France, on est simplement, je dirais plus radicaux, c'est-à-dire qu'au quanton, on persecute, on persecute, vraiment, et quand on libéralise, on libéralise, vraiment, et ça fait un peu le yo-yo. Dans les pays protestants, ça se passe plus doucement, le l'Etat qui écheffe des églises, vraiment, ce modernisme, et les églises, ce modernisme, arrestuite.

A telle point que par exemple, dans un pays, qu'on le donne marque, qui a une religion d'État, plus littéralisme, avec des prêts-là, qui ne prendent quand même le nom. L'utérien qui sont à la chambre des députés d'Annoi, avec un budget assez conséquent, voilà, avec des fonctions d'État civil, par exemple, qui sont donnés au Pasteur, qui sont des passeurs, qui sont distribués par l'Etat, qui se disent l'utérien, et qui disent qu'ils croient plus en Dieu.

Et vous êtes dans une population qui est, peut-être, presque aussi secularisée, qu'on commence avec des taux de pratique, ridiculement bas, et pourtant, une magnifique église d'État.

Mais évidemment, même le Danemark, avec sa magnifique église d'État, son roi l'utérien, ou sa raie l'utérien, et bien, il est obligé de composer avec la pluralisation de la société, parce qu'il y a des échanges et des transferts de population, et il ne peut pas se préserver peuple uniquement d'Annoi, aux yeux bleus, blanc aux yeux bleus, hein. Ils ont accepté bouteau à juger, d'abord, et puis, il y a une population très mêlée.

Et donc, comme c'est un pays démocratique, ils vont établir une législation propre à la reconnaissance des autres cultes, ta égalité, et trouver des solutions pour que les d'Annoi musulmans, par exemple, n'aient pas besoin de faire baptiser dans une église de l'utérienne de leur enfant pour obtenir un certificat de naissance. Voilà, donc c'est ça le laïcité, c'est des aménagements du pluralisme. Alors, ça prend différentes formes, selon les pays. Ah, c'est une petite anecdote.

On s'amène l'Islam. On peut m'y comprendre, pas de même. On s'amène l'Islam, mais on peut m'apprendre à ce qui est pari, par exemple, à la réalité, en 1921, et je vous en souvenais à la part de Paris, par exemple, les gens s'est bas-crus. Vous avez tout à fait raison, mais vous savez, la langue française, on dit toujours qu'elle a des règles, mais elle a aussi des exceptions. Et en matière de laïcité, les exceptions, elles sont très nombreuses.

Donc, cette exemple-là, on a construit la risquette pari pour remercier les troupes troupes algériennes de cette entretuée malheureusement dans les batailles de l'est de la France, et dans l'Averdain et autres. Donc, ça a été, peut-être aussi, vous savez, écoutez un peu paternaliste, une reconnaissance, puisqu'on ne leur accorde pas la liberté religieuse, véritablement, et encore des ça.

Et la mosquette pari, elle est toujours dirigée par des gens qui sont quasiment nommés par le pouvoir à l'égène. Et vous le savez. À l'égène.

Bon, donc, la mosquette pari, vous avez raison, mais il y a des exceptions territoriales, alors je vais vous les citer rapidement, mais par exemple, l'Alzace-Mosel, qui a un droit qui est le droit religieux d'avant, c'est-à-dire le droit concordataires, le droit des cultes reconnus, et qui n'a pas voulu changer parce qu'il y avait un certain nombre d'avantage.

Et donc, on a un côté un peu mitole européen, qui contraste largement avec les grandes envolées qu'on peut entendre dans le débat public, beaucoup plus dans l'accord, avec la coopération, avec les différentes religions.

Vous avez la Guyane, qui, par une histoire, que je ne m'explique pas, et en matière de régulation du religieux, est toujours régit par une ordonnance de Charles X, les années 180, qui dit que seul le culte catholique est subvenu par l'État dans la colonie quillane, qui est devenu un département depuis quand même, et sa persiste, puisque les prêtes, quelques dizaines de prêtes qui exercent, ils y aiment son paie par le Conseil général, donc par nos impôts.

Donc là, vous voyez que c'est aussi une exception, et puis vous avez d'autres exceptions, je vous ai parlé des écoles privées, je vous ai parlé, voilà. La caisse de reprête des membres du clergé, qui est totalement déficitaire et qui est régulièrement jugé par l'État. C'est ça, on le sait pas. Donc oui, par bon. Ah non, c'est des questions, on le sait termine. Oui, je ne le sais pas si j'ai répondu à votre question.

Non, je vous ai dit à tout le temps sur l'inspectibilité de l'Isla avec l'Essipe, et parfois, quand on en sait d'abouement, ils entendent les liens avec la fondée de l'évalition de ces religions, avec l'aide qui est, par exemple, au tout début du christianisme, c'est vraiment un cas du siècle, c'est une éronitaire dans un piavomain, alors que dans les sommes, il y a tout le monde du qualifat, il y a quand même un siècle, c'est un tout bon, je ne sais pas trop le jeu.

Oui, il y a des thèses, c'est des périodes un peu loin, t'aimes pour moi mais pour... Il y a des thèses qui expliquent, effectivement, qu'on tolère les différences quand on est incapable de les circonscrire. Et quand on est mis auitaire, on a tout intérêt à te lérer parce que, si on s'expose à de graves ennuis, et donc vous parliez tout à l'heure de la conversion constante, je ne sais plus qui a dit ça, et c'est d'abord converti le mieux, mais ensuite il a converti l'empire.

Mais il n'a pas fait montre de véritable intelligence, parce qu'il y avait un véritable pluralisme dans l'empire romain religieux, et c'est son successeur, c'est Théodose qui va imposer quelques Isain Manipultard à imposer la religion chrétienne et pour chasser le paganisme, pas les différentes religions paguaines, parce qu'il y en avait toutes sortes.

Donc vous voyez, en fait, il y a un tolerance quand l'Etat s'emmêle, et quand l'Etat décide qu'il a une religion et que ce ne sera avec, il y en aura pas d'autre. Et c'est la même chose pour l'empire dans le califin, sauf que, à la différence de l'empire chrétien, on n'a pas pour chasser tous les heurétiques tout de suite.

Dans le califin, il y avait encore des minorités plus importantes aujourd'hui, parce que ils ont largement émigré, mais des minorités chrétiennes, des minorités juives, le prophète, avant même, le prophète vivait dans un environnement juif, dans un rabis àoudite.

Donc il y avait un mélange, bien il y avait un pluralisme, et avec une autre forme de traitement, de relations avec les États, si je vous le dis que l'Etat, dans l'empire hautement, en particulier, ces minorités vont avoir des droits et des libertés, mais qui seront circonscrites dans le cadre de leur communauté. On établit, des frontières sont établies entre les différentes religions.

Il est impossible encore aujourd'hui, en Syrie, par exemple, qu'un chrétien épouse une musulmane et un versement. Mais il n'empêche que les chrétiens, on leur liberté religieuse inter, qui est reconnue la liberté de culte, pourvu qu'ils ne fassent pas de prosédétisme envers les musulmans, et pourvu qu'ils ne décident pas d'aller se marier à chypre, parce que mal se passer. C'est vrai au jour, les communautés sont poisonés. Je considère pas ça, que c'est ça la laïcité.

La laïcité, c'est de pouvoir, pourhabiter, pour co-exister, ou je sais pas, dans quel terme employé, même si on est différent, et la laïcité perdait ça. Elle perdait ça. T'es ouriquement, si on ne la transforme pas comme instrument de répression, de l'expression des Jeux. Mais ça, tout dépend du curseur, on met dans le trouble à l'ordre public. Est-ce que je vous donne un exemple?

Un moment, il n'y avait pas beaucoup de mosquées en France, on parlait des slaves d'écavres, etc. C'est plus du tout le cas aujourd'hui. Il y a un vrai développement, un vrai effort de construction. Il y a eu des aménagements, fait par les autorités locales pour que ces constructions ne coupent pas trop cher aux communautés. Alors, vous allez me dire, c'est encore une entreparentèse, une exception à la règle de non-subventionnement. Mais c'est aussi une règle de discrimination positive.

A vous, en France, on ne fait pas de discrimination positive. Malgré tout, c'est ça. C'est essayer de donner, parce que les catholiques, c'est un fardo, c'est moi, je parle dans tous les sens. C'est un fardo, mais c'est en même temps une richesse. Ils ont un foncier considérable. Parce que, on ne leur a pas enlevé pendant la loi 1905. Oui, cette poêle était très différente. On ne leur a pas... Ça a parti à l'Etat, pour partie, mais pour le reste, on ne leur a pas enlevé.

Donc, ils ont un foncier considérable. Ce qui n'est pas du tout cas, évidemment, des musulmans. Donc, je pense que ça tient de la politique de raprapage, de discrimination. Ça se passe bien ou pas bien, mais en tout cas, l'idée est là. Alors, du coup, j'ai perdu le fil. Alors, la Negdo, qu'est la Negdo de Français? La coïnciste. Oui, oui, oui, trouvait alors dans le public. Donc, je l'ai mon negdo. Donc, vous avez des processions qui existent dans le culte catholique. On est d'accord?

Qu'est-ce qu'elle se passe cette procession? Dans l'espace public. Quand il y a quelques années à la goutte d'or, par manque de place, au moment du ramadan, etc., on ne peut pas faire la prière d'un intérêt d'un truc. Il y a des prières de rue. Et alors là, qu'est-ce qu'on a entendu? Donc, il faut faire très attention. C'est bien parce qu'à la laïcité, elle doit être la même pour tous. Et c'est un peu ce que peut-être sera le troisième temps.

Ce que je reproche à la laïcité, tel que ce déploie actuellement, c'est qu'elle est inéquitable. Inéquitable. Alors justement, ça nous amène à notre troisième temps, c'est parfait. Oui, c'est bien, c'est pas une question, mais ça va encore taper des cas. Quand vous savez, expliquez, au moment de la chérie française, que justement, les chutes des personnes avec oufées scientifiques, non seulement on ne va pas aller au moment de statue, mais je pense que c'est exactement ça.

Et on parle beaucoup à l'égard d'administration à l'acquole, qui est l'Europe. On réveille une certaine façon d'aller aider son avis, c'est dans le répeiller à halle. Est-ce que ce ne peut pas être un nom aussi avec le KEM? Voilà, avec justement des démarches de la laïcité à la française, ou de la laïcité républicaine, en fait, des...

Un peu, il va justement, du coup l'inticémétisme, ça apparaît plus du tout comment... comment un problème au terme, que base, quelque chose qui est du tout au champi du domaine, et l'aillir, en fait, est un peu lignant. Oui, alors je crois que vous exagerez un peu, parce que d'abord on le voit tout, et puis l'automne dernier, l'accélération des actes... Enfin, l'aucompation des actes anti-semites, elles dépendent pas seulement des arats, non?

D'abord, je vous avais une extrême droite qui n'est pas très bronzée. Et qui est très anti-semit? On a des casse-coilles qui ont des façons naturelles, les actes anti-semites, qui ont des accrohées. Parce qu'il n'y a même l'extrême droite française et elle apparaît plus qu'on dit c'est nous. Oui, alors l'extrême droite, de bonnes répétences, qui s'est condi... De la montagne. Bonne temps. Les diabolisés, voilà.

Je vous permet de m'asper en faute parmi les actes anti-semites, il y a des propres alessiniennes, comme des des professionnistes. C'est-à-dire, je ne pense pas qu'on lui a tout l'extrême droite et anti-semitin des arats, il existe à l'intérieur exonat. Oui, mais certainement, en fin, il y a quand même une tradition, vous ne me trouvez pas.

Depuis, je sais pas, 1934, si fait loyer, il y a quand même une tradition anti-semites farouchement créée dans une certaine équipe très droite et on certain dise que derrière le très bel rattrapage du RN, les discours intermes sont moins policés. On est en train de revenir sur ce troisième moment et qui t'a revenu après sur des questions liées à l'actualité. Tibou, oui, vas-y, tu voulais... J'avais une transition. Et je l'ai perdu. Ça peut rentrer une autre. Le troisième moment, c'était...

c'était... Parler de la situation actuelle, il y a beaucoup de choses et beaucoup de sujets. On l'a vu en préparant un peu la conférence ensemble, voilà, juste sur les 15 derniers jours, il y a eu beaucoup de sujets qui sont revenus depuis une semaine, et la préparation d'un rapport parlementaire à l'école, juste avant, il y a encore des choses qui sont par eu.

Vous, dans la croire, il y a 15 jours, une chercheuse aussi dans mes diapartes qui revient aussi, voilà, sur le premier moment dont on a parlé ensemble, la laïcité à la française. Peut-être pour vous nous dire, voilà, vous, comment vous comprenez ça sur ces histoires d'aménagement, du fait qu'aujourd'hui, il y a une distorsion, quelque chose d'inéquitable dans la laïcité, dans la manière dont elle est abordée.

J'avais envie de parcer de cette question de l'Islam, de la présence des lieux de culte, de la construction des lieux de culte, et du fait que... En quoi est-ce que ça... En quoi est-ce que ce serait ou non une menace pour la laïcité, le fait que de facto, la religion, peut émanuer, peut être manipulée par certains états étrangers, vis-à-vis de leur population à l'intérieur, mais aussi dans leur politique étrangère, vis-à-vis de l'extérieur.

Et je prends juste, à Tidane Ektote, il y a deux jours ou trois jours, un député, la France a soumis, qui a parlé de... en parlant de la loi 2021 sur les séparatismes, mais le contrat d'engagement républicain que les associations d'off signées, en l'occurrence et juin des associations cultuelles, donc des associations lois 1905... Et pas seulement ça concerne des associations en 1910, mais c'est le sujet de l'opportunité. Voilà, c'est ça. C'est vraiment ça.

Il y a des associations catholiques qui étaient manipulées, elles-mêmes par un état étranger en le cas en ce le verticord. Dans quelle mesure, il y a des choses qui sont réelles, là-dessus. Le financement étranger, c'est pas un sujet de laïcité. C'est un sujet de sécurité au besoin, mais c'est pas vraiment un sujet de laïcité, même si le gouvernement peut le présenter ainsi.

Quant à ça m'a musée cette position de la France Insoumise, parce que on est là dans un discours, c'est amusant, même le débat sur l'école privée. C'est quelque chose qui a été un aliment dans le discours de gauche, pendant toutes les années 70-80, jusqu'à au grand manifestation, souvenez-vous, 1924, contre la aggregation de la loi Falou, et là où les laïcs se sont venu de la manifestation de la décennie précédente.

Donc, c'était un sujet de conflit et on avait des arguments de ce type, un petit Kiriko, voire, enfin, présente, c'est pas possible. Il y a des caricatures, les équivalentes charlièmées de l'époque, ces remplies de caricatures, de prêtes ou de parles, qui abusent les Français.

Donc, pour les finances, c'est difficile à dire, parce que, comme vous le montrez, effectivement, il y a certainement des financements du Vatican, mais en même temps, on retourne les fidèles catholiques, leur donne aussi pour les vis, et donc, il y a des transactions. Oui, question des financements. Il y a une question qui a été soulevée un moment, et je ne sais pas si c'était avant le...

Avant une mille maquance, c'était plutôt sous-françois Hollande, il y avait cette question d'organiser le financement d'un islam de France, comme réponse à une radicalisation dans certaines musclés.

Ça a été répété dans la loi 2021, l'idée, c'est aussi, de bloquer les financements étrangers, parce qu'on s'est aperçu que, évidemment, l'Islam avait été largement inté par le rigorisme, ou à vite, qui est déversé et pas seulement France, dans tous les pays, au Tour de la Méditerranée, voire au-delà, malaisie, qui déverse des millions pour diffuser, sa version l'Islam, qui est plutôt un islam fondamentaliste.

Donc, effectivement, la question du financement est importante, elle est récurrente, et on s'aperçoit que, régulièrement, sont assez impuissants, à réguler l'Islam. Les aménagements. Oui, pour essayer de promouvoir quelque chose qui ne soit pas directement téléguidé par une influence étranger. La deuxième question. Pourquoi c'est une équitable?

Parce que avec les différents exemples que je vous ai dit, et plus particulièrement avec ces gros accommodements que les talaïques a fait avec le catholicisme français, on se trouve dans des situations très inéquitables entre les différents cultes.

Mais on peut rentrer dans les détails, mais les protestants par exemple sont fumasses, parce qu'ils applient que la loi 1905, à la Méditerran, et ils aperçoivent que certains parmi les associations juvent, ou vous d'autres dans les catholiques, ça soit dessus. Par exemple, sur l'école. Oui, pas là. C'est des broutils, mais c'est des histoires par exemple de Pépaune et donc Amio, dans les villages. C'est des cultes comètes de sous confi des deux Français, et de ces voilà.

Mais donc, il y a une inégalité de fête qui est due à l'entériorité historique, qu'elle ne peut pas démolir l'histoire, on ne peut pas referir l'histoire, bien entendu. Mais il y a des choix qui ont été faits, qui sont pas de tout à fait quittables.

Et en fait, quand je dis que la laïcité française devient inéquitable, c'est depuis qu'il y a les terroristes mislemiques qui s'idèrent évidemment et à juste titre, l'ensemble des Français, qui a un peu oublié que le terrorisme n'est pas forcément religieux, qu'il y a eu beaucoup d'actes terroristes en France, du A-L-T-A, du A-T-L-U-T-L-Party, d'extrême droite à l'O-S.

Terrorisme n'est pas essentiellement religieux et musulman, mais pour l'instant, il a pris la forme, il a pris la forme d'un terrorisme à coloration religieuse, encore qu'il fallait là aussi voir que c'est plutôt un terrorisme politique qu'un terrorisme religieux. Mais en tout cas, ça a fait une mauvaise ambiance, c'est le moins qu'on puisse dire, et ça a beaucoup nuit au musulman.

Et c'est dans ce contexte très anxiogène et cette mondialisation de la terreur d'A-L-S, etc. qui fait que il y a une association involontaire mais qu'on peut comprendre entre Islam et conservatisme, Islam est éventuellement violence. Et donc, ça explique aussi, et puis c'est bien atisé par un certain nombre de discours politiques qui sont audible actuellement alors qu'il y a une sturemme 20 d'années, on les aurait accès de racistes et ce serait pas exprimé autant dans l'espace public.

On a fait des tableaux contre le racisme, que les utilisent pas beaucoup ces derniers temps.

Voilà, la laïcité a totalement déserté le côté affrontement état et l'esquatelique et l'esqurétienne et s'est focalisé sur cette visibilité nouvelle, pour les Français de Métropole, visibilité nouvelle de l'Islam dans les grands lieux et associés aussi au fait que c'était des populations qui arrivaient, des favorisées, des dernières arrivées, et que évidemment tous les symptômes des dites classes dangereuses se trouvaient concentrés dans des quartiers relégés, des ghettos, etc. Dans les prisons.

Donc, il y a eu la construction, si vous voulez, de cette peur du musulman, de cette peur de l'Islam, et puis évidemment avec ce mauvais exemple qu'il n'y a pas actuellement, et il n'y a plus, même puisque l'atuinisie est repassée dans le camp des pays autorités, il n'y a pas de pays musulmans démocratiques, ou alors, je vais te romper, pas de pays culture musulmanes démocratiques.

Donc, il y a là évidemment quelque chose qui a la fois dans la géopolitique, mais aussi dans la conception libérale de la citoyenneté qui n'est pas respecté, parce que ce sont des pays autoritaires qui n'ont respecté pas leurs citoyens, et qui, et où les pouvoirs sont indiffinément tenus par un petit clique, ce n'intervoire. Donc, il n'y a pas non plus de d'expérience démocratique et de laïcité dans les pays musulmans, tout simplement parce qu'il n'y a pas de véritable citoyenneté.

Oui, peut-on parler de la laïcité, parce qu'ils considèrent les états musulmans, dans la mesure où, dans l'état de le droit musulman, c'est la charia, c'est la même tête que la religion, là que dans toutes les religions catholiques, protestantes, cuistes ou suives, c'est bien une séparation de l'église. Oui, alors, la laïcité est ressent en tant d'avance.

On dit, acceptable dans les cas d'étalcement, où il y a une séparation entre le système de droit, le système de loi, terpissatique et la religion. Et cette même laïcité ne parlait beaucoup plus difficilement qu'envisageant dans le cas d'une religion qui est aussi où les textes religieux seront aussi les textes de loi. Oui, alors, vous avez raison, bien sûr. De toute façon, il ne peut y avoir de laïcité que dans des pays démocratiques et des états de droit. Déjà, on élimine pas mal.

Mais il faut pas être aussi catégorique et peut-être les états proclament que le droit qui suit c'est la charrière, mais c'est pas vrai. C'est pas vrai. Ça tente une partie du droit, mais ils ont un droit civil, un droit pénal, absolument indépendant de la charrière. Donc, ça, c'est pas vraiment une excuse. En revanche, c'est un peu comme les états-indemnis, mais une société extraordinaire, mon religieuse et qui ne fait pas bien la distinction évidemment entre...

Mais il n'y a pas d'impossibilité, il n'y a pas d'essentialisation. Je pense que c'est plus un problème politique, un problème au lieu. Et d'ailleurs, les printemps arabes ont été la preuve que il y avait une aspiration aux libertés, une aspiration à une forme de laïcité. Justement, il y a des mouvements, par exemple, aux marocs, c'est courageux, qui vont le piquniquer sur les plages pendant le ramassant. Les déjeuner, et ils sont régulièrement mis dans des commissaries. Il y a une confusion.

Et la confusion, elle vient de l'État et puis aussi de la société qui est assez traditionnelle et qui a du mal à supporter ce genre de comportement, ailleurs que dans les villes. Mais il n'y a pas de... Je ne crois pas qu'il y ait... une possibilité pour... Et je pense que c'est lié au développement de la démocratie et des droits humains et qu'il y aurait du fait des droits humains. J'en ai fait ce nom. Oui. Pour moi, dans vos pays, ils ont des grosses choses dans vos pays.

C'est ça moi, le nom des gens de la pays, et ils y ont des démocraties, on a pu se consiler et juste y avoir des juices. Je pense que ce n'est pas... Alors, si j'ai bien compris votre question, vous demandez pourquoi certains pays imposent l'origine démocratique à d'autres pays. C'est ça, alors que ça ne serait pas... C'est pas comme ça qu'on fait. Non, c'est pas comme ça qu'on fait, mais c'est quand même... Ça se roncait loin, il y a un peu de monde. Oui, oui, oui.

C'est une question, on peut faire un peu... Voilà, c'est une masse de question. Il n'empêche, mais il y a eu un consensus international sur les droits humains ou le nom de la seconde guerre mondiale. Et sur un régime qui serait le moins pire parmi les pires, qui serait la démocratie. J'avais une dernière question avant de rendre la parole à la scène. Ce qui avait des mains levées. Moi, j'ai eu une question assez simple, peut-être pour revenir sur cette usage de la laïcité aujourd'hui.

Ma question, c'est, et ce qui peut y avoir aujourd'hui, un usage de la laïcité, qui permette une véritable liberté de conscience et une véritable liberté religieuse, et qui ne soit pas, comme elle semble laître aujourd'hui, instrumentalisée contre une religion qui, parce qu'elle serait désignée

comme étant en celle qui serait trop visible ou bien trop brillante, serait la religion qui menacerait un ordre républicain dans lequel, en quelque sorte, rien doit dépasser et les religions ne doivent pas être visibles. Et ce qui y a une laïcité, véritablement immensipatrice, selon vous, qui est possible. Oui, mais... Ça, je suis sûr, mais elle existe.

Et à quoi elle ressemble, est-ce qu'elle est différente de celle qu'on a aujourd'hui avec la loi 1910-195, est-ce qu'elle devrait se rapprocher d'un modèle, je pense à ce livre d'Allemagne, dans lequel le financement des cultes, vous en avez parlé, et organisé publicement, etc. Non, et on a l'Allemagne, c'est encore un cas à part, et ce serait trop long d'expliquer. Mais c'est vrai que les différentes cultes font des activités qui sont comprises comme un service public.

Donc on est là, à très très loin, de la conception française, qui est dû aussi à l'histoire. Je pense que la laïcité française pourrait ne pas se perdre. Je pense qu'elle est en train de se perdre. C'est-à-dire que par des lois très générales visent de laïcité, mais qui spécifiquement visent les musulmans, je pense qu'on est en train de détruire d'une certaine manière la beauté de ce qu'est la laïcité et dans une démocratie.

Je vous cite très rapidement la loi du 15 mars 2004, qu'on appelle la loi antivoile, par contre on a l'�ont point fait la loi contre le voile. En fait, elle s'appelle, on prend toujours des nouveaux flants, la loi sur la interdiction des signes religieux ostensibles. Évidemment, les collègues qui n'ont pas à cause qu'il faut une loi c'est général. Mais en fait, qu'est-ce que ça a visé à part quelques cycles dans l'est de la France, ça a visé essentiellement les musulmans.

La loi sur la Bureca, le vrai nom de la loi, enfin le surnom de la loi, c'est la loi sur la interdiction, la dissimulation du visage dans l'espèce publique et pour montrer que ce n'est pas contre les musulmans, on a dit qu'il y a quelqu'un très gros à la poste, c'est pas possible.

La loi 2021, la dernière, c'est la loi, elle a été annoncé comme loi, c'est paratisme, nouveau mot que personne n'avait encore entendu pour remplacer comme une autorisme qui était un peu usée, et en fait, c'est la loi confortante. Moi, je ne j'en protiens jamais la petite ou l'écransion.

L'écransion est principal de la République, mais c'est une loi alors qu'il y a un peu foutre tout, puisque vous avez effectivement, elle touche un peu tout le monde, mais elle a été motivée essentiellement après la assassinat de Samuel Pattie, donc il s'agit de, c'est la grande loi de la Hécité de Manuel Macron.

Mais c'est la loi, c'est paratisme qui est, c'est paratiste, c'est pas les anarchistes, c'est les musulmans, les musulmans fondamentalistes, intégristes, etc. Alors ça me veut panier qui n'est pas des problèmes, et c'est toujours encore une fois une question de curseur du trouble à l'ordre public.

Mais est-ce qu'on doit faire payer toute une sensibilité religieuse par des lois qui cherchent à contenir et à contrôler des fondamentalistes qui sont effectivement dangereux pour les gens, et pour la société, parce que si l'hypothèse du fait du verre

la récent de la petite Samara qui s'est fait tabasser par ses camarades jusqu'au point de tomber dans le comal, je sais pas si vous avez les informations, je crois que c'est près de tous, l'un des motifs invoqués pour son harcèlement par ses camarades serait qu'elle vivait sans voile et qu'elle avait les chevouges et que elle s'habillait de manière coquette alors qu'elle était d'origine. Tunisienne, et donc une autre Tunisienne, c'était pas bien.

Donc ça c'est dangereux, bien sûr, c'est évidemment dangereux, mais je trouve qu'on donne des responsabilités à la laïcité qu'elle n'a peut pas tout embrasser, la sécurité des enfants, la sécurité des gens face à des attentats terroristes, etc. Ce n'est pas des questions de laïcité, c'est des questions de trouble à l'ordre public mais qui ne sont pas forcément religieux et de comportement. Et alors je suis vieillée à mes réseaux sociaux, alors là, on ne sait plus quoi. Qu'est-ce qu'il fait?

Le glissement de l'ordre public de cette notion juridique et je resposais dans ce cas qu'il y a une vieille l'histoire je resposais dans celle d'ordre public vers cette expression de Macron qu'on a choisi pour le signe d'ordre public. Oui, alors d'ordre public. Ça c'est une mystification complète.

Un moment, la question pour une propose de vous diser, mais je me suis dit du rapprochement qu'on vous le sait tout à l'heure, on se parle avec sous le fond des règles de la contre-à-dra et de l'encement-délisation de la SQ contre le Serbe, puisque le fond de la SQ contre le VW, qui est le pressède de la compétence des deux et de la SQ, que l'encement-délisation de laïcité de l'ordre sécuritaire et de l'ordre, c'est vrai, le pressède de l'ordre est le bon espère.

Alors le fond de Père, le fond de Père, c'est-à-dire que la laïcité est de vien un petit peu la parure qui cache une loi sécuritaire. Et ce qui se passe, c'est juste pour dire qu'il est quand même la loi sur le voie, si bien on s'attrape, ça fait pas de dédivision. Oui, oui. Il y a quelqu'un qui a faim de télé, il y a un fond de la même éteinté. Mais bien sûr, c'est pas ça que je te dis, enfin.

Il y a un chercheur qui parle de diadisme de notre atmosphère, là, j'étais réde d'entiers musulmans d'être ma spère. Il me parle beaucoup de mon seulement en France, et il s'est en parler, je vous demande, et c'est quand j'ai démilé sur le récute quotidien. Oui, mais il n'y a pas qu'en France, mais en France, on ne trouve pas qu'on a quand même un problème avec leur léger, donc on se suramestit. Il y a un rapport, je crois, qui avait timothé avant, et il y avait peut-être... C'est ça, Zé?

Comme ça. Je vais vous faire les très différentes régions. J'ai vu un petit bon sens que vous vous disiez sur les régions de l'Otomidère et les régions musulmans. La chose que l'Inde Olesis, c'est le premier événement en monde, et c'est quand même si c'est fragile et c'est bonnassement, c'est possible comme la demande et mon principe d'Ezie, qui est l'exception assez nouvelle. Et à fait, c'est le monde, et qui est l'exception.

C'est le conjoint de la Sécu-Gouder, mais c'est un petit peu comment, pas espouz-vous, avez un peu des pistes pour repenser, discours positifs sur la laïcité. À moi, à gauche, mon pète, on a plein de... De l'orace, on en réaction contre cette... Un secouement de l'évisation. C'est lui qui est l'évisité, et on dit... par les couples, enfin plus que sur ce que c'est qu'on veut là, qui est l'évisse de le monde, qui veut ça.

Et on dit que dans une situation très étrange où l'extrême droite, d'étranger, c'est à fiche comme le défenseur de la laïcité, ça a compris à contre-credir son existence, l'histoire, c'est racine, et à l'envers, la gauche, la désorestie ce sujet-là, à l'exception de quelques franges de gauche, un peu laïcate, un peu soucisse ou qu'il n'y aura, qui se resiste, donc il me demandait un peu...

Par exemple, vous avez des idées, peut-être avec des modèles historiques, des figures historiques, qu'on pourrait être très investi, etc. Par exemple, je vous laisse, voilà. On se remettre à produire un discours positif sur la laïcité, et aussi, vous l'avez montré, tout le monde génération, vous me semble le site, sont...

Une perception négative de ce qu'il a laïcité, beaucoup, tout le monde, une perception négative de ce que l'aïcité aujourd'hui, pour le remettre, que l'orpète se déviet un dévoiement, et c'est possible que... ça va tout ce que la laïcité peut permettre dans une démocratie et dans un co-existence culturelle et dans les jeux... Si je peux compléter la question de ce côté, est-ce que c'est possible de défendre la laïcité quand on n'a pas de culture religieuse? Oui, parmi...

Oui, parce que le voir avec tout le monde aurait pas... La laïcité, c'est la permission de croire, la liberté de croire ou de ne pas croire. Évidemment, ça impacte aussi les non-croyants et très névents. Il y a des petites oeufs d'eufs, par exemple, par les libertaires des jeux d'assets, j'en occupe un vrai bref. Un moment de la libre pensée a demandé à avoir une émission avec des émissions religieuses au dimanche matin, la télévision.

Ils sont demandé, je ne sais pas, c'est peut-être la formation de la télé. En tout cas, un mouvement a été a demandé à avoir une case d'ambrère en toute laïcité, avant le leur refuser et vous avez quelques patecs, ce qui n'est pas de religion. Donc on est là, vous le trouvez à un faux conceptuel. Bon... Absolument, vous avez absolument raison. C'est vrai, ils ont obtenu ça, mais pas la télé, pas sur pensée télé. À vous poser une question, évidemment, tout à fait crucial.

Moi, je suis un peu plus... Encore plus au pessimiste que vous, parce que je pense que la gauche a été totalement fracturée sur ces sujets. Et que... Et que il y a des plus en mouvement idéologique qui travaille ces questions. Comme vous l'imaginez, je ne suis pas du côté de la laïcité valsiste ou du printemps républicain ou de ces mouvements de blancs-caires, de cinistes, soit mémoires. Voilà. Mais c'était des mouvements puissants qui ont investi de la formation gingeresse. Excuse-moi, je cite.

Ce 10 de gauche, mais on a un agenda tout à fait étrange sur la laïcité. Et quand il y a des mouvements de gauche, la France insoumise et même divisée à l'intérieur aussi sur ces sujets, mais c'est être chez les écolo, qu'on trouve les positions les plus... Oui, plus équilibrées et moins tranchées. J'ai bu l'occasion de... d'aller parler laïcité avec eux. Il y a assez peu de temps. Parce qu'il préparait leur programme, je ne sais plus pourquoi. Ils étaient assez sensibles à certains désarmés.

Voilà. Mais... Mais il y a un tourant... un tourant... qui salimente, il y a un attentat à l'école, quelque chose qui salimente de cette volonté de durcir, d'interdire, de s'indigner. Voilà. Qui est très puissant et qui emporte la dégion des gens quand il y a des sondages, en particulier, par chez les jeunes justement, mais c'est les plus trans-sagrons. C'est une chose qui est plus visite. Donc la laïcité, sécurité. Oui, oui. La laïcité des libertés, c'est beaucoup plus difficile à défendre.

Effectivement, ce ne passe pas à un moment sur ce qu'il se fait se traiter de haut-chiste, d'islamo-chiste, tout ce que vous voulez. Il y avait des questions d'abord. Je pensais à un certain nombre mais je ne suis pas trop plus non. Mais il disait que la laïcité, c'était la nouvelle forme de décréturation, qui pratiquait à France, mais il n'a expliqué que la France avait jamais super autrement que ce modèle de décréturation.

Et qu'aujourd'hui, c'est que c'est caché son nom, c'est une forme de la laïcité, donc je me suis rendu un petit coup, et ça me faisait réagir sur ce que vous ne pouvez pas avec un peu de ses voies et de pouquites, en quelque sorte, et qui se cache avec d'autres noms. Comment est-ce qu'elle peut être et ce que tu as aussi pour sortir de cette part un petit coup, physique? Alors si vous êtes... vous êtes pleine d'espoir, je veux dire, allez pour plaisir, en politique, c'est tout le temps.

Oui, oui. Je suis à moyen de gouvernement, mais je ne sais pas, je ne le pas très prance. Je ne sais pas, je ne sais pas, je ne le sais pas. Mais quand on est dit que le histoire de la religion, c'est pour les colles, c'est un peu de ce que je veux dire.

Moi, quand on est mon mari, c'est comme un ami de ce qu'on a dit, je ne le dis pas, je ne le dis pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, je ne sais pas, tu sais, xu, je peux te donner, je ne sais pas ce qui est le petit cru de la voile deGs, mais vous qui êtes c'est continuant, on se invite des undes light 好, trèslerde de affaires alors que conducting Combustchuckles est difficile de frustrated avec les moments décaux.

Et je ne sais pas comment faire obligatoire, pendant que ça vient. Dif妳 dans la pièce, Vous avez tout à fait raison? Alors, j'en pense que du bien, puisque je suis dans l'établissement ou a été écrit le rapport de Bray de 2012 sur le lancèdement de faire les jeux à l'école. Je suis vise ce projet de prêts.

Et évidemment, je ne peux que la prouver, mais seulement si c'est un lancèdement non-confessionnel, on est à l'école laïque, c'est dire, non-confessionnel, culturel du fait religieux, c'est dire sans aller discuter de la lisséité de telle ou telle proposition théologique. Donc oui, alors maintenant, ça a été dans tous les discours, dans la plupart des discours des ministres de l'éducation nationale, depuis ce rapport, on dit oui, il faut faire de l'enseignement des faits religieux à l'école.

Moi, quand j'étais à l'école, j'ai fait un peu d'enseignement

religieux, qu'est-ce que j'ai appris? L'histoire des ébraux, on saisisien, l'histoire de l'Islam, des premiers temps de l'Islam en 5ème et puis il y a eu le temps des réformes, quand même, je crois que maintenant, c'est passé à l'asme, c'est passé, donc un conflit entre chrétiens et après, rien, c'est à dire que son devenu les ébraux, je suis bien en peine de le dire, sauf qu'il aurait arrivé un affreux malheur, c'est qu'en 45, il y a eu un génocide monstrueux, millions de jus, son

gordon, une espèce de trône noir, de non-existence des juifs dans notre histoire de France, dans l'histoire de l'Europe, dans l'histoire du monde, entre les ébraux et la chouette, c'est quand même dingue. Et ça, ça n'a pas changé.

Et l'histoire des débuts d'Islam, alors c'est une histoire enchantée, de maumée, etc., etc., et ça colle très souvent au plus près du Mite, c'est à dire de ce qui est creux par les co-coignants, qui est très honnête, mais qui fait un peu fiers de l'archéologie, de zénaise textuelle, etc., etc., parce que c'est un peu, donc en fait, la politique publique ne

s'est jamais vraiment apparaître ce sujet. Et puis il faut dire aussi qu'il y a les profs qui feraient des cas de faire, parce qu'ils se disent, voilà, voilà, je vais me faire contester en classe. Monsieur et à profs co-coignants. J'ai eu le tout à l'heure, ce que l'on est assez un peu rapidement du milieu du 27 au fait de la loi

de 1905 à aujourd'hui. Et je me dis qu'est-ce qui est à permis l'interprétation de la loi 1905 que l'évolue rapidement là et on est fait que la relation de l'Etat n'est pas des individus par rapport à des autres individus. Et qu'est-ce qui fait qu'on a pu interpréter la loi 1905 comme un thème des centres, exemple, un fonctionnaire publique de porter par exemple un poil, les maluits poils.

Alors, toujours, c'est pour alors que vous êtes affiné le concept de laïcité, que vous avez définis au que les pubs comme un rapport entre l'Etat et les relations et qu'il y a, au final, bien juste vraiment supprimer le religieux entièrement de toute la société. En fait, dans les relations, c'est vraiment, parce que c'est dans un fait, privé à activer les contradiations que vous avez citées, quelque des possessions, mais simplement les vêtements publics

actuelles. En disant, mais qu'est-ce qui a permis alors de basculement et pour dire qu'en fait, la laïcité en effet, c'est de faire de ne pas avoir de religion, le séparatif, des

couvais évoutés de 1905. Alors, quand même il y a un petit peu de confusion, je dirais, parce que, encore un truc, je dis, je crois, dès l'entrée que ce n'était pas la religion de la religion dans le domaine privé, c'était dans le domaine juridique privé, c'est-à-dire que ce n'est plus des institutions d'épargne et services publics comme ça l'était au paramount et ça devient des institutions privées.

C'est tout. Donc, il n'y a pas eu, enfin, c'est pas comme la Russie solétique qui persécute les chrétiens et qui les empêchaits d'apparaître comme tel dans l'espace public. C'est pas la sfer de mestix. Oui, c'est pas la sfer de mestix. Vous avez madamez, c'est le terme qu'il faudrait impliquer. Mais, alors, ce que vous disiez sur les signes religieux, vous savez, et en partant de votre juste, reprends sur cette question, c'est vrai, ça c'est une exception française.

Exigés des fonctionnaires de l'État, donc des représentants de l'État d'être totalement noutes et d'avoir de voir de réserve, c'est-à-dire en fait, si vous y pensez bien, à limiter leur propre liberté religieuse au moment de l'exercice de leur fonction. C'est vrai que c'est une véritable exigence de la laïcité française pour d'état de motif, de non discrimination entre les visagés, pas d'influence, pas de proséditisme, etc.

C'est une spécificité. On le vit autrement dans d'autres états laïcs, où le religieux ne fait pas tant peur. En France, il y a aussi un rapport à peu pathologique pour le déjeu. Faut qu'il y a une dernière question. Après, on s'arrêtera et on pourrait compter l'éducution au pouvoir. Faut qu'on étire. Est-ce que peut-on que d'un problème avec le religieux, finalement, la République qui n'a pas un problème avec le multicultural? Oui, mais c'est un beau

petit culturalisme. Mais est-ce que en fait, j'ai un pression qu'on a jamais vraiment interrogé cette histoire simulationniste, aussi, et qu'on vit la Parision, en fait, une communauté avec le cultural différente, comme une agréation. Comme une agréation. Je ne sais pas comment trop la qualifier, mais au fond, c'est un fascisme, c'est la ciphasique, de tordelos, de sa différence, etc. Qui est un tout mentaliste, c'est toujours la laïcité, vers passer des affectes très belles et très

basiques. Vous avez raison et puis, il y a aussi tout ce discours sur l'universalisme à sa différence. Par exemple, le mouvement féministe, puisque c'est une lérsaliste, il faudrait que ça s'impose à tous, c'est avec des bons sentiments, etc. Alors que les autres disenturement trouvent que c'est un peu discriminant. Alors, par le plus de multiculturalisme, parce que c'est un promo, mais un promo que vous pouvez, mais un promo qui est appelé. Mais maintenant, je parle

de plus réalisme effectif. Je pense que la France a du mal avec le plus réalisme, du mal avec le religieux. Mais ça c'est du, avec une longue tradition qui remonte au lumière, le clérico-lisme, la lennemi, toutes ces représentations, qui nous sont d'ailleurs qui continuent nous être donnés avec le public. Donc, il y a un problème avec le religieux et il y a un

problème avec le pluralisme. Mais je pense que c'est là où il y a cette expression qui est emplée par certains sociologues par de catholais citer, c'est-à-dire d'un modèle qui se calque finalement une structure la structure républicaine et le miroir ou l'envers de la structure et que les gestes catholiques et à le même genre de comportement et d'intolérance dans son fonctionnement vis-à-vis des minorités, des gens qui ne passent pas mal des héritiques.

La question, c'est-à-dire que je suis racisté et je vais avoir la pantoumande votre pouge. L'important, on a entendu beaucoup comme quoi la laïcité est à l'appartagement et les se contredient avec la région. Je pense aussi que la laïcité française, c'est le soutien de la religion, donc croire ou le pas croire. Deux exemples, enfin on a mis faim au la supéversie catholique, ça permet aux autres religions, aux autres sensibilités chrétiennes et de vie depuis la régution.

Mais surtout ce qui ne paraît extrêmement important, c'est que la laïcité assure la liberté culte dans tous les autres, ou elle n'est pas aussi, nous avons des hôpitaux, des religions et des armées, c'est les tas qui paient des omniers pour assurer la liberté culte. Et là, ça paraît que ça n'important aussi que la laïcité, c'est une aussi garantie culte et des fois et des croyants.

Oui, mais c'est ça qu'effectivement qu'il faut plaider parce que vous avez tout à fait raison avec les hommes des homonories, mais c'est directement que le premier de la loi 1905 est à la responsabilité de garantir la liberté de conscience et la liberté de culte

de tous ces concitoyens. Donc, dans les espaces fermées où les jambes peuvent pas l'exercer, et bien c'est l'état qui doit subventionner, mais là c'est une exception, on parle des exceptions tout à l'heure, là c'est une exception qui est normal. Oui, c'est une institution public. On parle de la pseudo-hérosopie, qui est public. Oui, la société, non pas de mouillier. Non, et c'est pas parfait.

Le Roi de l'Art, monsieur le disait que les homonories étaient sévensionnées, c'est vrai pour l'armée, c'est pas vrai pour les doupes. C'est pas séventionné dans le sol. Non, non, ils sont bédés. Merci beaucoup de l'antiguère. Merci beaucoup. Merci beaucoup. On remercie donc toute seule heureuse de l'antiguère. On vous remercie tous pour votre participation. On va ouvrir le bar pour ce qui veut, le valantiguère.

On a quand même deux livres à votre disposition si vous voulez, donc il y a un petit livre face fonds. Les mots avec des questions dans deux ou trois pages de valantiguère, c'est la troisième édition. C'est la laïcité en débat au-delà des idées reçues et un beau livre, je pense, dans un catholibéral. Un livre, une très belle figure. Vous cherchez une figure d'identification. Unateur le roi bolieux. Unateur le roi bolieux. C'est troisième république, les années 1910. 1902.

C'est un défendateur de l'école des sciences politiques de Sciences Bo. C'est le doctrine de N. Le sous-titre, c'est anti-semitisme, anti-protestantisme, anti-cléarchalisme. Merci par 26 juillet et une co-etrice. Merci beaucoup d'ébris. Je vous donne rendez-vous à mardi 30 avril pour la prochaine conférence avec Julien Telle-Pin sur la loi Separatisme. Et puis enfin le 13 juin avec A.O.S. Céniguerre, ça s'annonce passionnant également. Merci.

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