Kiki from Paris, soirée à Paris, partie 1 dans le métro. En dehors de l'aventure avec les amis de mon copain Louis, j'ai réussi à rester sérieuse et chaste. J'ai aussi la chance qu'il n'ait rien remarqué. Mais maintenant que les bêtises sont terminées, je vais lui rester fidèle. C'est du moins ce que j'espérais. Pour le week-end...
Je propose à Louis d'aller au vernissage d'une amie dans le quartier latin de Paris. Pour l'occasion, j'ai mis une petite robe de soirée noire très élégante, avec une fente sur le côté. qui moule bien mes fesses et un manteau court en fourrure artificielle. Il est 19h et, comme d'habitude, le métro est bondé.
Nous parvenons à nous glisser dans la dernière rame disponible, en nous tenant par la main pour ne pas être séparés. Malheureusement, à chaque nouveau passager qui entre, la pression sur nous augmente. Et après plusieurs virages successifs, je me retrouve isolée de Louis, tout au fond de la rame. Je suis entourée de plusieurs grands gars. L'un d'entre eux...
semble sortir du bureau en costume-cravate, un autre est beaucoup moins distingué, car il porte des vêtements sales et sans mauvais. Enfin, l'un d'entre eux doit sortir de l'entraînement, car il est très musclé et porte un survêtement. Bref, je patiente jusqu'à ce que je retrouve Louis au quai. Pour ne rien arranger, Après plusieurs arrêts, le métro s'arrête. Le conducteur annonce un problème sur la ligne et nous demande de patienter. Nous sommes tous serrés les uns contre les autres.
et brûlons de chaleur. Je sens une pression sur mes fesses et le type en costume me presse les seins. Soudain, les lumières s'éteignent. Seuls quelques néons de sécurité subsistent. créant un sentiment d'intimité malsain. Alors que j'attends, trempée de sueur, je sens quelque chose bouger contre mes fesses. J'essaie d'abord de ne pas y prêter attention.
Mais la sensation grandit. Ce que je croyais être une erreur, une maladresse, semble s'en hardir. Oui, c'est bien cela. Quelqu'un me tripote les fesses. Je ne peux même pas me retourner, tellement nous sommes serrés. La main qui pétrit mes fesses prend son temps, palpant chacun de mes globes fessiers. Je suis choquée par tant d'impudeur.
Mais je ne peux rien faire. Je ne peux même pas crier. Tout le monde me prendrait pour une folle. Une autre main se pose sur ma cuisse nue, juste à l'ouverture de ma robe. petit, la main remonte. Est-ce le même homme ? Je ne crois pas, car une troisième main vient se poser sur mon ventre et descend jusqu'à mon sexe. Je suis littéralement enlacée par des mains perverses. Je n'ose pas bouger. Tellement je suis surprise. Puis ma robe est retroussée. Lentement d'abord, puis de plus en plus vite.
Maintenant, la robe est remontée juste au-dessus de mon nombril et les mains redoublent d'attention sur mon corps. La surprise a fait place à une excitation croissante. Ma bouche est ouverte pour me donner de l'oxygène et je sens mes pensées s'emballer. L'homme en face de moi me regarde discrètement, voit ce que les mains me font et ne fait rien. Au contraire.
Je pense que cela a réveillé certains de ses instincts sauvages. Son pantalon, qui est tout contre mon corps, semble bouger. Je sens quelque chose de dur contre mon ventre. Pendant ce temps, D'autres mains se dirigent vers mes orifices. Une main fait le tour de mon ventre et caresse mon sexe à travers ma culotte, tandis que deux autres mains palpent mes fesses.
n'hésitant pas à s'aventurer jusqu'à mon anus. Je me sens totalement à la merci de ces pervers qui me tripotent devant tout le monde sans que personne ne voie rien. Combien de temps ces attouchements vont-ils durer ? Je m'abandonne à ces types quand je sens soudain l'élastique de ma culotte se casser. Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils viennent de déchirer ma culotte.
Les salauds. Puis je la sens glisser jusqu'à mes chevilles. Maintenant, je suis à la disposition de ces types, la chatte à l'air. Les mains sont de plus en plus actives. et n'hésite pas à essayer de me pénétrer. Ce traitement m'a tellement chauffée qu'ils vont bientôt se rendre compte que je suis complètement trempée. J'ai un peu honte d'avoir si chaud, et Louis n'est qu'à...
quelques mètres de moi. Le type en costume voit mon état d'excitation. Son visage n'est qu'à quelques centimètres de moi et ses mains s'approchent de mon corps. comme s'il voulait mon consentement. Il me regarde dans les yeux et je ne trouve rien de mieux à faire que de sourire bêtement. Puis je sens ses mains sur mes seins, les palpants. Je fonds.
Complètement sous les caresses de ces inconnus, ils me rendent folle. Puis, je sens une main plus aventureuse poser ses doigts sur ma chatte. En un instant, elle me pénètre. J'écarte les jambes pour lui laisser de l'espace. Ma respiration s'accélère. Et je fais des petits bruits que j'espère discrets. Puis, l'homme en face de moi met deux de ses doigts dans ma bouche.
et mime une pénétration orale. Je suis tellement excitée que je suce ses doigts les pompants avec avidité. La main qui pénètre ma chatte accélère. Je grogne les plaintes de plaisir. et me laisse complètement aller à l'extase. Je sens un bel orgasme monter rapidement en moi. Je serre ma chatte autour des doigts trempés qui me baissent, et je finis par jouir avec un miaulement de plaisir.
Puis la lumière se rallume brusquement. Je suis encore sous le coup de l'orgasme quand j'aperçois la tête de Louis, à deux mètres à peine de moi. Kiki, ça va ?