Kiki from Paris, le père de mon élève, partie 1. J'envoie un nude par erreur. J'ai commencé à donner quelques cours de dessin, mais en fait je n'ai qu'une seule élève. Cependant... Une famille américaine m'emploie et me paie assez bien. La première fois que je les ai rencontrés, le mari semblait être un homme très important et charismatique. Mais l'autre jour...
Alors que j'étais chez moi en train d'essayer des tenues sexy, j'ai voulu envoyer des photos à ma meilleure amie pour avoir son avis. Malheureusement, je me suis trompée de destinataire. et j'ai envoyé les photos au père de mon élève. J'ai été horrifiée par mon erreur. Sur certaines photos, je ne portais même pas de culotte. Immédiatement après, j'ai envoyé des excuses.
Mais je n'ai pas eu de réponse. La semaine suivante, j'arrive tremblante à mon cours de dessin. Je sonne à l'interphone comme d'habitude. Mais au lieu d'entendre la voix de la mère, c'est celle du mari. Je suis stupéfaite et un peu effrayée. Lorsque la porte de l'appartement s'ouvre, je suis encore plus surprise. L'homme semble sortir de la douche et porte une grande serviette.
qui ne cache pas son torse plutôt musclé pour son âge. Je rougis en le voyant, mais il fait comme si de rien n'était, et, d'un air sérieux, m'invite à entrer. Je demande où est mon élève, mais l'homme a déjà disparu. Je m'assois tranquillement dans le salon, en pensant à cette vision qui fait naître en moi un certain désir. Le mari revient habillé d'un peignoir.
et s'assoit à côté de moi. Après un silence, il me dit, écoute Kiki, quand j'ai reçu ton message, j'étais en mission diplomatique très importante. Je suis vraiment désolé, monsieur. C'était une erreur, lui dis-je en baissant la tête. Je remarque alors que son peignoir s'est ouvert et que je peux voir son sexe dépasser. Mes joues...
deviennent écarlate à cette vue. La bite a l'air dure et le clan dépasse. « Appelez-moi Patrick », dit l'homme sans aucune gêne. Puis il pose sa main sur ma cuisse et dit d'un ton sérieux. Écoute Kiki, j'ai préféré demander à ma femme et à ma fille de ne pas être présente pour pouvoir régler ce problème avec toi. Comprends-tu la gravité de ton erreur ? Je n'ose rien dire.
hypnotisé par la bite qui ne cesse de grandir hors du peignoir. Je sens mon sexe s'humidifier et mes pensées s'embrouiller. Patrick n'hésite pas à me caresser la jambe en remontant jusqu'à mon short. « Il faut qu'on trouve une solution pour qu'on puisse te faire confiance à nouveau, » dit-il. J'acquiesse bêtement, écoutant d'une oreille.
Si on se met d'accord sur une solution, je te laisse continuer les cours, sinon je te demande de ne plus venir, poursuit-il. Je lui dis que je suis d'accord tant que je peux continuer les cours. Il sourit et écarte les jambes. Sa bite est maintenant complètement libre et Patrick me demande si je veux un petit verre. Sans attendre... Il se lève dans la pièce, remuant sa queue dans tous les sens, et m'apporte un whisky. Je ne bois pas souvent, et l'alcool me monte à la tête. Nous parlons un peu ?
et mon regard ne cesse de se porter sur son beau pénis. Il me voit faire, et me propose de me mettre à l'aise. Je me lève devant lui, et je baisse mon short. et ma culotte et il n'en perd pas une miette. Je me retourne pour lui montrer mes fesses et je me penche pour lui faire admirer ma chatte déjà trempée. Puis, j'enlève mon haut
et mes seins jaillissent sous ses yeux avides. Je me rassiais, folle de désir, je l'avoue, mais il prend son temps. Sa bite est maintenant dure comme du bois contre son ventre. mais il continue à me parler de son travail. Il me caresse maintenant le corps, d'abord les jambes, puis les seins. Ma bouche s'ouvre. Il faut que je mette quelque chose dedans.
Il me rend folle de désir. Quand va-t-il me baiser ? « As-tu vu ma collection de livres anciens ? » dit-il brusquement. Sans attendre ma réponse, il m'emmène à la bibliothèque et me... demande de grimper à l'échelle pour aller chercher un ouvrage rare sur la culture mésopotamienne. Je suis surprise, mais je fais ce qu'il me demande. En grimpant lentement,
Je sens ces mains qui m'aident en me tenant par la taille. « Monte un peu plus haut », me dit-il, arrivé au niveau du livre. Je sens soudain mes fesses s'ouvrir et l'homme plonge. en un instant sa langue dans mon cul. Je frémis sous l'effet du plaisir soudain. Il semble être un expert et sa langue s'enfonce assez profondément en moi. Je m'accroche à l'échelle pour ne pas tomber. Tout à coup, une main puissante s'abat sur mon cul tandis qu'il continue à me lécher. Je crie de plaisir.
Il n'hésite pas à me faire rougir les fesses avec de nombreuses claques. Après une longue période de punition, Patrick change de ton. Le gentleman se transforme en homme autoritaire. « Descends », m'ordonne-t-il. Je me retrouve un instant à genoux devant sa bite, qu'il enfonce profondément dans ma gorge. Je manque de m'étouffer.
Et l'homme baise sauvagement ma bouche. Sa bite entre et sort. Et je peux enfin la goûter. Il en profite pour me gifler et me traiter de pute. Il me dit que j'ai envoyé ses photos. parce que je suis une salope qui veut être punie. La bouche pleine, je ne peux pas répondre. Il poursuit en disant que si sa femme avait vu ses photos, cela aurait ruiné son mariage.
et que je vais être puni pour cela. » Les couilles de Patrick se resserrent rapidement, et bientôt son jus explose dans ma bouche. Il est en train de jouir, Et il ne se retient pas pour que j'avale son sperme. Il y a tellement de sperme que je dois l'avaler plusieurs fois. Juste à ce moment-là, on sonne à la porte. En retirant sa bite,
Il me dit, tu vas aller ouvrir la porte, j'ai un rendez-vous important et tu vas faire le service. Stupéfaite par la façon dont il me parle, j'acquiesce et me dirige vers mes vêtements. L'homme m'arrête et me dit que je ne mérite pas de vêtements, que je dois rester nue. Alors, je me dirige lentement vers la porte. J'ai honte d'être offerte. De plus,
Les traces de ma punition sont encore très rouges sur mes fesses et mes joues. Patrick est parti s'habiller. Lorsque j'ouvre enfin la porte, trois hommes en costume trois pièces entrent, et me regardent avec dédain. Mes détons durcissent sous leurs yeux. Monsieur Stewart vous attend dans la salle à manger, leur dis-je timidement. Je passe devant eux pour les guider.
Malgré moi, mon cul roule et je les imagine en train de regarder mon anatomie. Ma chatte est encore très humide. Patrick les attend en costume et les invite à s'asseoir. Va nous faire un café à la cuisine, Kiki. Je ne connais pas bien l'endroit, mais quand je trouve la cuisine, une surprise m'attend.