Kiki from Paris, la boutique de lingerie, partie 1, l'entretien d'embauche. Pour financer mes études, j'ai décidé d'accepter un petit boulot. Juste à côté de mon école d'art, Il y a un magasin de lingerie qui cherche une vendeuse. Un après-midi, je rentre dans le magasin et je suis accueilli par un homme d'une quarantaine d'années, plutôt charmant. Il semble plutôt autoritaire.
et me demande si je m'y connais en lingerie. Eh bien, à part la lingerie que je porte, je dois avouer que je n'y connais rien. Et il s'en aperçoit très vite. Il me dit alors que la meilleure façon de connaître la marchandise est de l'essayer. Je suis d'accord avec lui, c'est vrai, mais je ne m'attendais pas à ce qu'il me demande de l'essayer maintenant.
Il me tend donc une culotte et un soutien-gorge et me demande de les essayer devant lui. Je suis surprise par sa demande, mais j'ai l'impression que c'est la seule façon d'obtenir le poste. Je lui demande si je peux utiliser le vestiaire et il me dit que ce n'est pas nécessaire, car il n'y a jamais personne à cette heure de la journée. J'hésite un peu, mais tant pis.
Il faut vraiment que je trouve de l'argent. Alors je commence à enlever ma robe. Je précise que je n'ai pas mis de soutien-gorge et que mes seins apparaissent devant lui. Il me sourit. et semble satisfait. J'espère qu'il n'est pas un de ces pervers qui ne pense qu'à baiser tout ce qui bouge. Puis, j'enlève ma culotte. Je me retourne pour cacher mon intimité, mais je me penche.
Il peut alors voir mon cul s'ouvrir et peut-être apercevoir ma chatte. Je fais aussi vite que possible et j'enfile maladroitement le premier ensemble de lingerie qu'il m'a donné. C'est une magnifique... lingerie en dentelles bleues transparentes qui laissent apparaître mes tétons. Se retournant vers lui, il commence à m'expliquer toutes les caractéristiques du produit, tourne autour de moi.
en se léchant les lèvres et me dit qu'il me va bien. J'ai un peu honte et je rougis à ses mots. Il me demande alors d'enfiler un autre ensemble, qu'il me tend. Après m'être à nouveau déshabillé devant lui, je réalise que ce qu'il me demande de porter est assez sexy, voire obscène. Le soutien-gorge ne cache rien et est ouvert sur les tétons.
et la culotte est complètement ouverte et montre ce qu'elle devrait cacher. Une fois que je suis habillée ainsi, il me demande de me promener dans le magasin et de lui dire ce que je ressens. Je suis très intimidée, mais j'obtempère. Il y a quelque chose de très autoritaire dans sa voix. Et j'obéis docilement. Tout en marchant, je roule mes fesses.
Je remarque un gros bourrelet dans son pantalon. Ce salaud bande. Je suis choquée, mais je n'ose rien dire. Il me demande alors de m'approcher de la vitrine. Je me rends compte que si je le fais, je serai bien visible de la rue. J'hésite un peu, puis je pense au loyer que je dois payer, et je prends mon courage à deux mains. Je m'approche et je regarde. Un vieux monsieur marche de l'autre côté de la fenêtre. Il s'arrête soudain à quelques centimètres de moi pour me contempler.
et semble ravi du spectacle que je lui offre. J'essaie de cacher mon sexe et me retourne, ce qui lui permet de voir mon cul. Le propriétaire du magasin me rappelle alors et je me précipite vers lui. Son pantalon est complètement déformé par son sexe, et il me dit d'un ton grave qu'il est désolé, mais qu'il ne pourra pas m'embaucher. Je suis beaucoup...
trop séduisante. Et si je dois être près de lui régulièrement, il ne pourra pas le supporter. Je sursaute. Je pensais que j'allais obtenir le poste. Mais je suis terriblement déçue. Je me dis que je peux peut-être le convaincre de m'embaucher. Le poussant vers le comptoir, je m'agenouille enfin devant sa bite et la décipe. Je libère une énorme bite qui vient s'écraser sur mon visage. Je ne m'attendais pas à voir une bite aussi grosse. Sans lui laisser le temps de réagir, je l'avale rapidement.
et la suce passionnément. J'ai vraiment envie qu'il m'engage, alors je vais essayer de le faire jouir comme une professionnelle. De plus, dans ma position, Je sais qu'il peut me voir à travers le miroir derrière mes fesses. Je me cambre donc le plus possible pour qu'il puisse bien voir mon cul et ma chatte pendant que je le pompe avec avidité.
Il devient bientôt aussi dur qu'un taureau. Et je dois admettre que j'aime vraiment caresser ses couilles. Je fais des mouvements de va-et-vient et j'accélère encore. Je sens qu'il aime vraiment ça. Je manque de m'étouffer à plusieurs reprises tellement sa bite est grosse et longue. J'imagine les dégâts qu'il pourrait faire à ma chatte et rien que la vue.
me fait mouiller abondamment. Alors j'attrape sa bite à deux mains et je le branle à fond. D'une main, je lui tape les couilles pour accélérer l'écoulement de son jus. Il jouit alors férocement et m'éclabousse le visage de longs jets de sperme. Il ne semble pas s'arrêter, et mes cheveux et mes yeux sont couverts d'une grande quantité de sperme gluant.
Je suis heureuse de l'avoir fait jouir quand soudain la sonnette retentit et deux clientes entrent. Je reconnais deux camarades de classe et je suis choquée quand elles me voient debout. couverte de sperme, la chatte ouverte et luisante de mouille. Le patron se ressaisit, remet son matériel en place et, sans me laisser le temps de réagir, me demande d'aller les servir. Malgré la honte, je me sens heureuse car j'ai réussi. Il m'a engagée.