La Fabrique Audio présente La Petite Histoire www.lafabriqueaudio.com Salut tout le monde, numéro spécial de La Petite Histoire du Paranormal, spécial Halloween. À quelques jours d'Halloween, on a décidé de faire un épisode avec des chercheurs du paranormal. C'est Alexandre qui est avec nous. Salut Alexandre. Bonjour. Alexandre, ça fait combien de temps que toi et ton épouse d'ailleurs... qui se présente comme Cécile, faites de la recherche en lien avec le paranormal.
En paranormal, c'est vrai que ça m'a toujours aimé ça, mais la création de l'équipe date maintenant de presque 8 ans. C'est venu comment l'envie de devenir chercheur du paranormal ? Au début, c'était une curiosité, mais avant tout, c'est une recherche de savoir s'il y a une vie après la mort. Et c'est après que je me suis dit, si tu veux savoir si ça existe ou pas, tu vas sur le terrain et tu vas découvrir par toi-même. Et c'est comme ça que j'ai su si c'était juste ou pas.
Et alors, la réponse ? Les résultats ont été très positifs pour ma part. Et donc, c'est pour ça que j'ai continué à créer cette équipe. Et j'ai eu des découvertes. Je suis allé en découverte, en découverte. Et j'ai vraiment été déçu des résultats. Donc, ça veut dire, la réponse, c'est clairement oui. Il existe une vie après la mort ? Oui, il y a quelque chose. Mais après, je laisse à tous ceux qui ne sont pas passionnés par le mal de le découvrir par eux-mêmes.
Oui. C'est tellement prenant, c'est tellement fascinant de découvrir par soi-même. C'est autre chose. Entre les films et la réalité, c'est vrai que c'est autre chose. C'est pas pareil. Quelles sont les expériences que tu as vécues qui te permettent aujourd'hui de croire à cette réponse de oui, la vie existe après la mort ? En fait, je suis rentré en contact avec mon grand-père. Et puis après, j'ai eu des réponses à travers des enquêtes. Et on fait que ça fait qu'il y a des...
Il y a des personnes qui me répondent. Avec ton grand-père, ça s'est passé comment ? En fait, avec mon grand-père, j'avais un secret entre lui et moi. Et donc, j'ai essayé de rentrer en contact avec lui. C'est là que je lui ai posé une question que lui seul ne pouvait pas savoir. Et il m'a répondu. Par quel biais tu es rentré en contact avec lui ? Avec une speedbox. Une radio modifiée qui balaye les ondes radio. et donc ça permet d'entendre les voix. Et du coup tu as entendu carrément sa voix ?
Oui, tout à fait. Tu as pu l'enregistrer ? J'ai pu l'enregistrer, tout à fait. J'ai pu l'enregistrer pour moi et tout, et j'ai pu voir exactement si c'était vraiment lui qui me répondait. Et on entend clairement dans les réponses ? En tout cas pour ma part, j'ai entendu clairement sa réponse. Et après j'ai pu savoir qu'en quoi il y avait vraiment quelque chose, et c'est après que je me suis dit qu'il faut que je le fasse. Maintenant, c'est... C'est mon but.
Et comme je suis une personne assez généreuse, assez gentille, donc je dis, il va falloir aller dans les lieux et aider les personnes qui ont besoin d'aide, qui ont besoin de l'hôpital paranormal, et aussi aider les personnes qui sont mortes pour les faire passer de l'autre côté. Alors, ça fait huit ans que tu fais cette activité de chercheur du paranormal avec ton épouse Cécile. Quelles ont été les grandes expériences que vous avez vécues ensemble, les grandes enquêtes que vous avez menées ?
En fait, on est allé un peu partout en France. On est allé en Bretagne, on est allé au centre de la France, et des rangs particuliers. On a parcouru pas mal de lieux, pas mal de villes. Après, chaque lieu a une histoire à raconter. Donc, je pensais qu'après, ça nous permettait de faire des recherches à travers les mairies, à travers Internet. Ce qui me provient en tête, c'est que c'est là. Et on a...
Un hôtel qui est dans Vaucluse, où il y a eu une maison de retraite, un sanatorium, il y a eu plusieurs vies dans ce lieu. Et quand on a fait des recherches, on est tombé sur un abonné qui avait travaillé sur le lieu, et qu'on a même fait partager, on a même demandé à qu'elle vienne avec nous. C'est là qu'elle nous avait raconté que là, il y avait ci, il y avait ça. Et effectivement, même à son époque, il y avait déjà des phénomènes paranormaux qui se passaient.
On a même eu une phrase, il y a une entité qui nous dit, en fait, quand je commence à parler avec eux, je leur demande s'ils se trouvent de l'autre côté, et puis il y a une entité qui me répond, on est occupé. Et pour moi, sur le que je suis, je lui demande qu'est-ce que c'est que mon occupation et tout, et c'est là qu'elle nous dit, elle nous répond, on est au frais.
Et c'est après que je me suis raconté ce phénomène, donc cette voix qui nous a répondu à la personne qui travaillait dans ce lieu, elle nous a raconté après qu'en fait, Je vais peut-être dire ça en fait, une sorte d'activité. Parce que vu que le lieu n'est pas souvent de Carpentras, et Carpentras c'est une ville qui serait réputée par rapport aux presse. Et donc les fêtes en presse, c'est une activité de la maison de repas qui est là où il était.
Et la personne qui vous a répondu ça, vous savez qui c'est ? Après, c'était une femme qui nous a répondu que je la dérangeais et qu'elle nous racontait une activité qu'elle adorait faire dans ce lieu. Et après, il y a eu d'autres réponses, d'autres signaux ? Après, il y a eu d'autres réponses, oui, qu'on les dérangeait, qu'on n'était pas là les bienvenus. J'avais une fois demandé si j'étais content qu'on soit là, il y en avait eu des, il y en a un monsieur qui ne nous a dit pas du tout.
C'est important de savoir pas trop non plus les déranger et de leur demander si on les dérange pas. Ça c'est important. Si on les dérange, on s'excuse et tout. Et puis comme je dis souvent, on n'est pas là pour les passer. On est là pour justement rentrer en contact avec eux. Et après, si le truc bien sûr, c'est là qu'on est avec les appareils qu'on a. Et alors justement, les appareils que vous avez, c'est quoi comme type d'appareil ? Alors nous... On a nos ressentis en tant que personnes.
Après, pour ceux qui nous regardent, on a certains appareils comme la série d'autres que j'ai dit tout à l'heure. On a les pods. On a d'autres objets qu'on demande de bouger aussi. On a des petits bofs aussi. Voilà. C'est des appareils qui sont assez sensibles, qui nous permettent de savoir et de le prouver sur nos ressentis. C'est vrai que les ressentis, c'est pas facile à les montrer.
Mais c'est vrai que ces appareils qui sont... qui viennent souvent des Etats-Unis, sont là pour vous prouver que vous nous ressentez. Alexandre, une autre enquête a eu lieu dans le Vaucluse. Ça c'était pareil, dans le Vaucluse aussi, dans un ancien sanatorium, aussi un ancien enfoiré nain. On était dans les cuisines à ce moment-là et c'est là que on sentait énormément de présence qui nous observait, qui nous regardait et tout.
Et puis à un moment, on a vu J'ai une personne de l'équipe qui essaye de leur demander de faire un bruit, de se manifester. Et on était quatre et tout à ce moment-là. Et c'est là qu'on a eu un grand boom, juste après la question qu'on a eue, qu'on a faite. Et c'est vrai que c'était très impressionnant, ce moment-là. Quand on a réécouté les bandes-sons, on a remarqué que le bruit qu'on avait eu n'a pas été enregistré. Et on a été un peu surpris de savoir comment ça se faisait.
Ça peut être possible d'avoir ce genre de phénomène. On peut enregistrer que ça a l'air de fausse. qui sont encore dans notre tête et tout, ça reste encore un mitère. On était quatre témoins à l'avoir entendu et on est encore avec plein de questions. Quel est le moment dans toutes tes enquêtes pendant huit ans qui t'a fait le plus flipper, Alexandre ? C'était dans un autre lieu, c'était dans une forêt aussi, où on avait aidé pas mal d'esprits aussi avec sa partie.
Après l'enquête, on a senti qu'il y avait d'autres personnes, qu'il y avait d'autres esprits qui nous suivaient, mais ils n'étaient pas trop contents qu'on soit là. Donc ils nous ont un peu suivi, on entendait un peu des bruits dans la forêt qui était pas loin. Et donc c'était assez impressionnant, c'est une sorte de nuit, je vous laisse imaginer. Et là vous étiez plusieurs, pareil, t'étais pas seul ? Pareil, on était avec plusieurs personnes, on était quatre aussi.
Et c'est vrai que c'était une soirée de pleine lune, donc c'est vrai que nous ce qu'on voulait c'est vraiment rentrer et c'est tout ce qu'on souhaitait. Les bruits que vous avez entendus, c'était quoi comme bruit ? Je pense que c'était certaines êtres qui essayaient de nous passer du lieu. Quelque chose qui nous suivait, comme s'il y avait une bête qui était dans les feuillages, qui nous suivait et qui suivait notre direction. J'essayais de ne pas faire peur.
À quel moment vous avez su que ce n'était pas justement un animal qui vous suivait, et que c'était plutôt un espèce ? Ça nous suivait déjà d'une, et puis on entendait bien que c'était un qui... Ça grandissait en fait, la vitesse grandissait. On pensait une bête à la rigueur, elle est venue nous voir. Là c'est quelque chose qui nous suivait et qui nous poursuivait en fait carrément dans la forêt. On passait à une autre enquête si tu le veux bien
Alexandre. Une autre enquête qui t'a marqué pendant ces 8 ans d'enquête en tant que chercheur du paranormal. C'était en Bretagne. dans la forêt magique de Brocéliande. Donc j'invite à tous ceux qui ont la possibilité de visiter cette forêt très magique. Et à un endroit, on avait une forêt de cairnes. Donc en fait, les cairnes, c'est une sorte de pierre alignée.
On avait surnommé la forêt au vœu parce qu'en fait, quand les gens venaient, ils posaient dans ces tas de pierres et justement, ils faisaient un vœu. Donc d'où le fait qu'on l'a tourné la forêt au vu. Et à ce moment-là, je parle aux entités du lieu, de la forêt, et je leur demande s'ils connaissaient un peu la légende de Merlin l'Enfanteur. Et donc, il y a un moment, il y a eu un blanc un peu, et c'est là que je me suis dit, bon, il ne veut peut-être pas répondre. de couper la sphère de Bocque.
Il y a un moment, juste avant que je coupe, on entend une voix qui nous dit Escalibur C'est qui ? C'est qui Escalibur ? C'était très impressionnant comme réponse. Escalibur. On est resté un peu sur le cul, comme on dit. C'est le nom de la fameuse épée du roi Arthur. Alors pour entendre ce genre de mots à cet endroit-là, parce qu'il y en a beaucoup qui me disent c'est de la radio et autres, mais franchement, entendre ce mot précisément là où on était, Il faut le faire.
La nouvelle enquête dont on va parler, Alexandre, elle se passe à nouveau dans le Vaucluse. Oui, j'en ai une encore, pas très loin aussi. Donc là, on retourne dans le Vaucluse. C'était une maison, pareil, un ancien hôtel aussi. Et c'est pareil, on nous a dit qu'il y avait eu un meurtre, qu'il y avait un pendu. Mais c'est là que moi, je suis toujours curieux de savoir ce qui se passe et tout.
Et donc, c'est là que je leur demande, excusez-moi, est-ce que vous pouvez nous raconter un peu ce qui s'est passé ici, dans ce lieu ? vous pouvez nous raconter ce qu'il y a eu à meurtre. Et c'est là que je prononce le mot meurtre, en fait, qui est un esprit qui dit, oui, c'est le diable. Le mot meurtre, c'est le mot diable.
Alors, là, pour le coup, je n'ai pas trop compris pourquoi ils avaient dit ça, mais après analyse, j'ai su que c'était au moment où j'avais parlé du meurtre, ils ont commencé à en fait parler, en fait, quand ils ont prononcé le mot diable, en fait, ils parlaient du tueur, pas du diable en lui-même. Ça c'est avec la radio que tu l'as entendu ? À la Spirit Box, toujours pareil, avec la machine qui balayait les ondes au radio. Donc ça, ça reste aussi... Et le tueur s'appelait le diable ?
Il se faisait appeler le diable ? Pour eux, c'était quelqu'un de méchant, le diable, le mal. Et quand on te dit ça, quand t'entends ça avec la Spirit Box, t'en fais quoi finalement de ces réponses ? C'est des réponses incroyables, parce que c'est vrai qu'on ne s'attend jamais à avoir des réponses aussi précises. Et la direction, le Gard, pour l'enquête dont tu vas nous parler à présent ?
Ah oui, il y en a une aussi, c'est par exemple, on est allé dans une autre maison, et là, on communique comme d'habitude, et là à un moment, je communique et je pose des questions, et là on entend une voix, libérez-nous, on entend une phrase qui nous dit libérez-nous. Libérez-nous. Une voix de femme qui dit libérez-nous. Et après je continue à parler et tout, et c'est là que je parle du lieu et c'est là que je prononce... Parce qu'on m'avait dit qu'à un moment c'était une sorte de secte ce lieu.
Et c'est là que quand je prononce le mot secte et tout, je dis est-ce que vous savez que c'était une secte ? Et ils disent est-ce que vous saviez ? Oui, dans ce lieu c'était une secte. Et c'est là qu'on entend une voix qui nous dit oui, mais on ne le savait pas Oui, mais on ne le savait pas Et on entend une phrase complète, et ça c'est assez... c'est incroyable. Et il voulait dire quoi par là ? Qu'ils ont vécu là ? En fait, il a dû se faire avoir.
Il a dû être fermé par la personne qui lui racontait beaucoup de belles choses. Et c'est après qu'il s'est rendu compte que c'était déjà trop tard. Il était déjà trop en prise par le lieu. Et comment tu te rends compte que tu permets à un esprit d'aller dans l'au-delà et de passer cette frontière ? Alors là, on a une personne dans l'équipe, donc mon épouse qui s'appelle Cécile, qui passe aux dames en fait. Donc elle est médiane, passe aux dames et tout, et donc elle ressent les énergies.
Elle leur donne la possibilité de passer de l'autre côté. J'ai une anecdote aussi à raconter. J'ai une histoire de particulier. Donc à un moment, il y a une dame qui voulait passer de l'autre côté, donc elle a essayé de l'aider. Et juste avant de partir, de toute façon cette vidéo vous pouvez la retrouver aussi sur notre site YouTube. Alors juste avant de partir, elle nous laisse une phrase complète, et maintenant on s'allonge un peu.
Donc le phénomène de voie électronique, ça se passe sur place, on n'entend pas, mais PGE, et maintenant ça lance un peu, c'est ce qu'on a entendu après analyse. Pour moi, pour ma part, c'est un certain nombre de cadeaux de leur part de nous avoir laissé cette chose-là. Et pour moi, cet esprit est en paix. Ça y est, elle a pu partir dans le... Elle est partie en paix, elle était bien. Cette entité, donc cette femme, a été tuée par un militaire. Et elle était massacrée. Ça, c'était où ?
Ça, c'était sur Lyon. J'étais en particulier à Lyon. Et comment vous avez su que cette personne-là avait été tuée par un militaire ? Parce qu'elle nous l'a raconté à la Spirit Box. Et puis, on a fait des recherches sur le terrain et il s'est passé fin. Et dans la Spirit Box, on peut comprendre avec la Spirit Box tout ce qu'elle dit ? C'est assez clair ? Alors, sur le moment... pas trop clair, mais c'est après analyse, après ralentissement des pensions, là qu'on arrive à entendre sa réponse.
Et lui, il voulait quoi le militaire ? Pourquoi il l'avait assassiné ? Alors là, c'est une impulsion de sa part, c'est qu'il avait envie de faire mal, donc voilà. Après, c'est sa... C'est son histoire à lui, quoi, de faire sa volonté. Mais en tout cas, quoi qu'il arrive, c'est de la folie. Il y a eu un jour, Alexandre, où tu t'es dit, ça me fait trop flipper, il faut que j'arrête d'être chercheur du paranormal ? Me remettre en question, pas trop, parce que j'ai toujours cette volonté d'aider.
Mais c'est vrai qu'à un moment, lors d'une enquête, j'étais tout seul à ce moment-là. Et ce n'était pas bien, donc j'avais promis aux abonnés de faire une enquête quand même. Et donc j'étais allé tout seul et c'est vrai qu'à un moment, je suis allé et puis, je ne sais pas, j'avais sorti des signes qui ne faisaient pas que je fasse et tout. Et donc, je me suis dit, mais voilà, j'ai vraiment besoin de montrer à moi-même que ça existe. Donc, je me suis écouté et là, j'ai annulé l'enquête.
Parce que tu as senti qu'il ne fallait pas y aller ce jour-là ? C'est sur place. Quand j'étais sur place et tout, il y avait des signes qu'il fallait que je ne reste pas seul. Et de toute façon, j'encourage tout le monde, si vous faites de l'urbex, si vous faites des enquêtes par normal, ne soyez jamais tout seul. Pourquoi ? Parce que vous pouvez prendre des risques. Imaginez, vous faites mal, vous tombez. Qui est-ce qui pourra le savoir ? Qui est-ce qui pourrait vous aider ?
Pareil, si vous tombez sur quelqu'un, par exemple, si vous allez dans un lieu abandonné et que vous tombez sur quelqu'un et qu'il n'est pas content que vous soyez là, là, j'ai eu des collègues enquêteurs, ils se sont tombés sur quelqu'un et on les a menacés avec une arme. Donc c'est quand même assez dangereux. Après, c'est vrai qu'on a eu une personne de l'équipe qui a eu un souci dans un lieu aussi, qui a été procédé, on va dire, par une entité qui a essayé de la prendre.
Le paranormal, ce n'est pas du tout un jeu. Prenez garde, protégez-vous. Et si un jour vous voulez faire une enquête, contactez-moi. Mais ne soyez jamais tout seul à faire ça. Ça peut jouer sur toute votre vie. Qu'est-ce qui est arrivé à ton collègue de l'équipe qui a failli se faire embarquer ? En fait, elle a perdu des connaissances et elle a perdu un peu la tête. Elle a eu des réponses qui n'étaient pas du tout d'elle-même. Et donc, elle ne s'est pas déroulée. Elle n'était pas du tout elle.
Vous avez fait quoi du coup ? Donc après, j'ai essayé de la raisonner, de la reprendre elle-même. Je lui ai dit concentre-toi, concentre-toi, protège-toi, fais le vide, dis-toi que ce qui est en train de rentrer en zone n'est pas à toi. Et c'est là qu'elle est revenue à elle-même. Elle a eu peur après ça ? Elle en reparle ? Ah là oui, ça l'a surpris. Même aujourd'hui, ça reste, je pense, l'histoire la plus marquante de ce qu'elle a vécu. C'est pour ça que...
Elle est un peu comme moi en disant de bien se protéger, elle a le même discours, en disant de bien se protéger, portez bien vos bracelets de protection, ne faites pas n'importe quoi quand vous contactez les esprits. C'est quoi les bracelets de protection ? En fait, c'est des lits de thérapie. Donc en fait, il y a des bracelets qui nous permettent de nous protéger contre les énergies négatives, comme l'œil de tigre, comme le... il y a d'autres pierres qui existent.
Mais voilà, en tout cas, moi je porte des bracelets de King, j'ai un chemin de vie qui me permet d'éviter d'être touché. C'est vrai que quand j'ai commencé les enquêtes, je n'étais pas du tout protégé, j'ai eu des graissures, j'ai eu des bleus, j'ai été assez marqué. Alexandre, merci beaucoup pour ton récit, ton témoignage aujourd'hui dans la petite histoire du paranormal. On en a appris plus sur la vie d'un chercheur du paranormal dans le Gard. Merci infiniment.
Tu salues Cécile également qui t'accompagne sur tes enquêtes. Et puis on va te retrouver sur ta chaîne YouTube de CDP, chercheur du paranormal. A bientôt Alexandre. Et merci à toutes et tous de nous avoir suivis. On se retrouve très vite avec d'autres histoires en lien avec le paranormal. Salut ! La Fabrique Audio présente La Petite Histoire Si vous souhaitez devenir sponsor de ce podcast, contacte at lafabriqueaudio.com