L'Heure Libertine - Alice - podcast episode cover

L'Heure Libertine - Alice

Feb 09, 202512 min
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Summary

Alice se remémore une rencontre torride et inattendue dans un train, contrastant avec sa vie conventionnelle. Elle explore des désirs inconnus et des sensations fortes avec un inconnu dans les toilettes, remettant en question sa sexualité et laissant un désir persistant après le retour à la réalité.

Episode description

Le train peut être propice à des rencontres torrides… Elle en rêve !

Transcript

Bonsoir chers auditeurs auditeurs. pour écouter votre émission Érotique. De sa collection culissime, SCA, l'éditeur numérique, présente Alice. Une nouvelle d'Isabelle Le Télé. Ça va, ma chérie ? Euh... Oui, oui. Tu es toute rouge. Ce n'est rien, j'ai juste un peu chaud. Troublée, je... le regard des yeux pleins de sollicitude de mon mari pour regarder par la fenêtre du train. Mon cœur bat encore la chamade. Le paysage défile en silence, mais je ne le vois pas.

dans la tête et sur la peau les moments que je viens de vivre dans les toilettes. Oh my God ! Je ferme les yeux et fais semblant de dormir à nouveau pour que mon Antimari ne se doute de rien. Mais au lieu de sombrer dans le sommeil, impossible. Je me repasse en boucle le film de ces minutes incroyables. Comment est-ce arrivé ? La voiture-restaurant. J'étais allé boire un café, il y avait cet homme, seul. J'ai d'abord remarqué ses tatouages. Il en avait plein les mains.

C'était très impressionnant. Il a vu que je le fixais et s'est mis à me regarder aussi. J'ai dû rougir. J'ai eu chaud tout d'un coup. Et puis, je ne sais pas, la fatigue... l'ennui, un moment d'égarement. Il est venu me parler, je crois, mais je ne me souviens pas de ce qu'il m'a dit. L'instant d'après, on s'était enfermés dans les toilettes. Je suis une femme ordinaire, j'ai une vie conventionnelle, je ne fais pas ces choses-là, je n'y pense même pas, surtout depuis la naissance d'une femme.

Il n'empêche que je me suis retrouvée dans les toilettes du train avec ce type. Cela me ressemble d'autant moins que ce qu'on a fait, des images me reviennent. sensations aussi. Quand je lui ai arraché son slip, par exemple, l'effet que ça m'a fait. Mais avant, il y a eu ces bras que j'ai découverts jusqu'en haut pour admirer les arabesques.

noir et de rouge, dessinant des formes étranges, que je n'ai pas reconnues, mais qui dansaient sur ses biceps, durs comme de la pierre, mais doux comme de la soie au toucher. Il y avait son odeur de tabac. et même de hachiche, sa barbe brune, ses cheveux longs, ses yeux noirs, sa bouche sans sourire. Je sens encore la pression de ses doigts sur ma taille, les griffures de mes ongles sur sa peau.

Je ne suis pas du tout une adepte de la brutalité. Avec mon mari, les choses se passent bien et doucement. Cela me convient très bien. Mais là, c'est comme si une part de moi que je ne connaissais pas... J'aurai honte bientôt, mais pour l'instant je suis encore sous le coup de l'émotion. Oh ! Quand je l'ai écrasé contre le mur, le sentir si fort contre moi, son sexe...

Tendu contre ma jupe, ça m'a rendu comme folle. Il n'y a pas d'autre mot. J'aurais voulu l'écraser davantage et pourtant j'arrivais à peine à respirer. Mais c'est ça qui était bon. Oh ! Après, quand je l'ai baillonnée avec une main, tandis que de l'autre je frappais ses testicules doucement, puis plus fort à mesure que ses mains se crispaient sur mes fesses, je l'ai mordu, je crois.

Alors que ses doigts épaisses étaient introduits dans mon intimité moite. J'ai pincé son anus, il a crié, et j'ai fouillé avec un doigt, deux doigts, trois doigts, allant et venant, sans finir. sans précaution, sans retenue. Avec mon mari, nous nous connaissons depuis plus de vingt ans. Je ne l'ai jamais trompé. J'ai eu quelques occasions pourtant, mais non, jamais.

Sur le plan sexuel, je n'ai pas à me plaindre. Il y a beaucoup de tendresse entre nous. Avec les jumeaux, nous nous efforçons de ne pas faire de bruit. D'un commun accord, le sommeil est devenu précieux. Mais là, à un moment, je lui ai fouetté les fesses et il gémissait de plus en plus fort, à chaque coup appliqué. Comment se peut-il que personne n'ait entendu ces cris ? Oh mon Dieu !

J'ai adoré ça. Il était tout abandonné dans mes bras. Je l'entendais rugir comme un lion et je sentais ma culotte tremper, mon clitoris qui bourdonnait. Ça sentait la transpiration animale. je lui ai tiré les cheveux et les fait s'asseoir sur la cuvette des toilettes. J'ai arraché ma jupe, mes bas et je l'ai encastré au plus profond de moi. Je tirai sur ses épaules pour aller toujours plus loin et plus fort.

Je tapais contre ses cuisses au rythme du train sur les rails et il y avait un hurlement dans ma gorge qui menaçait de sortir. Je n'ai jamais rien connu de tel. Ce que nous avons fait de plus exotique avec mon mari, je crois, a été de faire l'amour sur la plage un été, à Ibiza. Nous avions beaucoup bu et je m'en souviens à peine. Nous avions eu peur de nous faire surprendre, mais j'avais trouvé cela amusant, malgré le sable qui me démangeait.

Je lui ai aussi mordu l'oreille et les tétons. Un cataclysme. J'aurais voulu le manger, en fait, morceau par morceau, en plantant ma bouche et mes dents sur chaque partie de son corps, le mâcher et l'avaler. jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien. C'était comme si j'étais changé, en torche, je brûlais de partout.

Et juste quand je l'ai senti prêt à exploser, j'ai arrêté. Et c'était comme ça, chaque fois, je stoppais net. Quand il était sur le point d'arriver au bout, je me retirais et je m'attaquais à une autre partie de son corps. avant de revenir m'enfourcher sur lui. Je cognais contre lui, toujours plus fort, jusqu'à me sentir prête à me disloquer. Et puis à un moment, j'ai décidé de le laisser faire, et il m'a soulevé ma tête.

les mains qu'il a maintenues d'une poigne de fer dans mon dos et m'a martelé de biais, une de mes jambes reposant sur le couvercle des toilettes. Je voyais des gouttes de sueur sur son front, sur ses tempes. Il avait yeux injectés de sang. Mon mari a la manie de dormir en pyjama, même en plein été, quand il fait très chaud. Moi, je me contente d'une culotte en toute saison. Quoique non,

Au début, je dormais nue. Curieusement, je crois que je mets une culotte depuis que nous avons installé la télévision dans la chambre. Je ne me souviens pas être sortie de ces toilettes. Pourtant, on devait avoir... voir l'air des faits. Qu'est-ce qu'on s'est dit ? Je ne sais même pas son nom.

Je l'ai fait ployer sous les assauts de mon corps, de mon sexe. J'ai agi avec cet homme comme avec une marionnette que j'ai manipulée dans tous les sens, à en perdre la tête, à jouer avec ces sensations que je portais à leur paroxy. et qui provoquaient ma propre jouissance, puisant des choses que j'ignorais posséder et pouvoir ressentir. J'étais secoué et catapulté dans des sphères jusque-là inconnues, je palpitais, haletais,

de tout mon être, comme jamais et en même temps propulsée par une force enfouie, je me... Ma chérie, ma chérie, on est arrivé. Ah, très bien. Je m'extirpe de ma torpeur pour attraper mon sac, mon manteau et suivre mon mari hors du compartiment. J'ai un coup au cœur en passant devant les toilettes. Mon Dieu ! Est-ce possible ?

ce qui s'est passé là. Malgré moi, je cherche des yeux mon inconnu, pétrifié à l'idée de le reconnaître, et en même temps, je m'avoue à peine que j'aimerais le revoir. Je suis encore tout de ce qu'il m'a fait vivre. J'en veux encore. Je traîne les pieds sur le quai de la gare. Qu'est-ce que tu as, ma chérie ? Tu n'es pas pressé de retrouver les jumeaux ? Si, si, bien sûr.

c'est juste que je suis fatiguée. » « Fatiguée ? Bah dis donc, pourtant tu as dormi tout le trajet. » Trouvez mes lectures érotiques de la collection Kulisse.

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