Bonjour à tous. Salut, Violaine. Salut, Nathan. Bonjour à tous. Alors, on se retrouve cette semaine pour un nouvel épisode différent de celui de la semaine dernière. Et d'ailleurs, on t'invite à aller l'écouter si ce n'est pas encore fait. où nous avons parlé des vacances des Français pendant l'été. Mais aujourd'hui, on va parler d'un thème totalement différent en violène. En effet, on va se concentrer sur une thématique qui est très présente dans l'actualité française cet été.
Vous en avez certainement entendu parler ces dernières semaines. Donc aujourd'hui, on va essayer de répondre à la question suivante. Mais que se passe-t-il avec la police en ce moment en France, Violaine ? Est-ce que tu peux nous expliquer un petit peu ? Le point de départ, c'est ce jeune qui a été tué par la police en juin. C'est un drame qui a entraîné des troubles, de la violence aussi parfois dans de nombreuses villes françaises.
Dans cet épisode, on va faire plusieurs choses. Premièrement, on va revenir sur les faits. Expliquer le contexte, mais surtout essayer de comprendre la relation parfois complexe entre les Français et leur police. Et comment ? Et pourquoi ? on en est arrivé à cette situation. On va essayer de réfléchir à des pistes, à des solutions pour améliorer les choses.
Mais pour commencer, Nathan, peut-être pour les gens qui ne sont pas au courant, est-ce que tu peux nous rappeler ce qu'il s'est passé le 27 juin dernier à Nanterre, donc cette ville de banlieue près de Paris ? Pour résumer, il était environ 8 heures du matin quand deux policiers ont décidé de contrôler une voiture. Dans cette voiture, à l'intérieur de cette voiture, il y avait trois personnes. Les policiers ont...
On demandait au conducteur d'arrêter le moteur et le conducteur a refusé de le faire. Il est reparti ou il a commencé à repartir. La voiture a avancé doucement et c'est à ce moment-là que l'un des deux policiers a pris son arme, a pris son pistolet et a tiré sur ce jeune. Et la balle l'a touchée au thorax. Et le thorax, donc, pour que vous situez, c'est cette partie du buste qui comprend le cœur et les poumons. Ce qu'il faut préciser, c'est que le policier n'était pas.
en situation de danger, mais il a tiré quand même. Et malheureusement, après ça, le conducteur est mort sur le coup, c'est-à-dire qu'il est mort immédiatement. Et ce jeune, il s'appelait Naël, c'était un adolescent et il avait seulement... Et il faut savoir que toute la scène que tu viens de décrire, Nathan, elle a été filmée. Donc c'est grâce à ça...
ou à cause de ça, qu'on est capable de la raconter en détail. Et cette vidéo de la scène du drame, en quelques minutes, elle a fait le tour des réseaux sociaux, des chaînes de télévision, des médias. Elle a donc été vue, elle a été regardée en masse. Et ce drame, cette vidéo, c'est ce qui a déclenché une série de révoltes, de violences, de pillages.
C'est-à-dire que ce sont des personnes qui sont entrées dans les magasins, qui ont volé des objets, de la nourriture par exemple. Donc ça a déclenché tout ça et aussi des affrontements avec la police que vous avez sûrement vus et sur lesquels on ne... reviendra pas aujourd'hui. Ce qu'il faut préciser aussi, c'est que cette histoire de la mort d'un jeune tué par la police en France n'est pas vraiment un cas isolé, ce qui signifie que ce n'est pas le premier. ... ... ... ... ...
En cause, la police française, c'était dans le sud-ouest de la France, juste après un contrôle. Également, juste après un contrôle de la police et une enquête a été ouverte pour essayer de comprendre. Et il y a eu encore d'autres affaires, d'autres situations qui ont été plus ou moins médiatisées ces dernières années. Donc la mort de Naël, ce n'est pas une première, malheureusement. C'est pour cette raison qu'aujourd'hui, on a envie de se poser la question.
C'est la grande question. Il y a deux statistiques que l'on va détailler, que l'on va voir maintenant. et qui peut-être donne une partie de la réponse. La première statistique, c'est que la France est le pays où les opérations de police ont causé le plus de décès, donc de morts en Europe. La France est numéro 1. Et le deuxième chiffre ?
C'est qu'en France aujourd'hui, il y a deux fois plus de personnes tuées par la police qu'il y a dix ans. Donc c'est une nette augmentation. Les interventions de police s'accompagnent plus de violences. qu'auparavant. Exactement. Alors comment ça peut s'expliquer justement ? C'est difficile de répondre, mais pour commencer, j'aimerais qu'on mentionne une loi de 2017, donc une loi assez récente, qui a élargi, agrandi les conditions dans lesquelles un policier peut utiliser.
son arme en France. Bon, on va pas rentrer dans les détails, mais ce qu'on peut dire, c'est que maintenant, c'est un peu plus facile. Maintenant, c'est un peu plus facile pour le policier de tirer sur quelqu'un. de manière légale. C'est-à-dire que la loi autorise maintenant plus facilement de tirer sur un individu, sur une personne. Et c'est pour ça... que certaines personnes en France vont parler d'américanisation de la société française ou de la police française.
Selon eux, les policiers français se rapprocheraient de la police américaine et il y a d'ailleurs eu cette comparaison. Oui, et c'est pour ça qu'on parle d'américanisation du mot Amérique. Il y a eu cette comparaison entre les événements français, donc la mort du jeune Naël en juin dernier, et une comparaison avec ce qui s'était passé.
après le meurtre de George Floyd à Minneapolis, je crois, aux États-Unis. C'était il y a trois ans. En 2020, exactement. Il y a trois ans. Tout à fait. Et ce qu'il faut dire aussi pour... Pour essayer de comprendre le système français, c'est que la police française à l'origine, la police nationale française, a été créée pour maintenir l'ordre, c'est-à-dire faire respecter le calme.
Dans l'espace public ? Ce qui est un peu différent d'autres pays, comme par exemple, on cite souvent l'Allemagne. En France, on a créé la police pour maintenir l'ordre. Alors qu'en Allemagne, c'est un peu différent puisque la police est là avant tout pour aider la population et protéger les citoyens. Donc il y a vraiment ce rapport d'égalité entre la population. et la police. Et donc, à l'origine, cette conception, la perception de la police est différente d'un point de vue philosophique même.
Et d'ailleurs, si on regarde un petit peu en arrière, si on prête attention à l'histoire de la police française, ce qui est intéressant, c'est de voir que dans les années 90, on a créé On a essayé de créer une police de proximité. Alors proximité, c'est quoi Nathan ? Alors la proximité en français, ça signifie être proche de quelque chose ou de quelqu'un.
Par exemple, on va dire la proximité d'un événement, d'un concert, ça signifie que le concert approche, que le concert arrive. Mais ça peut aussi être avec des personnes, la proximité. avec les personnes et justement une police de proximité a été créée à la fin des années 90 pour que les les citoyens et les policiers soient plus proches, puissent finalement échanger, et pour qu'ils puissent également discuter au quotidien, finalement, tout simplement.
Donc on a essayé de créer ça. Les gouvernements ont essayé de mettre en place cette police de proximité. Rapidement, ça a été supprimé pour des raisons économiques. Mais aussi politiques. Exactement. Nicolas Sarkozy, c'est lui qui avait pris cette décision et concernant la police de proximité. Il avait dit quelque chose, on va le citer. Oui, il avait dit, exactement, c'était ses mots. La police n'est pas là pour organiser des matchs de rugby, mais pour arrêter les délinquants.
Ça, il l'avait dit en 2003. Donc, il y a 20 ans, on a essayé d'ajouter une dimension à cette fonction de contrôle de la police. On a essayé de l'enrichir un petit peu et on a rapidement abandonné. Tout à fait. Ensuite, il y a une autre question. On a parlé de la violence, de la question de la violence peut-être dans la police. Il y a une autre question que certains naturellement se posent en France depuis quelques semaines ou même depuis quelques mois, voire depuis...
quelques années. C'est la question du racisme dans la police française. La question qu'on peut se poser, est-ce que ces morts violentes sont des cas isolés, on va dire exceptionnels, ou bien est-ce que les policiers sont racistes ? On peut le dire comme ça. Est-ce que c'est le système qui a créé ça ? Est-ce que ça relève de quelque chose de plus profond et de plus général dans la société française ? Parce que ce qu'il faut préciser, c'est que...
Quand on voit le profil des victimes, des personnes qui sont tuées par la police en France, c'est une question qui mérite d'être posée. Parce qu'en fait, la plupart des personnes dont on parle depuis tout à l'heure... comme Naël par exemple, ce sont des Français qui ont des origines étrangères et bien souvent d'Afrique, d'Afrique du Nord, des anciennes colonies françaises. Donc, pour schématiser, ils sont pour la plupart noirs ou arabes et ils vivent...
souvent dans les banlieues. Et officiellement, évidemment, ce racisme n'existe pas, en théorie. toute discrimination est interdite dans la police, mais dans la société française en général. C'est l'article premier de la Constitution française qui exige que l'égalité de tous les citoyens sans distinction de sexe, d'origine ou de religion, soit respectée.
Mais c'est vrai que dans la pratique, il y a une étude très sérieuse qui est sortie en 2020 et qui précise que les jeunes français, noirs et arabes, ont 20 fois plus de chances. 20 fois plus de chances ou de risques, évidemment, d'être contrôlé dans la rue que les autres Français. Et puis, il y a une dernière donnée sur ce sujet. On peut l'interpréter comme on le souhaite, mais elle est assez pertinente. Environ 50% des policiers, donc un policier sur deux, votent pour l'exercice.
extrême droite aux élections présidentielles. Voilà. Vous l'interprétez comme... comme vous voulez. Maintenant que nous avons dit ça, Violaine, il va falloir qu'on se mette également de l'autre côté, qu'on rappelle quelques éléments de contexte. et surtout la réalité dans laquelle travaille aujourd'hui un policier en France. Ça nous permettra de mieux comprendre peut-être les événements passés ou en tout cas d'apporter un point de vue global.
La première chose qu'on peut dire, Nathan, c'est qu'être policier, c'est une profession, un métier qui traverse une crise, qui est en crise. Oui, c'est très compliqué. En gros, plus beaucoup de personnes, plus beaucoup de Français aujourd'hui ne veulent être flics. Alors, c'est comme ça qu'on les appelle. Flics, c'est un mot assez familier que l'on utilise beaucoup. C'est pour ça qu'on l'utilise aujourd'hui, qu'on utilise beaucoup.
dans le langage de la vie quotidienne aujourd'hui en France. Un flic, c'est donc un policier. C'est exactement la même chose. Et c'est une profession, être flic, être policier qui attire. Peu, ou en tout cas, en France, beaucoup moins qu'avant. Pourquoi ? On peut se poser la question. Il y a pas mal de raisons. La première, c'est que les conditions de travail sont difficiles. Le danger est là au quotidien, évidemment. Les salaires sont assez bas, assez faibles. Il y a peu de vocation et aussi...
Beaucoup de démission. Oui, beaucoup de policiers français démissionnent, démissionnés, c'est-à-dire qu'ils... qu'ils décident de quitter leur travail, de quitter volontairement leur travail, d'abandonner leurs fonctions. Et l'an dernier, d'ailleurs, ce chiffre très important, il y a eu 15% de plus. 15% de plus de policiers qui ont démissionné par rapport à l'année d'avant, ce qui est énorme.
Ce qui est énorme et ce qui traduit le mal-être, le sentiment qu'ont les policiers français, un sentiment de mal-être délicat et difficile dans leur profession. Et puis Nathan, il y a un autre phénomène. Une autre statistique plus grave encore, plus sérieuse, dramatique même, qui augmente également ces dernières années, c'est le nombre de suicides dans la police. Malheureusement, il y a de plus en plus de policiers français qui...
se suicident, qui décident donc de mettre fin à leur jour. Une donnée qui nous a d'ailleurs étonnés en préparant cet épisode, c'est que... Le suicide est même la première cause de mortalité dans la police française aujourd'hui, alors même qu'on le sait évidemment c'est une profession qui est dangereuse.
par sa nature. Donc c'est assez incroyable et triste de voir qu'ils meurent plus par suicide que dans l'exercice de leur fonction dans la vie de tous les jours. C'est incroyable, c'est un problème qui est... peu médiatisé pour l'instant, alors ça commence à l'être, mais on n'en parle pas beaucoup parce que évidemment ça gêne. L'institution de la police, ça la met mal à l'aise, mais c'est bien réel et c'est important de le préciser.
Alors on a parlé beaucoup dans l'actualité des émeutes, de ces troubles qui ont suivi la mort de Naël il y a quelques semaines, et donc les critiques contre la police, il y en avait beaucoup, mais on peut aussi se demander, se poser. cette question, est-ce que la police française est vraiment détestée par les Français, par l'ensemble des Français ou par une majorité de Français violins ?
Pas vraiment, si l'on en croit les dernières statistiques, les dernières études, les derniers sondages qui ont été réalisés. auprès des Français. C'est plus mitigé en fait, c'est ça ? C'est plus compliqué que ça, c'est plus mitigé. Donc mitigé, ça veut dire que c'est plus partagé, plus mélangé. En gros... On va dire que le pays est divisé en deux sur cette question. Pour schématiser, qu'est-ce qu'on pourrait dire, Nathan ?
On peut dire que d'un côté, il y a les jeunes, les jeunes français, et notamment les jeunes de banlieue qui ont un rapport plutôt compliqué avec la police, et puis il y a le reste de la population. tout de même qui a une relation, elle, plus apaisée, plus calme avec la police et finalement qui la respecte. C'est ça, dans une enquête assez récente, une enquête de cette année, donc de 2023, 57% des Français...
On dit qu'il ressentait de la confiance ou de la sympathie pour la police, c'est-à-dire plus d'un Français sur deux. Finalement, bien que les polémiques soient présentes, on peut dire que sur ce sujet, le pays reste clivé et donc séparé en deux catégories. Et à ce sujet, on l'a observé ces derniers jours, après la mort de Naël, c'est important de le préciser, c'est assez incroyable, une cagnotte.
Une cagnotte pour le policier qui a tué Naël a été ouverte. Donc, une cagnotte. C-A-G-N-O-T-T-E. Qu'est-ce que c'est, Violaine ? C'est une somme d'argent. qu'on réunit pour un groupe de personnes, par exemple. On peut le faire en vrai, mais on peut aussi le faire en ligne pour un mariage, pour un anniversaire. Dans le cas qu'on mentionne maintenant, le cas du policier.
qui a tué Naël, une cagnotte a été ouverte en ligne sur Internet pour donner de l'argent aux policiers, faire un don. De nombreux Français ont envoyé de l'argent pour le policier, pour sa famille. Pour le soutenir, donc. Exactement. Donc on peut en déduire que ces gens qui ont envoyé de l'argent comprennent le geste du policier d'avoir tiré sur Naël et donc de l'avoir tué. Et cette cagnotte en ligne a rapporté beaucoup d'argent. Beaucoup d'argent. Alors elle a été versée...
Donc récemment, non pas au policier directement, puisqu'il est en prison, mais à sa famille. Et le montant total de cette cagnotte a atteint 1 600 000 euros. C'est énorme. C'est énorme. Tout ça pour dire qu'il y a... Des critiques de la police par une partie de la population française, évidemment, mais pas uniquement. Il y a également beaucoup de soutien. C'est assez partagé et on peut le rappeler.
Il faut se souvenir aussi que la police française avait été largement soutenue, remerciée, applaudie par les Français juste après les attentats, on s'en souvient, les attentats de 2015. Les attentats de janvier puis de novembre 2015. Maintenant, Nathan, qu'on a fait le point, qu'on a expliqué la situation et le rapport des Français à la police, à leur police, on va essayer maintenant de...
Peut-être réfléchir, mentionner quelques pistes pour améliorer les choses. Qu'est-ce qu'on pourrait faire pour apaiser encore plus cette situation ? Première idée ? Vas-y. Alors la première idée, on pourrait... On en a parlé tout à l'heure. renforcer la police de proximité en France. Alors renforcer, ça signifie agrandir ou plutôt soutenir cette police de proximité.
Donc quand on dit soutenir ou renforcer, on parle de, pourquoi pas concrètement, on parle de créer des postes, d'augmenter le nombre de policiers dans certains quartiers, comme par exemple les quartiers considérés comme... difficiles dans les banlieues, plus de policiers pour échanger, pour discuter et pour faire de la prévention. Et pas seulement de la répression. Exactement, de la prévention, de la pédagogie.
Si on suit un petit peu cette idée Nathan, la deuxième piste qu'on pourrait mentionner, ce serait d'améliorer. les conditions de travail des policiers. Et les salaires notamment ? Leurs salaires, mais aussi les mettre dans des meilleures conditions pour éviter des drames, comme celui de Naël par exemple. On peut mieux former... Alors qu'en France...
Ce qui est assez incroyable peut-être, en tout cas il y a une grande différence avec l'Allemagne, c'est qu'il faut seulement un an en France pour devenir policier. Trois ans en Allemagne. Et aussi, c'est toujours lié à la première idée qu'on a mentionnée. Souvent en France, les policiers les moins expérimentés, les plus débutants, ce sont ceux qui sont envoyés dans les quartiers difficiles.
Et ils ne connaissent pas la réalité de ces quartiers, la situation dans laquelle ils évoluent, les peurs, les frustrations. Donc voilà, il faudrait changer, revoir un système qui est peut-être... vieillissant. Oui, et on a évoqué l'exemple de l'Allemagne qui est un pays voisin de la France et je pense que c'est un exemple intéressant à suivre. On peut se demander justement pourquoi l'Allemagne...
ne compte qu'une seule personne tuée par la police en 10 ans. Sur les 10 dernières années, une seule personne tuée par la police allemande, alors qu'en France, c'est un Français par mois. Un Français par mois qui est tué par un policier. Donc la différence est incroyable. Il est possible que notre cher voisin allemand soit un modèle à suivre sur ce sujet, sur le sujet de la police. En tout cas, il peut nous inspirer.
Tout à fait. Voilà pour ce sujet très large, très compliqué, mais très actuel et qui passionne et qui divise. Il passionne autant qu'il divise. Donc, c'était important pour nous.
de t'en parler en tout cas d'essayer de résumer un petit peu la situation et le contexte on espère en tout cas que cet épisode t'a plu on pourrait encore en parler pendant des heures tellement il y a de choses à dire Et si tu veux, toi qui nous écoutes, si tu veux continuer à t'informer sur ce thème, pour notre recommandation culturelle de la semaine, vous savez qu'on en fait une chaque semaine, on en avait fait une la semaine dernière pour le premier épisode.
Cette semaine, quelle est la recommandation ? Deux films sortis récemment qui abordent le rapport difficile entre les policiers et les jeunes de banlieue. Le premier film... Les Misérables, sorti en 2019. Il se passe dans la banlieue de Paris. Le deuxième film, c'est Bac Nord, BAC. espace NORD. Lui, il est sorti en 2020. Il a lieu à Marseille.
Les deux offrent un point de vue totalement différent de la situation. Donc, on vous laisse les titres dans les notes de podcast. On vous laisse faire votre avis sur ces films. Et n'hésitez pas. pas à nous écrire si vous voulez discuter de ces deux films que l'on a vus tous les deux Et je le recommande également. Merci, Violaine, pour cette recommandation. C'est fini pour aujourd'hui. Merci beaucoup de nous avoir écoutés. Merci, Violaine.
Merci à toi, merci à vous et on se retrouve très très vite. On se retrouve donc la semaine prochaine pour un nouvel épisode. D'ici là, bonne semaine, bonnes vacances à vous si vous en avez et à très vite. Salut !