Episode 202: Jouir, simplement

"Jouir, simplement" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir. L'�pisode de ce soir est le 2e r�cit du d�fi d'�criture intitul� "Janvier sera sexy" Un d�fi que j'avais propos� aux auditeurs D�ferlante sur Twitter. Pour bien commencer 2025, on voulait s'offrir non pas le fameux "dry january" (le janvier anglo-saxon sec, sous-entendu "sans alcool") mais plut�t un mois de janvier bien tremp�, carr�ment d�goulinant. Un janvier sexy, quoi! D'abord, vous allez entendre mon point de d�part pour l'histoire qu'il fallait d�velopper. Puis, vous entendrez le r�cit que Oglee Oglee a r�dig�, afin de continuer le d�but que moi, j'avais sugg�r�. Pour faire connaissance avec l'auteur, je vous invite � vous abonner � son compte Twitter: "OgleeOglee44" (@OgleeOglee44) Votre rdv avec ma voix est devenu aussi un rdv avec notre ing�nieur du son, Samuel Mazzotti, dont la maestria sonore n'est plus � d�montrer. Je remercie Oglee Oglee ainsi que Samuel de tout coeur pour la constance d'amour dont ils font preuve vis-�-vis de D�ferlante. Bon, �tes-vous pr�ts pour le d�fi "Janvier sera sexy"? Allons-y pour ce 2e �pisode. *** Il avait tout pr�vu. Son sac � malices �tait garni pour parer � toute circonstance, m�me impr�vue. Au t�l�phone, elle avait dit � je veux juste jouir, simplement, pas de sodomie �. Il savait ce qu�elle d�sirait. Et il �tait pr�t. *** Depuis quelque temps d�j�, ils avaient remarqu� le petit jeu du voisin d�en face, celui qui semblait mater depuis son autre c�t� de la rue, malgr� le filtre anti-regard pos� sur la vitre de leur maison. Mais cette vitre �tait celle de leur bureau, et derni�rement... le t�l�travail leur faisait passer beaucoup de temps dans cette pi�ce. Cette fin d�apr�s-midi grise et brumeuse �tait id�ale pour profiter de l'effet clair-obscur de la fen�tre. Et il avait rep�r� le voisin. Aussit�t, il d�cida d'aller la trouver, pour lui proposer une petite pause. Son regard coquin la fit sourire. Joueuse, elle lui laissa l�initiative. D'abord, lui bander les yeux. V�tue de sa robe-chaussette en laine, qui moulait parfaitement ses formes, ah, elle �tait d�sirable et il bandait all�grement. � Laisse-moi faire et laisse-toi faire � lui dit-il. Le temps d�ajuster la lumi�re afin que ce jeu d�ombres chinoises soit parfait et il la prit par la main pour la guider vers la fen�tre �clair�e. Il commen�a � lui caresser le dos. Doucement. Avec un doigt. Il descendit le long de la colonne vert�brale pour atteindre ses fesses. Il les effleura en se dirigeant vers le haut de ses cuisses. Elle frissonna, son corps demandait clairement une exploration plus pouss�e. Il voulut s'assurer que le voisin avait bien compris le man�ge dont il �tait t�moin. Ce dernier, devenu spectateur, semblait confortablement install�. Il scrutait leur fen�tre sans s�en cacher. Main pos�e sur la cuisse de sa muse, il remonta doucement sous la robe pour atteindre le tissu de sa lingerie. Visiblement elle avait - elle aussi - tout pr�vu, car il ne trouva que la peau nue et son sexe humide, pleinement �veill�. Excit� par cette coquinerie, il commen�a � d�boutonner le dos de sa robe pour la faire glisser le long du corps avec une infinie patience. Chaque centim�tre de peau mis � nu la faisait vibrer. Il devinait le regard du voisin sur ce corps en clair-obscur. Il vint se coller derri�re elle, tout contre elle, pour qu�elle sente son d�sir contre ses fesses. Elle se mit � onduler du bassin contre le tissu de son pantalon. C�est le moment qu�il choisit pour l�embrasser dans le cou et lui glisser � l�oreille: � et maintenant, je vais te faire jouir, si tu veux bien �. Ses mains se mirent � explorer son corps. D�abord son buste. Il s�attardait sur ses seins, les sous-pesait, il jouait avec les t�tons. Il adaptait ses gestes au rythme du bassin de son amante. Parfois, il laissait sa main glisser jusqu�au bas de son ventre. Juste pour la sentir vibrer dans l�expectative des ses doigts caressant enfin son sexe. Mais il s�arr�tait juste avant d�atteindre son calice. Il jetait des coups d��il r�guliers � leur voisin qui ne manquait pas une miette du spectacle. Il �tait grandement excit� � l'id�e qu�elle offrait - sans le savoir - � ce presque inconnu un spectacle d�ombres chinoises coquines. Cette fois, il laissa sa main glisser un peu plus bas. Son souffle acc�l�ra instantan�ment. Il savait parfaitement quels accords il devait jouer pour faire monter le tempo de leur repr�sentation. Tout en douceur, il variait le rythme et les gestes. Il jouait l� une partition sensuelle en passant de ses l�vres � son clitoris... Il la titillait, la caressait, la branlait, la p�n�trait des ses doigts fouineurs. Il adaptait sa cadence � la respiration. Il la sentait tant�t monter sur la pointe des pieds, tant�t se contracter sous l�effet de ses caresses. Jusqu�� la sentir presque d�faillir dans ses bras dans un g�missement sans �quivoque. Ensuite, elle se lova dans ses bras pour reprendre ses esprits. Les fesses toujours bien cal�es sur son entrejambe. Il lui enleva le bandeau et, en apercevant le voisin voyeur, elle d�couvrit qu�elle ne s��tait pas offerte qu�� un seul homme. Alors, elle adressa un sourire coquin � l�autre c�t� de la rue, avant d�embrasser celui qui avait respect� sa promesse. La faire jouir "simplement". *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast �rotique de vos r�cits tellement sexy.