Episode 200: La fille à genoux - podcast episode cover

Episode 200: La fille à genoux

Dec 22, 202412 minEp. 200
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Episode description

"Jamais je n’aurais pu imaginer que je me retrouverais un jour nue devant un homme, à genoux. Moi nue, et lui pas… Ou du moins, pas au début. Avec cet amant, c’est tacite entre nous: lors du chat précédant notre rendez-vous, on établit un ordre du jour. Il m’avait annoncé qu’il dirait "à genoux". Il n’avait rien précisé d’autre." Texte original et voix: Bleue (https://linktr.ee/for_ever_blues) Trame sonore: Samuel Mazzotti (https://linktr.ee/samazzotti) preneur de son, mixeur, podcasteur et créateur de sons. Special Guests: Bleue and Samuel Mazzotti.

Transcript

"La fille � genoux" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir. L'�pisode de ce soir est assez unique dans son genre. Pourquoi? Eh bien, au d�part, j'avais imagin� 3 copines qui raconteraient un soir, chacune, leurs premi�res fois: un premier cunni, une premi�re gorge profonde... enfin, vous voyez l'id�e. Mais voil�, de fil en aiguilles, cette soir�e entre copines semble devenir carr�ment une trilogie, dont voici le premier r�cit. Ce soir, je vous propose cette collaboration avec une des plus jolies voix dans le paysage des lectures �rotiques. Mieux encore, c'est elle qui a �crit le r�cit, sp�cialement pour D�ferlante. Voici Bleue. Je vous invite � suivre Bleue sur Twitter, son compte, c'est @ForEverBleue Sinon, vous trouverez ses comptes sur les autres r�seaux en cliquant sur le lien Linktree, qui est repris dans le descriptif de l'�pisode. Et puisqu'un bonheur ne vient jamais seul, notre adorable ing�nieur du son, le merveilleux Samuel Mazzotti, a de nouveau agit� sa baguette magique, pour terriblement embellir cet �pisode. De tout coeur, merci � lui et merci � Bleue. Allons-y, pour le nouvel �pisode... *** Jamais je n�aurais pu imaginer que je me retrouverais un jour nue devant un homme, � genoux. Moi, nue, et lui pas� ou du moins, pas au d�but. Avec cet amant, c�est tacite entre nous�: lors du chat pr�c�dant notre rendez-vous, on �tablit un ordre du jour. Cet ordre du jour peut s��taler sur une demi-heure ou ne durer que cinq minutes. Il m�avait annonc� qu�il me dirait ��� genoux��. Il n�avait rien pr�cis� d�autre. La derni�re photo qu�il m�avait envoy�e, c��tait celle d�une femme prenant un sexe d�homme en bouche. Je m��tais dit, en toute bonne logique, qu�il allait me demandait une fellation. Je ne me suis pas rebiff�e�: j�avais d�j� exp�riment� cela avec lui et avec d�autres hommes et cela ne m�avait pos� aucun probl�me. Ce qui �tait diff�rent cette fois, c�est que... quand on est arriv�s dans la chambre, il a �t� le couvre-lit bleu, l�a pli� m�ticuleusement, deux, quatre, huit fois et l�a d�pos� sur le sol de la pi�ce pour en faire un tapis assez �pais. Il m�a dit�: ���a, c�est pour que vous soyez confortablement install�e, quand vous serez � genoux.�� Je n�aurais pas imagin�, dans un premier temps, qu�il serait l�, � me regarder, qu�il tournerait autour de moi, qu�il se mettrait � me caresser tout doucement. Dans mon esprit, non�: il aurait �t� assis, sur un coin du lit et il aurait attendu que ma bouche fasse des miracles, si on peut dire. Les choses se sont donc pass�es d�une toute autre mani�re� Il m�a fait me d�shabiller, me mettre � genoux, joindre mes mains derri�re mon dos et baisser la t�te. (�a, je pense que c��tait le plus terrible�: baisser la t�te�!) Ne pas pouvoir le regarder. Ou alors, le regarder mais ne pas pouvoir bouger. J�ai choisi d�lib�r�ment de fermer les yeux. Cette chambre, je la connais par c�ur�: du bleu partout, du sol au plafond. Un coin douche. Deux petits fauteuils c�te � c�te, une table basse. Des miroirs. Un juste au-dessus de la t�te du lit. Un � la droite de l�endroit o� je me trouvais. Un derri�re moi. Je pr�f�rais ne pas voir mon corps de profil dans le miroir � ma droite ou mon visage et le haut de mon buste dans celui qui �tait pratiquement en face de moi. J�ai donc ferm� les yeux et j�ai attendu. Je sentais l�air bouger. Je me rendais compte qu�il tournait autour de moi. Il disait ��J�aime mettre en sc�ne, j�aime les tableaux vivants. Une femme � genoux, c�est un beau tableau, vous ne trouvez pas�?�� Et puis, � un moment, j��vitais toujours d�ouvrir les yeux pour savoir avec pr�cision o� il se trouvait, j�ai senti sa main sur moi. J��tais toujours sur les genoux, les mains derri�re le dos. La douceur de cette main sur ma peau. Sur celle de mon flanc, celle de mon ventre. Et puis, toujours aussi douce, contre un sein, puis l�autre. Pas pour empoigner ou pour empaumer. Juste un fr�lement� et encore un. Je savourais. Le d�sir nich� au creux de mon ventre �tait en train de se diffuser dans tout mon corps. Je suis presque certaine que si j�avais ouvert les yeux, j�aurais vu les siens clos aussi et que je me serais dit qu�il profitait. C�est quelque chose que j�avais remarqu�: quand il me caresse, il garde toujours les yeux ferm�s. �a, c�est pour ce qui concerne la posture, le tableau, le regard ext�rieur. Je parlais, je riais, je plaisantais. Sans doute pour amoindrir mon trouble, cacher mon malaise. Pourtant, je suis certaine que jamais, cet homme ne me ferait franchir des limites ing�rables. Je sais tr�s bien que si, � un moment, je lui disais ���a suffit��, il m�entendrait, il ne me forcerait � rien parce qu�il est respectueux de moi. Mais je n�ai jamais eu envie de dire ��maintenant, �a suffit��. Ou ��maintenant, arr�tons-nous, j�en ai assez��. Ou ��maintenant, stop��. Tout simplement parce qu�au fond, tout ce que cet homme me proposait me plaisait. M�me s�il m�est arriv� d�h�siter, dans un premier temps, ce qu�il me sugg�rait ne m�a jamais rebut�e. Je n�ai d�ailleurs jamais refus� quoi que ce soit comme caresse ou comme �treinte. Les choses que j�avais exp�riment�es avec d�autres hommes et qui me convenaient moins n��taient pas �cart�es: ��les hommes s�y prennent-ils tous de la m�me mani�re�?�� Avec aucun de ces hommes que j�ai rencontr�s � l�h�tel ou ailleurs, ni m�me avec mon mari, je ne me suis retrouv�e dans une telle situation. Souvent, les hommes ne prennent pas le temps de faire monter le d�sir. C�est un peu triste � dire mais c�est comme �a. Et puis, dans cette chambre, tout a chang�. La douceur �tait toujours au programme, mais c�est moi qui ai pris le lead, si on peut dire. Je l�ai entendu se d�shabiller et s�asseoir en face de moi. Quand j�ai commenc� � le masturber, son �rection �tait encore timide. J�ai eu droit � un peu de liquide pr�-s�minal quand il a durci. J�ai continu� de le l�cher du bas vers le haut de sa queue, consciencieusement. Quelques semaines auparavant, il m�avait fait un expos� sur sa verge et j�avais encore en t�te les pr�cisions qu�il m�avait donn�es sur le traitement � lui accorder. ��Vous pouvez tirer. Vous pouvez d�calotter mon gland de cette mani�re-l�. Ca ne me fait pas mal. Vous voyez�?�� Ensuite, tout s�est envol�: je ne pensais plus qu�� le faire raidir dans ma bouche. Je l�ai empoign� solidement et ai fait passer son gland sur mes l�vres. Il bandait de plus en plus. Je l�ai pris en bouche, ce n��tait pas vraiment ��en bouche�� mais plut�t pratiquement ��en gorge��, j�ai senti combien il avait du plaisir. �a n��tait encore jamais arriv� avec autant d�intensit� depuis le d�but de nos rendez-vous. Il faut dire qu�habituellement, on n�est pas dans la m�me position. On est couch�s sur le lit, moi � sa gauche. Ici, il �tait assis sur le bord du lit et moi, � genoux, entre ses cuisses. J�ai senti que l�angle de p�n�tration de son sexe dans ma bouche �tait bien plus efficace. J�ai suc�, goulument, profond�ment� J�y ai mis vraiment tout mon c�ur. Je sentais son gland atteindre pratiquement le fond de ma bouche, derri�re mon palais. Au d�but, la sensation �tait un peu d�rangeante, je l�avoue. J�avais l�impression de manquer de souffle. Mais cela semblait lui donner tellement de plaisir que je m�en serais voulue d�abr�ger� Toujours sans le regarder, je percevais combien son corps �tait tendu. Sa respiration s��tait acc�l�r�e. Ses mains s��taient alourdies sur mes �paules. Je les ai senties se crisper. Et puis, il a commenc� de grommeler et de g�mir. C�est � ce moment-l� que j�ai ouvert les yeux et que j�ai vu qu�il dodelinait de la t�te� Je savais qu�il �tait pr�t � jouir�: c�est toujours comme �a que son excitation maximale se manifeste. J�ai juste eu le temps de le lib�rer de ma bouche et il a joui sur mes seins. Des petits jets courts. Du sperme presque transparent. Inodore� Je n�ai pas bien compris les mots qu�il disait mais je suis presque certaine qu�il a trouv� �a d�licieux. Et moi aussi, d�ailleurs. Le plaisir que j�ai �prouv� �tait, somme toute, totalement c�r�bral. Constater que son amant l�che prise de cette mani�re, alors qu�il se contr�le �norm�ment, habituellement... est tr�s jouissif. *** Merci d'avoir �cout� D�ferlante, le podcast �rotique de vos r�cits tellement sexy.
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