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Episode 194: "Les hommes qui passent"

Nov 12, 202316 minEp. 194
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Episode description

Tout ça est un jeu, c'est un poker menteur. Je mets une photo, et la moitié des mecs bavent dessus. Mais en vrai, jamais ils ne sortiraient avec moi. Si je leur donnais rendez-vous dans un café, ils feraient demi-tour avant de me parler. Sauf que... derrière un écran, je leur plais. Ils se donnent probablement bonne conscience d'avoir remonté le moral à une pauvre meuf que personne ne voudrait baiser. Trop grosse, trop flasque, trop molle. C'est leur bonne action de la journée. Texte et voix Supernova (https://www.deferlante.be/) créatrice, plume et voix du podcast érotique Déferlante.

Transcript

"Les hommes qui passent" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir. L'�pisode de ce soir est un hommage � une tr�s belle chanson, sortie en 1990 et interpr�t�e par Patricia Kaas. "Les hommes qui passent". Disons que c'est un travail l�g�rement diff�rent par rapport aux autres �pisodes D�ferlante. J'ai mis� une sorte de "parler vrai" ou "parler cru"... ce qui reste un exercice p�rilleux pour un podcast �rotique. A vous de me dire si le pari a �t� tenu. Allons-y pour ce nouvel �pisode. *** Je p�se 132 kg, j'ai 29 ans et j'ai honte. Mon dernier petit-copain m'a quitt�e au bout de 5 ans parce que sa bite ne trouvait plus le chemin. C'est vrai que la sienne n'�tait pas tr�s grosse. Et que le missionnaire �tait peine perdue. Il me fallait syst�matiquement me mettre � 4 pattes, pour qu'il trouve au moins le chemin de mon cul. J'aime bien me faire enculer. Mais moi, je pr�f�rerais qu'on me baise comme dans les films: debout contre une porte coch�re, � la tomb�e de la nuit, bras relev�s au-dessus de la t�te, dos arqu�,des baisers dans le cou et des gouttes de sueur partout. Remarquez, pour la sueur, je suis servie. A la moindre excitation, je sue comme une b�te, mon coeur s'affole et je souffle comme un boeuf en mont�e. Je ne m'aime pas. J'�vite soigneusement le miroir. Le p�se-personne dans ma salle de bain est mon pire ennemi. Je lui ai enlev� les piles. J'aime le chocolat. Et les macarons. Et le tiramisu. Et les cr�pes flamb�es au Grand Marnier. Et j'ai un compte sur Twitter. J'ai commenc� timidement, mais c'est comme une drogue, vous savez? Quoi? ma premi�re photo? Mon cou et le chemisier un poil trop ouvert sur mes seins. Tr�s sage, mais tr�s sexy aussi. Les mecs ont flair� la chair fraiche, ils sont arriv�s en courant. Leurs bouches pleines de compliments, avec plein d'encouragements au bout du clavier. Comme �a, sur une simple photo? Au d�but, je n'en revenais pas... J'�tais comme ivre, vous savez? A chaque like, je trempais ma culotte. On me disait que j'�tais belle. Moi? J'avais envie d'y croire. Tellement! Alors au fil des jours, j'ai continu� � poster des photos. Plus on me disait que j'�tais jolie, plus j'enlevais mes fringues. Au bout d'une semaine, j'ai os� montrer une photo de mes seins, du 115G d�labr�, mou, gras � souhait, des seins avachis sur un ventre gonfl�. M�me �a, ils ont trouv� que c'�tait beau. Alors que moi, j'avais pris la photo les yeux presque ferm�s, pour ne pas les voir, justement, ces mamelles informes, ballantes, d�go�tantes. Tout �a est un jeu, c'est un poker menteur! Je mets une photo, et la moiti� des mecs bavent dessus. Alors qu'en vrai, jamais ils ne sortiraient avec moi. Si je leur donnais rendez-vous dans un caf�, ils feraient demi-tour avant m�me de me parler. Sauf que derri�re un �cran, mon gras leur pla�t. Ils se donnent probablement bonne conscience d'avoir remont� le moral � une pauvre meuf que personne ne voudrait baiser. Trop grosse, trop flasque, trop molle. Ouais, c'est leur bonne action de la journ�e. Des fois... moi, je r�ve de ce gars, parfaitement inconnu, beau comme un Dieu, sculpt� comme un Adonis, qui viendrait me parler en dm, tout poli, on dirait l'Italien de la pub Martini, pour me dire: "- Bellissima, j'aime tes courbes, j'ai envie de te la mettre". Sauf que cela n'arrivera jamais, �videmment. Je suis grosse, tr�s grosse. Moche et malheureuse. Quoi? Mais oui, je couche parfois. Je vous raconte ma derni�re sodomie? Simple comme bonjour: le mec a d� �carter mes fesses � deux mains, avant de s'avancer vers le trou sombre. Il a t�tonn�, il a pouss�, il a fini par trouver. Une fois dedans, excit� comme une puce, il avait dit: "- Oh putain, je suis dans le cul de la baleine!" Je n'ai m�me pas r�gi, je voulais trop qu'il commence enfin � pistonner. Et l�, il s'est donn� � fond. Ce fut long, comme un jour sans pain. J'ai cru d�faillir sur mes 4 pattes. Je voyais mes seins qui se balan�aient en-desous comme des baudruches d�gonfl�es, c'�tait moche, mais moche! J'ai eu honte. J'avais mal aux genoux, j'avais mal aux poignets. Mais j'ai ondul� du cul � fond, enfin... dans la limite de ce qui m'est physiquement possible, �videmment. Je voulais l'encourager. Le faire se sentir bien. Puissant. Il sodomisait un tas de viande, qui tremblait sous ses coups de rein. Ca remonte le moral �a, non? Je ne l'ai jamais revu, apr�s. Et �a, voyez-vous, c'est la vraie vie! Mais sur Twitter... je fais la belle, presque Princesse. Chaque midi, je viens chercher ma dose de "compliments" m�me si je me doute bien qu'en vrai... quasi aucun de ces mecs ne voudrait me baiser. Allong�e sur le dos, j'ai du mal � relever mes jambes. J'ai voulu faire �a une fois, les relever pour les poser sur les �paules du mec. Bah, ce n'�tait pas une bonne id�e, il n'a jamais trouv� l'orifice du vagin. J'ai une grosse chatte, moi. Avec des l�vres charnues et les chairs d'en-dessous qui d�bordent, luisantes. J'ai des cuisses sumo, et un ventre en triple bou�e. Un double menton aussi. Mais je r�ve d'�tre mince. Fine. Elanc�e. El�gante. Admir�e. D�sir�e. Baisable debout, contre un mur. Les bras relev�s au-dessus de la t�te, soulev�e telle un poids plume et empal�e sur une belle queue, bien raide. Bon, c'est pas � moi que cela arrivera! Il n'est pas n� le gars qui soul�vera 132 kg, pour les empaler sur sa queue �rig�e. Il aurait trop peur que je ne tienne pas, et que je lui fracture la bite. Loi de la gravitation, pas de l'attraction. Honn�tement, m�me en faisant des efforts, une masse comme la mienne tomberait dru, sans crier gare. Mais c'est un chouette fantasme... Le probl�me, quand je suis debout, c'est que la gravitation ne me rends pas service. Les chairs tombantes d�couragent plus d'un. Mieux vaut que je baise � l'horizontale, le poids est plus r�parti. Que dire d'autre? ah oui: depuis le d�but de l'ann�e, j'ai un compte Onlyfans aussi. Ca paie les factures tout doucement, heureusement! Je me vois mal retourner travailler tous les jours. Je l'ai fait pendant quelques ann�es, mais j'�tais malheureuse. Les coll�gues �taient vaches avec moi. Elles m'avaient accus�e de "promotion canap�". Que soi-disant j'aurais couch� avec Jean-Cristophe, pour avoir une promo. Et puis quoi encore? Mais non, pas du tout! Jean-Cristophe r�vait d'�jaculer entre mes seins. En 22 ans de mariage, il ne l'avait jamais fait avec sa femme. Alors, le jour o� c'est arriv�, on est all�s tous les deux dans la cage escaliers, derri�re la porte incendie. Je me suis assise sur l'escalier, lui il �tait debout devant moi, � la bonne hauteur. J'ai enlev� mon chemisier. Au fur et � mesure de sa masturbation, il m'avait demand� d'enlever aussi mon soutien-gorge. Je l'ai fait. J'avais pris des mouchoirs avec moi, au cas o�. Il �tait tellement excit�, le pauvre! Il s'est masturb� assez vite fait, et l�... j'ai �t� servie. Il avait gicl�... mais partout, j'en avais m�me dans les cheveux. Je l'ai gentiment grond�, alors... bon! pour se faire pardonner, il m'avait donn� une promo. Il avait trop kiff�, il en voulait encore, alors bon, ben, voil�! B�tement, il m'avait augment�e, c'est tout! Vous savez, des fois le samedi, moi et Jean-Cristophe... on se retrouvait sur le parking du supermarch� o� sa femme allait faire les courses. Soit disant, il pr�f�rait lui, attendre dans la voiture. Sauf que non, non, non... il venait me retrouver dans ma voiture. Il se mettait c�t� passager, sortait sa queue du pantalon et l'astiquait � coeur-joie. Il regardait toujours dans tous les sens, on aurait dit un lapin apeur�, il avait peur que quelqu'un ne devine ce qu'il �tait en train de faire. Moi, j'aimais le regarder attentivement, car �a le rendait tr�s raide et tr�s heureux. Je lui avais demand� d'�jaculer dans un gobelet, c'�tait comme un d�fi, sans d�border sur le c�t�. Et j'avais dit qu'� la fin, s'il ne d�bordait pas, il devait me donner le gobelet avec le sperme. Il semblait excit� et curieux. "- Mais tu vas en faire quoi, de mon sperme?" Bon, je n'allais pas lui dire que je voulais �viter qu'il ne t�che les si�ges... alors j'ai un peu invent�: je lui ai dit que j'avais besoin de son sperme pour le rajouter � ma cr�me visage. Que j'avais lu un article comme quoi, �a faisait des miracles! Ha, je peux vous dire qu'il s'est appliqu�, le Jean-Cristophe! On a d� arr�ter ces rendez-vous, au bout d'un moment car un jour... sa femme est sortie trop vite du supermarch� et elle ne l'avait pas trouv� dans la voiture. Il a d�band� sec, en voyant le texto entrant. Il est parti comme un voleur et je ne l'ai plus jamais rencontr� dans ma voiture pour qu'il astique proprement sa queue. Pas grave, puisque quelque temps apr�s, j'ai d�cid� de quitter ce boulot-l�. Onlyfans commen�ait � tourner assez bien. De plus, moi... j'aime me coucher assez tard, alors le matin, je pr�f�re dormir jusqu'� midi. J'ai des clients r�guliers, par exemple un mec en Californie. Tous les soirs vers 22h, je lui envoie une s�rie de photos, 2 ou 3, pas plus. Avec le d�calage horaire, il faut qu'il puisse les recevoir pour sa pause d�jeuner. Il demande juste des photos plan super rapproch� o� j'�carte bien mes cuisses, pour ouvrir tr�s grand les grosses l�vres. Il m'a dit un jour, qu'il allait se masturber aux toilettes de son taf et qu'il l�chait les photos sur l'�cran. Hm, pourquoi pas? Il y a un autre de mes r�guliers, il a une toute petite bite. Je le sais... car il me l'a montr�e, le jour m�me o� il avait pris son abonnement. Puis, en voyant une photo de moi toute nue, alanguie sur le lit, il m'avait r�pondu satisfait que oui, oui, c'�tait bon, que j'�tais "de taille" pour son kiff. Alors, son kiff? c'est de m'insulter par messages priv�s. Plus il m'insulte, plus il paye. Il me traite de tous les noms: "gros tas de viande" "grosse vache". Bon, assez vite, il se r�p�te... mais � la fin, sur le point d'�jaculer probablement, il r�le que soi-disant ma chatte serait beaucoup trop petite pour son gros engin. Il dit qu'il m'imagine bien serr�e, bien �troite. Bien ravie de me faire d�foncer. Que je serais glissante comme une anguille et qu'il faudrait y aller en mode marteau-piqueur. Et qu'un jour, il viendrait personnellement jusqu'� Lyon me faire ma f�te en vrai: me remplir la bouche de son sperme. Je laisse dire, �a le rend heureux, non? Nah, mais, pff... ils sont tous un peu barjo, vous savez? un peu bizarres, quoi! Mais �a, c'est parce qu'ils sont tout seuls. Malaim�s, mal bais�s, malheureux. Comme moi. *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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