Episode 193: Giulia perd pied - podcast episode cover

Episode 193: Giulia perd pied

Nov 03, 202317 minEp. 193
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Episode description

Giulia l'observait: il était à l'aise, pourtant il avait bien senti le regard appuyé, mais il se laissait faire, tel un chat qui se laisse caresser. Elle aimait cette façon qu'il avait d'affirmer sa virilité là, naturellement, de façon simple, sans gaucherie feinte et sans extravagance inutile. Un mec prêt à perdre pied, par choix, par désir. Voix Supernova (https://www.deferlante.be/) créatrice, plume et voix du podcast érotique Déferlante.

Transcript

"Giulia perd pied" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur de plaisir. L'�pisode de ce soir vous racontera la suite des aventures de Giulia, parce que je sais que Giulia, vous l'aimez. Et vous savez aussi � quel point moi, je suis heureuse quand vous osez participer � ce podcast qui est, avant tout, le v�tre... puisqu'il raconte VOS d�sirs. Naturellement, je tiens � remercier Xavier pour sa contribution � l'�rotisme des sc�nes que je vous d�cris ce soir. Vous verrez, c'est le pied! Allons-y, pour ce nouvel �pisode. *** Evidemment, retrouver sa libert� apr�s un mariage de plus de 15 ans, cela ouvrait tout un champ des possibles. Entre autres, baiser � tout va, exp�rimenter. Tout tester, tout go�ter, tout ressentir. Pourquoi pas? Enfin! Red�finir ses pr�f�rences en parfaite connaissance de cause. Parce que voyez-vous... on se demande toujours "au fond, c'est quoi une bonne baise"? A quoi peut-on reconna�tre � l'avance le sexe qui nous rendra heureux, l�ger, joyeux? Il y a s�rement une part d'intuition, une sorte d'alchimie... mais il y a surtout une part d'exp�rience... Giulia s�lectionnait soigneusement ses rencontres, et l'appli �tait formidable pour cela. Un �ventail de d�couvertes s'ouvrait devant elle. Tiens, un jeune homme qui n'avait pas encore 30 ans et se disait f�tichiste des pieds, mais pourquoi pas? Alors, elle eut envie d'en savoir plus. D'abord, ils ont �chang� des messages �crits, mignons, tendres, puis des messages audio plus os�s, et enfin ils ont d�cid� de se voir, juste pour boire un verre. Evidemment, avant cette rencontre, elle avait pris rdv dans son institut de beaut�, o� elle annon�a la couleur sans r�serves: "- Je veux des pieds parfaits. Un f�tichiste des pieds va les embrasser. Et donc aucun d�tail ne peut �tre laiss� au hasard." L'esth�ticienne fit alors un travail m�ticuleux. Lotion pour ramollir les peaux mortes. Gommage pour les enlever. P�dicure aux petits oignons, ongles rouge �carlate. Cr�me hydratante tonifiante, avec une pointe d'huile essentielle de menthe poivr�e, pour l'effet rafra�chissant, et ensuite, un massage doux pour faire p�n�trer le tout. En voyant le r�sultat � la fin, Giulia pensa: "- Magnifique, le monde entier sera � mes pieds." Ils avaient pris rdv un mardi soir... dans un bar � cocktails. Il n'y avait pas beaucoup de monde �videmment, alors ils se sont reconnus sans difficult�. Il �tait jeune, attirant, pas forc�ment certain de son charme, mais visiblement plut�t serein. Elle �tait souriante, curieuse, pr�te � le d�couvrir. D'abord, ils ont pris un verre, et la conversation �tait dr�le, int�ressante. Puis un deuxi�me verre, tiens! mais il en avait des choses � raconter. Elle riait aux �clats, il bandait de bonheur... En fait, il l'avait dit ainsi, de but en blanc, au plein milieu d'une histoire qu'il racontait: "- Giulia, j'adore vos �clats de rire, vous savez quoi? je bande pour vous." C'�tait franc-limite-impertinent, mais bien plus excitant que d'autres compliments qu'on avait pu lui faire. Sans trop r�fl�chir, sous la table, elle fit glisser son pied le long de sa jambe, puis elle le posa d�licatement sur son entrejambes, comme pour v�rifier. En effet, tr�s jolie �rection. Il rougit � peine, � moiti� surpris. Mais bon, vous connaissez le proverbe s�rement: "Erection avou�e, excitation redoubl�e." A son tour espi�gle, il glissa alors une main sous la table, pour toucher enfin ce pied intr�pide. Du bout des doigts, il le caressait. Lentement, en silence, les yeux riv�s dans les yeux de Giulia. Elle put voir clairement l'effet que cet attouchement lui faisait: le souffle semblait plus court, le regard �tait p�tillant, et ce bout de langue qu'il passait sur ses l�vres? Ah, il �tait sexy-craquant. Ils avaient pris place dans un coin du bar, loin de la porte d'entr�e, un peu � l'abri des regards indiscrets. Seul le barman, derri�re le bar sur�lev�, pouvait les voir. Elle prit alors sa voix velours, pour lui dire: "- Mais... descendez sous la table et embrassez mon pied, je voudrais d'abord un baisser pour chaque orteil, et ensuite... vous avez main libre, faites-vous plaisir. Si l'exp�rience me pla�t vraiment, vous aurez le droit de recommencer avec l'autre pied." Et soudainement, des braises dans son regard, et une sorte d'impatience muette dans son corps. Il se leva d'un bond, s'excusa un moment, alla au bar et passa une commande. Le barman avait l'air d'abord surpris, ensuite amus�, en tout cas, partant... Derri�re le comptoir, il commen�a � s'activer: bouteilles, shaker, ingr�dients qu'elle ne pouvait pas voir clairement. Enigmatique, tout cela! Puis, elle suivit le jeune homme du regard. Il lui fit signe qu'il allait passer au petit coin. Giulia fit "oui" de la t�te. Mais elle ne put s'emp�cher de se demander: - Allait-il se masturber aux toilettes? L'attente ne fut pas longue du tout, alors elle eut sa r�ponse. "- Probablement pas." Ce soir, elle avait mis ses sandales en velours noir, avec juste une boucle dor�e pour resserrer la languette autour de la cheville. Les talons n'�taient pas tr�s hauts, � peine 8 cm, mais ils �taient fins. Une simple barrette retenait le coup de pied, en laissant entrevoir les orteils, et la p�dicure rouge-�carlate. Dommage que sur les trottoirs en pav�s elle risquait constamment soit la cheville foul�e, soit les talons ruin�s. Il faut croire que les mecs qui font les trottoirs ils n'aiment pas vraiment les femmes qui portent des talons. Une fois revenu � leur table, le jeune homme se glissa directement en-dessous, sans autre explication. D'instinct, elle tendit l�g�rement le pied droit. Et � partir de l�... ce fut une symphonie de douceur, d'excitation et de plaisir. Ses mains habiles le caressaient, ses l�vres l'embrassaient, et son souffle chaud donnait des frissons. D�licatement, il d�fit la boucle dor�e. Le pied fit alors des ronds, pour d�tendre la cheville. Sans enlever la sandale, le jeune homme posa sa langue sur le coup de pied, puis il remonta vers la cheville, en l�chant le tout, sans h�te. Il �tait en train d'embrasser les orteils l'un apr�s l'autre, lorsque le barman arriva. Sur son plateau il y avait un cocktail... comment dire: � plusieurs �tages, � plusieurs couleurs dans le verre haut. Le pourtour du verre �tait en sucre ros�. Une tranche de pomme caram�lis�e �tait accroch�e au rebord. - Voici votre "Lapsus". - Oh, c'est joli, merci. Ensuite, le barman d�posa sous la table un verre rien qu'avec des gla�ons. Giulia fut soudainement amus�e. Mieux encore, terriblement intrigu�e. Curieuse et excit�e pour la suite. Sous la table, le jeune homme lui enleva enfin la sandale. Quand il recommen�a � lui l�cher la cheville, ses l�vres et sa langue �taient glac�es. Il avait pris un gla�on en bouche. Frissons garantis. Il promena sa bouche sur la mall�ole interne, qu'il su�ota tendrement. Il remonta le long de l'arche plantaire, pour arriver au gros orteil, qu'il prit enti�rement en bouche. Pendant que sa langue glac�e tournicotait autour de cet orteil, Giulia sentit le contact d'une main caressante, qui cachait dans la paume un autre gla�on. Et ce gla�on, lov� ainsi dans la main, se mit � voyager lentement: vo�te plantaire, talon, cheville, l'arri�re de son mollet, pour arriver dans le creux du genou, hmmm frissons... et continuer en douceur son ascension sur la peau fine de l'int�rieur de la cuisse. C'�tait froid et plaisant � la fois. Os� et d�goulinant. Le temps semblait s'allonger, comme un �lastique sous tension. Elle eut envie de frotter ses cuisses l'une contre l'autre. Avant que le gla�on n'arrive � bon port, il avait fondu presque enti�rement. La main �tait froide, la cuisse �tait chaude. Comme pour se r�chauffer, deux doigts glac�s os�rent effleurer son entre-jambe, et l�... ils furent surpris de l'accueil. Sous sa jupe, Giulia ne portait pas de culotte. Terriblement satisfaite de sa coquinerie, et assez curieuse de la t�te que pouvait faire le jeune homme sous la table, elle prit alors une gorg�e de son cocktail, ah, oui! il �tait bon! Aussi onctueux que son sexe d�culott�. Visiblement, pas le moins du monde d�courag�s, les doigts glac�s, fourr�s entre les grandes l�vres, �taient en train de fouiller ce refuge chaleureux. Le contact fouineur lui fit l'effet d'un feu d'artifice du 31 d�cembre. Elle �carta l�g�rement les genoux, comme pour dire "encore". La caresse fut relativement br�ve, mais experte. Giulia resta sur sa faim. Et elle aima l'id�e d'en vouloir plus. Ensuite, la main glac�e refit la chemin � l'envers, et chaque centim�tre de peau ainsi effleur�e se transformait en chair de poule qui ne trompait personne. C'�tait bon, tr�s bon m�me. Totalement d�tendue et rassur�e, Giulia confia son pied d�chauss� � ce chevalier d'un autre temps, agenouill� � ses pieds. Ce fut un massage tr�s �rotique, tr�s sensuel. Le jeune homme semblait conna�tre 1001 fa�ons de caresser la plante du pied. Par effleurement, par petites pressions, par l�ger massage en rond... Sa langue aimait s'enrouler et chatouiller les orteils. Il alternait entre le souffle chaud et la glissade froide d'un autre gla�on. Hmm, ce jeune homme �tait tr�s prometteur. Elle fit signe au barman: - L'addition, s'il vous pla�t!" Au mot "addition" le jeune homme arr�ta de l'embrasser, il remit rapidement la sandale en place, il referma d'une main s�re la boucle dor�, et quitta sa cachette pour venir s'asseoir en face d'elle. Il avait le regard d�sirant, intense. Quand le barman arriva, il paya rapidement l'addition. Et puis, il se retourna vers Giulia, en souriant. Giulia l'observait: il �tait � l'aise, pourtant il avait bien senti le regard appuy�, mais il se laissait faire, tel un chat qui se laisse caresser. Elle aimait cette fa�on qu'il avait d'affirmer sa virilit� l�, naturellement, de fa�on simple, sans gaucherie feinte et sans extravagance inutile. Un mec pr�t � perdre pied, par choix, par d�sir. S�duite, elle �clata de rire, quand il lui demanda enfin, d'un air presque myst�rieux: "- On va chez moi ou chez vous?" *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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