Episode 191: Giulia - podcast episode cover

Episode 191: Giulia

Sep 30, 202327 minEp. 191
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Episode description

"Ce samedi matin, elle était en retard pour son rendez-vous avec Gio. Il fallait la voir, belle, nue, bronzée, charnue, en train de courir dans tous les sens: à la salle de bain, pour faire couler son bain, à la cuisine pour lancer le café, puis au dressing pour choisir sa robe, et enfin à l'entrée pour chercher ses sandales... Gio était déjà en bas, et elle était encore toute nue, il lui fallait se décider, et vite... Pour finir, elle le fit monter, en lui criant: 2e étage gauche! Puis elle laissa la porte de l'appartement entrouverte, avant de courir à la salle de bain. Eh, bon... son bain était prêt, elle plongea dedans, en se disant, "je vais faire vite, très vite." Voix Supernova (https://www.deferlante.be/) créatrice, plume et voix du podcast érotique Déferlante.

Transcript

"Giulia" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur de plaisir. *** Giulia n'a pas encore 40 ans. Elle est grande, plut�t fine, brune. N�e en France de parents siciliens. Le symbole m�me de la femme italienne, belle � faire tourner des t�tes. A �riger des verges. Elle est � la fois intimidante, mais aussi terriblement f�minine. Avec une sorte de sensualit� qui suinte d'elle, mais qui peut aussi d�ferler en vagues. Le premier contact, c'�tait son parfum. Discret mais ent�tant. On avait l'impression de reconna�tre ses notes de t�te entrem�l�es. Pourtant, autant d'hommes qui avaient cach� leur nez dans son cou, et... autant d'avis diff�rents sur sa fragance. Bizarrement, elle rappelait aux hommes un �trange m�lange de leur "mamma" et de leur premi�re masturbation, empreinte d'excitation. Giulia ne faisait rien � moiti�. Quand elle �coutait, elle �coutait vraiment, quand elle regardait, elle le faisait intens�ment, elle avait une fa�on bien � elle de rire aux �clats et... au lit, elle �tait fra�che, naturelle, intuitive, d�sirante, pas le moins du monde pr�occup�e par l'id�e de plaire. Mais elle plaisait, c'est tout. On avait envie de la poss�der, de la faire sienne. De la garder tout pr�s de soi. De la prot�ger aussi. Elle �tait ce qu'on pourrait appeler une femme enti�re. Libre. D'aucuns diraient carr�e, en qu�te d'absolu. A ses 19 ans, elle �tait tomb�e �perdument amoureuse de son prof de philo, et deux ans apr�s, elle l'avait �pous�. Leur mariage durait depuis pr�s de 15 ans. Avec des hauts, avec des bas. Dieu merci, leurs nuits �taient absolument sublimes. Il avait pour habitude de lui r�citer des vers pendant qu'il la baisait. Il en �tait bleu, mordu, il l'avait dans la peau. Il adorait la regarder en pleine fellation, en train de le sucer, de le l�cher pendant qu'il lui expliquait telle ou telle id�e philosophique, juste avant de jouir abondamment dans sa bouche, en r�p�tant en boucle: "je jouis, donc je suis." Mais ils n'avaient pas eu d'enfant. Lui, il ne pouvait pas. Ils avaient cherch� � adopter, et la vie en avait d�cid� autrement. Giulia avait fait une croix sur son d�sir de maternit�. Elle aurait �t� sublime, enceinte. Mais voil�, elle �tait heureuse, elle �tait aim�e et elle aimait en retour, que demander de plus? Tout allait bien jusqu'� ce jour-l�... Quand elle avait voulu lancer une machine � linge. Et qu'elle avait trouv� b�tement dans la poche de la chemise blanche � fines rayures bleues ce petit mot manuscrit, avec des fleurs dessin�es et des coeurs, qui disait juste: "- J'ai envie de sucer ta grosse bite." On est d'accord, c'est assez vulgaire. Mais c'est aussi tr�s intime. Une sorte d'intimit� qu'elle ne partageait pas avec son homme. Ils avaient toujours eu des rapports passionn�s, intenses, philosophiques, intellectuels et charnels qui �taient, d'une certaine fa�on... toujours �l�gants, respectueux. Po�tiques. Pas vulgaires. Alors, elle se mit � r�p�ter, presque en transe: "j'ai envie de sucer ta grosse bite". Et � force de le r�p�ter encore et encore, elle se rendit compte d'une chose: ces mots la mettaient mal � l'aise. En �rection, son mari avait une bite plut�t grosse. Et oui, elle aimait le sucer. Pourtant, elle n'avait jamais envisag� de le lui dire ainsi: "j'ai envie de sucer ta grosse bite". Elle avait toujours formul� son d�sir autrement. Visiblement, elle avait eu tort. Le soir venu, le mot �tait pos� bien en vue sur la table � la cuisine. Pris par surprise, son mari avait d'abord b�tement ni�, pour ensuite reconna�tre que oui, bon, il sautait une �tudiante, et oui,bon, leur truc durait d�j� depuis 6 mois, et non non, non, ce n'�tait rien, vraiment rien d'important. Mais � vrai dire, si... il �tait peut-�tre un peu mordu, mais bon ce n'�tait que sexuel, et �videmment il n'avait pas du tout avec l'autre la m�me connexion qu'il avait avec elle, bla-bla-bla. Les trucs minables que les hommes racontent quand ils n'assument pas. Pendant une semaine enti�re, elle avait d� �couter ses monologues. et sa fa�on de s'emp�trer mollement dans des regrets, avant de lui dire calmement, mais froidement: " - Tu sais bien que c'est fini. Je le sais aussi. Parce que nous sommes civilis�s, on continue comme si de rien n'�tait. On meuble la conversation, on remplit le vide. Mais la v�rit� est que d�sormais, je ne te d�sire plus. La faute � personne. C'est ainsi." Et trois jours apr�s, Giulia avait trouv� un appartement, et elle avait d�m�nag�. Dans la foul�e, elle avait cr�� un profil sur un site de rencontres, et justement... elle avait commenc� � faire pas mal de rencontres. Th�o, un trentenaire beau comme un Dieu, mais totalement incertain de son charme, en proie � des doutes aussi �pais que son �rection. Au plein milieu de leur nuit ardente, il avait d�band�. Rien de bien grave en soi. Sauf que ce contre-temps avait pris des proportions. Il s'en voulait. Il s'excusait. Il en faisait trop. Le cunni qui s'en �tait suivi avait �t�... presque artificiel. Sur-jou�. Sur-l�ch�. Elle avait eu du mal � ressentir autant d'�motions qu'elle �tait suppos�e ressentir, au contact de la langue si enthousiaste de Th�o. Elle avait fini par simuler, pour avoir la paix. Pour y mettre fin, sans le blesser. Bref, la spirale les avait emport�s et �loign� l'un de l'autre. Et au petit matin, malgr� son envie dingue de le sucer, elle ne l'avait pas fait, � regrets. Il �tait reparti le regard triste, et le sourire de fa�ade. Elle avait aussi rencontr� Jean-Paul, m�me �ge qu'elle, sans enfants, mais tr�s d�sireux d'en avoir. Sa femme ne pouvait pas. Jean-Paul �tait marrant, il avait de la conversation, un petit c�t� bourru, mais il arrivait � la faire rire de bon coeur. Jean-Paul �tait dans le "faire": gagner beaucoup d'argent, voyager partout dans le monde, s'offrir des choses et des endroits sublimes, obtenir le meilleur service, partout o� il passait... Par contre, c'�tait une carpe, pour les sentiments. Au bout d'un moment, ils �taient partis en week-end ensemble, Jean-Paul la trouvait sublime � tout bout de champ, il bandait comme un �ne toutes les 5 minutes, mais il n'avait pas trop les mots pour exprimer son excitation. Il se foutait � poil en deux temps, trois mouvements, et il ne voulait la prendre qu'en levrette bien claqu�e, ce qu'elle aimait beaucoup par ailleurs, mais... au bout de quelque va et viens en elle, Jean-Paul avait d�j� joui avec moult r�les et des battements de coeur qui fr�laient l'apoplexie. Elle ravala ses soupirs d��us. Il s'�tait retir� d'elle, en lui tapant d'un coup une fess�e bien sonore, probablement tr�s content de lui-m�me. Ensuite, il s'�tait allong� sur le dos, au plein milieu du lit, jambes bien �cart�es, en lui faisant une place dans ses bras. Alors, elle s'�tait blottie tendrement contre lui, une jambe par-dessus sa cuisse poilue... pour l'entendre ronfler en quelque minutes � peine. Toujours �veill�e, Giulia se disait: "tiens, on dirait un petit tracteur." Et l�... soudainement hilare, elle avait pouff� de rire, et c'en �tait fini... de l'histoire avec Jean-Paul. Qui avait �t� adorable jusqu'au bout du week-end et qui semblait fort �mu, en la ramenant chez elle, lorsqu'elle lui avait dit gentiment : "- Merci pour ce merveilleux week-end". - Ah, mais je suis bien content que cela t'ait plu, on va le refaire. "- Euh, non, je ne crois pas, tu sais." - Mais pourquoi? "- Je ne sais pas trop, je veux plus moi, je cherche � vivre une histoire d'amour tellement forte, que j'en viendrais presque � oublier mon nom." - Ah mais �a n'existe que dans les films, tu sais, ma ch�rie! "- Peut-�tre, mais je suis pr�te � tenter ma chance." - Dans ce cas, nous deux �a va �tre compliqu�, car tu me sembles difficile � aimer. Sourire glac�, Giulia avait s�chement r�pondu: "- Je ne crois pas �tre difficile � aimer, non. Tu n'es pas libre, tu doutes de toi, tu ne te sens pas � la hauteur. C'est pour cela que nous deux �a va �tre compliqu�!" Elle s'�tait jur�e de ne plus jamais accepter des remarques du genre: tu es trop carr�e, trop difficile, trop radicale... de la part de ces gens incapables d'assumer qu'ils n'�taient pas en mesure de lui offrir ce dont elle avait envie. Non mais... Elle n'avait pas menti, le week-end avait �t� merveilleux, malgr� tout. Parce qu'elle avait pu comprendre une chose... La complicit� qu'elle avait eu avec son mari ne reviendra jamais. Il �tait grand temps de r�ellement tourner la page, et red�finir les petites et les grandes choses de la vie, qui allaient la rendre heureuse � nouveau. Ce samedi matin, elle �tait en retard pour son rendez-vous avec Gio. Son r�veil avait s�rement d� sonner, mais elle avait s�rement d� taper dessus, en se retournant de l'autre c�t� du lit, bien cach�e sous la couette. Pour finir, ce fut un rayon de soleil, qui dansait sur ses paupi�res, qui l'avait enfin r�veill�e. " - Cazo, je suis en retard, terriblement en retard." Il fallait la voir, belle, nue, bronz�e, charnue, en train de courir dans tous les sens: d'abord � la salle de bain, pour faire couler son bain, ensuite � la cuisine pour lancer le caf�, puis au dressing pour choisir sa robe, et enfin � l'entr�e pour chercher ses sandales, et de nouveau � la cuisine, pour �teindre le feu sous la cafeti�re qui sifflait. Elle releva ses cheveux et les attacha, avant de verser la caf� dans une tasse, en se disant, "je vais le boire dans mon bain, �a ira plus vite". Elle voulut le go�ter, mais se br�la un peu la langue, quand soudainement, on sonna! Gio �tait d�j� en bas, et elle, elle �tait encore toute nue, il lui fallait se d�cider, et vite... Pour finir, elle le fit monter, en lui criant: 2e �tage gauche! Puis elle laissa la porte de l'appartement entrouverte, avant de courir � la salle de bain. Euh, bon... son bain �tait pr�t, elle plongea dedans, en se disant, "je vais faire vite, tr�s vite" Elle attrapa le savon, fit sa toilette rapidement, r�ussit � perdre le savon dans son bain, � �clabousser partout � force de l'attraper, avant qu'il ne lui saute des mains � nouveau. Tout �a �tait comique! Pour finir, le savon atterrit sur le joli tapis � c�t� de la baignoire. Pas la peine de l'attraper, qu'il reste l�, il n'ira pas plus bas. Ensuite, elle cria joyeusement: "j'ai presque fini, j'arrive!" juste avant de se rincer. Enfin, elle sortit du bain. la fen�tre entrouverte laissa entrer un coup d'air, �videmment frissons et t�tons dress�s. Chair de poule. Rayons de soleil caressant les gouttes d'eau sur la peau mate. Elle sentait bon le pamplemousse. Avec le courant d'air, la porte de la salle de bain s'entrouvrit, imperceptiblement. Au milieu du salon, Gio ne put l'apercevoir que de dos. Bri�vement, avant qu'elle ne disparaisse dans une immense serviette, couleur lavande. Il en fut �bloui, presque. Il ferma les yeux. Elle avait un cul de d�esse. Il fut soudainement conscient de son �rection. Il �tait l�, sans bouger, droit comme un "I", bouquet de fleurs en main, avec l'image de ce cul divin estampill�e sur sa r�tine. Une image terriblement aguichante, et en m�me temps, innocente. Il aurait presque voulu �tre � m�me de "l'in-voir", tellement le d�sir le tendait, lui faisait mal. Quand elle fut enfin devant lui, belle, fra�che, cheveux relev�s, il savait qu'elle �tait compl�tement nue sous le kimono en soie. Les t�tons accrochaient son regard. Elle parla la premi�re: - Je suis terriblement en retard, tu as eu du mal � trouver? Il ne r�pondit pas de suite, la v�rit� est qu'il lui avait fallu du temps pour comprendre ce qu'elle disait... Il voyait ses l�vres roses bouger, mais son cerveau �tait incapable de les lire. De comprendre les mots. Et il pensait en boucle: - j'ai envie de me perdre en elle". Giulia le regarda mieux, � vrai dire Gio �tait beau. Limite ang�lique. Il semblait respirer avec peine, et soudainement elle lut le d�sir et la peine dans ses yeux. Elle fut s�re et certaine qu'il bandait sa vie. Il lui tendit enfin les fleurs qu'il lui avait apport�. Elle le remercia, en se disant: "Dieu merci, ce n'est pas un bouquet savamment compos�, juste des tulipes, comme je les aime" et en allant chercher le vase, le cordon de son kimono se d�fit. Ainsi rel�ch�e... la soie glissa ind�cente, en d�voilant le haut de ses cuisses et la naissance des seins �pais. De retour au salon, elle prit conscience qu'elle le d�sirait. L�, comme �a, sans autre artifice. Dans son bas ventre, Giulia ressentait comme une t�che d'huile chaude, qui grandissait d'elle-m�me, myst�rieusement, et qui et semblait sur le point de d�gouliner le long de ses cuisses. Faut croire que les deux d�sirs avaient trouv� leur terrain d'entente, silencieux, � peine d�voil� dans les regards. Gio s'approcha d'elle, il d�fit le chignon, et regarda ses cheveux sombres tomber sur les �paules. Ses yeux plant�s dans les siens, il caressa du bout des doigts, � peine... la rondeur des seins � travers le kimono en soie. Tout s'enchaina naturellement, une sorte de chor�graphie, jamais r�p�t�e, mais terriblement juste, naturelle. Le t-shirt de Gio vola � travers la pi�ce, f�line, Giulia lui glissa entre les bras, pour aller ouvrir un tiroir de la commode, et dans cette glissade ondul�e, le kimono resta accroch� dans les mains de Gio. Elle �tait parfaitement nue et belle. Elle alluma la musique, un air de jazz vaguement dansant. Quand elle revint vers lui, un pr�servatif en main, il ouvrait d�j� sa ceinture et les boutons de sa braguette, elle d�chirait l'emballage. Il chuchota: "donne-le moi, je l'enfile". Alors elle lui tourna le dos, et commen�a � chantonner dans le rythme et puis, elle se mit � onduler naturellement. Il vint se coller � elle, son �rection contre ses fesses, une main enroul�e serr�e � sa taille, et il se mit � lui embrasser la nuque. Elle sentait bon... une femme libre, heureuse. En quelque pas de danse, il l'amena pr�s de la table � manger. Et il la pencha, la voil�! coudes pos�s sur cette table. Il lui �carta les jambes, passa ses doigts contre sa vulve. Puis, il les porta � ses l�vres, pour la go�ter. Elle avait le visage presque coll� sur la table devant le vase, les fleurs. Dans son bas ventre, elle sentait que la t�che d'huile chaude grandissait encore. La verge silicon� et raide se frotta longuement � son arri�re-train, puis entre ses cuisses, avant de se glisser en elle, lentement. Etrangement, Giulia eut envie de se rebiffer. Elle ondula encore son cul royal, glissa une main en arri�re, pour empoigner la verge et lui montrer la voie � suivre. Etonn�, Gio ne put s'emp�cher de lui demander: "tu es s�re?" Elle eut ce m�lange d'�clat de rire ma�tris�, et de soupir provocant, dont elle avait le secret. Dans l'esprit de Gio, le tam-tam hypnotique r�p�tait en boucle: "- je vais me perdre en elle, je vais me perdre dans ce cul divin". Il y entra lentement, mais d'un seul coup, puis il attendit. Immobile. D'exp�rience, il savait que le cerveau oppose une r�sistance, question d'instinct. Une r�sistance primaire, basique, mais surmontable par la patience. Et en effet, au bout d'un moment, une fois l'appr�hension surmont�e, Giulia se remit � bouger doucement son derri�re. Un mouvement simple, primaire, basique: faire coulisser son cul le long de cette queue �paisse, pour lui voler du plaisir, de l'extase. Ah, et cette folle envie d'en �tre remplie... Gio la laissa faire un moment; juste pour prendre ses marques, sentir son �nergie, ses envies, ses limites. Puis, rassur�, il prit ses aises. D'abord, il empoigna tendrement mais fermement ses cheveux, qu'il tira en arri�re. La voil� si cambr�e. Rebelle un jour, rebelle toujours, Giulia chercha � s'en d�gager. Le jeu venait de commencer. De la s�duction � l'�tat pur. Il se retira d'elle, puis il la p�n�tra � nouveau d'un mouvement long et sec, comme pour lui rappeler: "le porteur de bite, c'est moi!" Tout en lui glissant � l'oreille: - Ton cul est divin. Et � ces mots simples, elle jouit. Fa�on salope. Je vous le raconte aussi simplement que c'est arriv�. Mais elle se mit presque � miauler, chatte en chaleur, si elle avait pu le faire, son cul aurait aspir� cet objet de plaisir, cette bite raide, cette chose ma�trisante, envahissante, remplissante. Et pour la toute premi�re fois de sa vie, elle eut envie de se laisser faire, de plonger la t�te la premi�re dans ce m�lange exquis de soumission rebelle, de plaisir brut, primaire, basique, sans vers d�clam�s, sans po�sies r�cit�es. Juste des r�les. Rauques. De plaisir. Elle accueillit, vague apr�s vague sa fa�on de l'enculer, en r�lant comme un animal affam�. Affam� de ce plaisir qui n'en finissait plus... de la remplir. Quand il e�t fini de la baiser, elle tremblait sur ses jambes, sa t�te tournait un peu. Gio avait la bouche s�che, et il se sentait litt�ralement vid�. Il avait joui en elle sans retenue, sans pudeur, � gros jets de sperme chaud. Pour l'en remplir. Il se retira d'elle, il enleva son pr�servatif. Visage pos� sur la table, Giulia tremblait encore comme une feuille, alors il l'attrapa de justesse, pour la soulever sans effort, et la d�poser sur le lit, dans la chambre � coucher, baign�e de soleil. Elle se roula en boule. Il ferma les rideaux et vint se coller contre elle. Pour la contenir dans ses bras, pour l'apaiser. Il la ber�a, comme on berce "un plus petit que soi". Bizarrement, malgr� l'�puisement, il eut follement envie d'elle � nouveau, lorsqu'elle lui glissa � l'oreille, en chuchotant: "- j'ai envie de sucer ta grosse bite". *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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