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Episode 185: Diana

Jul 23, 202320 minEp. 185
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Episode description

Je savais que deux rues plus loin, il y avait un "love hôtel". J'ai demandé une chambre pour l'après-midi. Une fois la porte refermé derrière nous, je l'ai juste laissé faire: il m'a baisée dans tous les sens, pendant plusieurs heures. D'abord, il m'a fait descendre à genoux devant lui, sûrement un fantasme inassouvi. Il l'a fait maladroitement, avec impatience, en appuyant ses mains sur mes épaules. Mon envie de le sucer et la gravité terrestre ont fait le reste.

Transcript

"Diana" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur de plaisir. *** Je n'aime que les gamins, et toi t'en es un. Tu as 25 ans et la frimousse espi�gle. Moi, j'en ai 55 et la fatigue qui va avec. Laisse-moi te dire que... je pr�f�re les relations tr�s simples: je te plais, tu me plais, on fait un bout de chemin ensemble. On sort le soir, on baise la nuit, et on se raconte nos secrets au petit matin. Je ne veux te gu�rir de rien, je ne suis pas ta m�re, et je n'ai certainement pas besoin que tu me sauves, oh non! Je veux juste qu'on soit deux �tres humains adultes, qui tiennent debout tout seuls, et qui se font l'amour. Tout simplement. Longuement, au-del� des convenances. Juste pour le plaisir. Pour la beaut� du geste. "Por el arte." Je te regarde, tu me suis des yeux d'un air l�g�rement ahuri, mais ton sourire est si confiant, trop confiant. A vrai dire, je suis un peu timide, l�g�rement incertaine. Depuis 10 ans, ma libido est en feu. Je n'aime que les jeunes, dans leur 20aine. Evidemment, tu n'es pas le premier. Et tu ne seras certainement pas le dernier. J'aime la d�sinvolture, le c�t� insouciant de ces gamins, qui veulent tout d�couvrir, tout essayer. Et si possible, tout faire, en une seule nuit. Ils ont le compliment maladroit, la s�duction courte sur pattes, mais... la verge tellement raide. Quand ils sont bien excit�s, la levrette claque sec. Ils jouissent � flots et � r�les. Avec une sorte de reconnaissance heureuse, au bout de leur queue fr�tillante. A la fin, quand ils ont tout donn�, ils vous regardent attendris, du coin de l'oeil. Ils n'ont pas les mots pour le dire, comme le ferait un 50naire blas�: "oh, j'ai beaucoup aim�, et toi?" Nah, ces jeunes... en moins de temps qu'il ne faut pour renfiler une petite culotte, ils sont d�j� pr�ts � vous baiser � nouveau. Et �a... �a en dit long sur leur d�sir. Toi, je te vois, je vois que tu bandes. Dur. Mon regard pos� sur toi fait que ta verge, belle et d�sirable au repos, est d�j� gonfl�e � bloc. Pr�te � conqu�rir mon monde. Mais moi, ce soir, j'ai envie de la mater, va savoir pourquoi. Les hormones, s�rement! Tu portes un boxer moulant sur ta queue �rig�e. Ton derri�re est ferme. Dans d'autres circonstances, je remplirais mes mains de tes fesses. Et ma bouche de ta verge. Je vais me g�ner, tiens! Mais ce soir, non, pas trop envie de sucer. J'ai surtout envie de sortir des sentiers battus. J'ai envie d'un d�fi, d'un jeu interdit qui pourrait r�v�ler une si belle queue, indomptable! Celle qui n'en fait qu'� sa t�te de gland parce qu'elle sait qu'elle a belle allure. Qu'elle est tellement velout�e, qu'on n'a qu'une envie... enfin la sucer. Je me suis souvent pos� la question: "qui faut-il choisir entre un gamin de 20 ans et un 50naire"? La jeunesse ou l'exp�rience? Le jeune te soup�se du regard, tu l'entends litt�ralement saliver. Si tu lui dis "l�che-moi" d'un air un peu autoritaire, il le fera comme s'il devait recopier 100x "j'aime la chatte". Bien pench� sur l'ouvrage, et la langue bien tir�e. Aucun d�tail ne sera laiss� au hasard, pour finir, ta chatte prendra feu, c'est � devenir dingue. Parce que tu vois... c'est pas ta chatte qu'il l�che, mais son �go. Et tu peux �tre s�re et certaine que ce sera tr�s bien fait. Alors que le 50naire... certes, t'auras droit aux �gards pr�liminaires, � un petit lustre d'�go avec des mots savamment choisis, mais une fois � poil, il attendra que tu le toises, que tu l'admires. Il travaille dur � la salle, alors il aimerait t'entendre saliver. Et c'est toi qui devra le l�cher de fa�on appliqu�e, la langue bien tir�e, pour lustrer son �go � ton tour et faire durcir... sa queue. Quand j'�tais plus jeune, je ne savais pas que j'avais du sex-appeal. Je m'en doutais... mais vaguement, en bonne m�re de famille. Aussi, je m'en foutais, royalement. J'avais d'autres priorit�s. Et puis un jour, j'ai rencontr� un gamin de 23 ans, � la boulangerie, b�tement. J'en avais 45, et j'�tais presque amn�sique du plaisir. Ce plaisir, qui n'�tait plus qu'un souvenir lointain. Tapi dans le brouillard d'avant la maternit�. Et ce gamin, il avait quitt� la boulangerie sans rien acheter il m'avait suivie dans la rue, il avait pris son courage � deux mains, pour s'approcher et me dire, � coeur perdu: "- Vous �tes si belle! Pardon." J'ai litt�ralement inond� ma culotte, l� debout sur le trottoir, sans pr�m�ditation. Et cette d�ferlante chaude, visqueuse m'avait surprise. J'ai eu envie, sur le champ, de glisser ma main dans ma culotte, pour v�rifier que je ne r�vais pas. Comme je connaissais bien le quartier, j'ai souri et je l'ai pris par la main: "- Viens!" Confiant, il s'est laiss� faire. J'aurais jur� qu'il bandait sa vie, tellement il m'avait l'air �lectrique. Je savais que deux rues plus loin, il y avait un "love h�tel", j'ai demand� une chambre pour l'apr�s-midi. Une fois la porte referm� derri�re nous, je l'ai juste laiss� faire: et il m'a bais�e dans tous les sens, pendant plusieurs heures. D'abord, il m'a fait descendre � genoux devant lui, s�rement un fantasme inassouvi. Il l'a fait grossi�rement, maladroitement, avec impatience, en appuyant ses mains sur mes �paules. Mon envie de le sucer et la gravit� terrestre ont fait le reste. Je me souviens de ma bouche � hauteur de son entre-jambes. Il a d�fait sa ceinture, ses doigts... je les voyais, ils �taient impatients, et j'entends encore le bruit des boutons de son jeans, d�faits l'un apr�s l'autre. Il a sorti sa queue, qui m'avait paru immense. Mon visage �tait si pr�s, que je crois bien avoir louch�. Il �tait raide comme un piquet. Son gland �tait rose et gros. Lisse comme une p�che. D'une main, il tenait fermement sa queue dress�e, de l'autre, il avait empoign� mes cheveux. Et il s'est gliss� au fond de ma gorge d'un coup, en conqu�rant, comme pour me dire: "- Vas-y, suce!" Alors je l'ai suc�. D'une fa�on nouvelle pour moi, comme je ne l'avais jamais fait auparavant. Au d�but, ma r�ticence semblait l'exciter encore plus. Moi, je cherchais des rep�res. Sucer une queue inconnue n'est pas une mince affaire. Surtout quand on n'a plus l'habitude. Il se branlait si vite dans ma bouche, je l'entendais siffler comme un boeuf, il aimait s'enfoncer, me remplir. D�border. Moi, j'�touffais presque, j'en suis venue � esp�rer son foutre enfin et la d�livrance. Qui se faisaient attendre. Par � coups, il me laissait du r�pit, il reculait sans jamais vraiment me lib�rer. Puis, il revenait au fond de ma gorge, aussi, au bout d'un moment c'est devenu un jeu: le chat et la souris. J'avais mal aux m�choires, alors j'ai d�cid� d'en finir. Je l'ai tellement pomp�, l�ch� et aspir�, qu'il vacillait sur ses jambes, et � la fin, c'est moi qui �tais � genoux, la bouche enfoutr�e, mais c'�tait lui qui tremblait comme une feuille. J'ai aim� ce pouvoir-l�. Quand il avait gicl�, j'avais aim� son regard � la fois apais� et encore affam�. Je me suis relev�e, j'ai essuy� ma bouche, je l'ai pouss� sur le lit. Puis, je me suis d�shabill�e. Lentement. Je voulais qu'il voie mon corps, tel qu'il est. Sans pouvoir le toucher, sauf du regard. J'ai camp� devant lui, jambes �cart�es, d�goulinante, et je lui ai juste ordonn� de me l�cher. J'ai dit: "- Fais-moi jouir!" Et il l'a fait, il a tout donn�, longuement, sans rel�che. Il avait tellement besoin de me faire jouir. Son �go voulait s'envelopper dans une sorte de cape dor�e. J'ai aim� mettre ma main sur le haut de sa t�te, et lui �craser ma chatte contre ses l�vres. Sans lui laisser de r�pit. J'ai pris mon temps, avant de laisser la vague de plaisir me submerger et me faire rouler comme un coquillage. Quand j'ai coul� enfin, il a tout l�ch�, tout aval�. J'avais le sentiment de flotter sur une eau sal�e, �paisse. J'�tais l�g�re, j'�tais bien. Ensuite je me suis �chou�e �puis�e sur le lit. Je crois m�me que j'ai failli m'assoupir, le temps semblait jouer de l'accord�on. Entre-temps, dans mon dos, il s'�tait d�v�tu, et il est venu s'allonger derri�re moi. Bien raide, � nouveau. Il avait d�j� enfil� un pr�servatif. Il m'a juste gliss� � l'oreille: "- Je pr�f�re votre cul." Je n'ai pas protest�, je n'ai rien dit, je n'ai rien fait. Sauf tendre mes fesses vers sa verge silicon�e. A peine. Il s'est emboit� en moi en douceur, mais fermement, comme un propri�taire. Comme pour affirmer: "- Ce cul m'appartient." Son va-et-vient m'a berc�e. Au bout d'un moment, je me suis trouv�e aplatie sur le ventre. Il �tait allong� sur moi, en appui sur ses bras, et il me remplissait, et j'aimais sa cadence. J'avais quitt� ma t�te, je me vautrais dans le plaisir. J'ai commenc� � g�mir, parce que c'�tait si bon. Alors, il s'est arr�t� net, et sans se retirer enti�rement de mon derri�re, il a juste soulev� mon bassin, il a gliss� ses genoux entre les miens, pour bien les �carter; et ensuite, il s'est cal� dedans enti�rement, avec un r�le de son cru. Et il a pris son pied, � entrer en moi, ainsi, offerte en levrette. A chacune de ses but�es, ma joue frottait contre le drap de lit. je me sentais fluide, mall�able, remplissable. Mes contours devenaient flous, et mes entrailles aimaient se faire labourer. Quand il fut tout pr�s d'�jaculer, il s'est pench� sur moi, pour me dire � l'oreille: "- Je vais jouir." Je me suis raidie, mon bassin attendait, il guettait la d�livrance. En quelque coups de rein, il se vida. Non sans g�mir: "putain ce que t'es bonne!" Oui, il s'est excus� ensuite, avec un regard de Chat Pott�. Il a demand� aussi qu'on se revoie. Mais avant de le quitter, j'aurais pari� qu'il avait envie de recommencer l�, de suite. Je suis rentr�e chez moi, comme une fleur, avec la baguette, la tarte � la rhubarbe et les pistolets. Mon mari faisait les devoirs avec les enfants, moi, j'ai fait � manger, et nous avons d�n� en famille. Pendant le repas, j'ai pris conscience d'une chose: tant que je me ferai baiser par des jeunes de 20 ans, aucun risque de perdre la t�te. Ni ma famille. C'est ainsi que tout a commenc�, il y a 10 ans. Mais l�, ce soir, je te regarde toi... Pourquoi je raconte tout �a? Tu ne dis rien, tu me jettes des coups d'oeil � la sauvette et je me demande ce que je vais bien pouvoir faire de toi... Pr�cis�ment. Je prends mon temps, car tu n'iras nulle part. Ce soir, tu m'appartiens, tu es � ma disposition. Tes poignets sont attach�s au lit, tu sembles aimer ce jeu. Tu bandes bien ferme, privil�ge de la 20aine insouciante. Tu sais, des verges impertinentes, j'en ai rencontr� quelques unes. En 10 ans, j'ai eu le temps d'affiner mon instinct. Le premier indice, c'est le regard. D�fiant, mais serein. Un peu comme le tien. Je glisse ma main entre tes cuisses, que tu �cartes l�g�rement. Tu soul�ves ton bassin, je fais glisser ton boxer, lentement, je le descends sur tes chevilles. Je poursuis mon �lan explorateur, je soul�ve une � une tes couilles, j'aime les faire glisser dans ma main. Je caresse ton p�rin�e, tu frissonnes. J'ai comme une envie de trifouiller ton cul, mais tu as un l�ger mouvement de recul. Oh, tu n'es pas encore pr�t? rien ne presse. Je prends ta verge en main, je la soup�se, je palpe son �paisseur, je l'astique, avant de l'habiller d'un pr�servatif. Regarde, elle est si belle! Luisante. Puis, je la soul�ve un peu et je viens m'empaler dessus, dans une glissade ma�tris�e, qui n'en finit plus de glisser. Je prends appui sur ton torse. Et j'entends le sifflement de l'air qui sort de ta poitrine. Ton souffle est court quand ta queue dispara�t enti�rement en moi. *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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