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Episode 181: Son cadeau d'anniversaire

Jun 25, 202337 minEp. 181
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Episode description

Ses jambes qui dépassent de son peignoir blanc sont luisantes, fraîchement épilées, les ongles de ses pieds soigneusement vernis d’un rouge écarlate. D'ordinaire, je ne suis pas particulièrement fétichiste. Elle avance son pied droit sur la pointe pour mieux me le faire admirer, sa voûte se cambre, je veux le prendre dans mes mains. "- C’est vrai qu’elle a bien travaillé..." fit-elle d’une moue satisfaite. C’est alors que j’aperçois un détail qui m’avait échappé de prime abord...

Transcript

"Le cadeau d'anniversaire" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur de plaisir... L'�pisode de ce soir est aussi coquin qu'il est sp�cial. Ce r�cit attendait son heure, sagement, depuis un an. J'y pensais r�guli�rement. Je le relisais, mais je savais que le moment n'�tait pas encore venu. Ce soir, si! C'est enfin le bon moment. J'esp�re que vous prendrez autant de plaisir � l'�couter, que j'en ai pris moi, � vous le raconter. Je voudrais souhaiter un magnifique anniversaire � celui qui a sp�cialement imagin� ce r�cit, pour D�ferlante. Il se reconna�tra. Il rougira, peut-�tre m�me qu'il bandera. Si vous voulez conna�tre la suite de cette histoire... vous savez ce qu'il vous reste � faire: d'abord, vous mettez plein d'�toiles au podcast l� o� vous l'�coutez, et ensuite, vous laissez un commentaire pour lui demander en coeur: -" Ah, mais c'�tait trop trop trop bien, on veut la suite, on veut la suite!" Il n'aura pas le choix, attendri, il l'�crira... pour vous et pour moi. Bon, allons-y pour ce nouvel �pisode. *** Il est 19h20, je m�appr�te � frapper � la porte de cette chambre d�h�tel luxueux, et mon c�ur s�affole. Aujourd�hui j�ai 40 ans et j�ai beau prendre mes airs d�tach�s, faire comme si cela ne me touchait pas, comme si ce n��tait qu�un chiffre sans aucune importance, en fait, je le ressens. Je ressens cette urgence du temps qui court devant moi. Il ne reviendra jamais, il poursuivra sa course effr�n�e, aussi in�luctablement qu�un astre autour de son soleil, jusqu�� l�implosion de l�univers. Moi, je peux me retourner en arri�re. Moi, je peux voir. Voir tout ce que j�ai fait: la somme de toutes ces petites choses, ces choix minuscules, ces pas insignifiants qui m�ont amen� � �tre l�... aujourd'hui, devant cette porte. Mais je peux voir surtout tout ce que je n�ai pas fait. Et l�angoisse du temps qui passe n�est rien d�autre que l�urgence de ce qui n�a pas �t�, et ne le sera probablement plus. Elle avait pris soin de me poser la question, quelques semaines auparavant, de ce que je voulais pour mon anniversaire, et, comme elle me connaissais bien, surtout de ce que je ne voulais pas. Comme chaque ann�e, j�avais pris mon air renfrogn� pour lui r�pondre que je n�avais besoin de rien, que pour moi c��tait un jour comme les autres, que si elle voulait organiser quelque chose, elle le pouvait �videmment, mais que �a serait davantage pour son plaisir � elle que pour le mien. Souffler des bougies, ouvrir des cadeaux, �tre le centre d�attention, ce n�est PAS mon truc. D�ordinaire, cette r�ponse la faisait r�ler, nous nous disputions m�me parfois car elle se vexait. Cette ann�e, �trangement, elle avait simplement souri d�un air myst�rieux � ok, comme tu veux �. Ce matin, elle �tait partie t�t. En sortant de la douche, j�avais simplement trouv� sur le lit une petite bo�te, et un mot: "Ce soir, je te veux � 19h30 pr�cises devant la porte de la chambre de cet h�tel que j�ai r�serv�e en ton nom. Tu trouveras le nom au dos. N�oublie pas ta carte bleue. Je te veux habill� �l�gamment mais pas trop, ni basket, ni costume. Je veux que tu prennes la bo�te avec toi, mais je t�interdis de l�ouvrir. A ce soir." J�admets que le ton, inhabituellement froid, de ce message m�avait surpris et participait probablement � ce l�ger sentiment d�appr�hension qui m�avait �treint toute la journ�e. Je n�avais cess� d�y penser, au gr� des r�unions et autres appels t�l�phoniques qui avaient rythm� ma journ�e. Quelques mois auparavant... (ou �tait-ce quelques ann�es? fichu temps qui passe!) nous avions piment� nos �bats amoureux par ces petits jeux de r�les, coquins mais finalement bien innocents, de soumission � l�autre. Et sa fa�on d��tre directive me rappelait un peu ces moments-l�. Elle savait que j�avais aim� ces petits sc�narios, ses initiatives� �tait-ce cela qu�elle avait en t�te? Pour mon anniversaire? Je ne me rappelle plus pourquoi ces jeux s��taient arr�t�s. Le temps s�rement, la routine, la fatigue� Quand je compare ce que nous avions �t� au lit � ce que nous sommes devenus aujourd�hui� pfff. Enfin ce que nous sommes devenus� soyons objectifs, ce que JE suis devenu. Dans le temps, j��tais fougueux et passionn�. Un jour sans lui faire l�amour �tait un jour de perdu. Son corps �tait une source intarissable de d�couvertes et d��merveillement. Mais maintenant� Maintenant, je la connais sur le bout des doigts, je sais ce qu�elle aime, et comment elle l�aime. C�est pratique quand on est fatigu�, c�est confortable. Il suffit de� et hop le tour est jou�, un gros dodo et � la semaine prochaine... Fichu temps qui passe� je ne sais m�me pas pourquoi on continue de le faire. Je lui ai dit d�ailleurs, une fois quand on se disputait: "- Et si c�est si nul de faire l�amour avec moi, pourquoi tu continues? Trouve toi un amant, avec lui tu seras satisfaite". Bref... j'esp�re que �a n�est pas une soir�e de sexe volcanique qu�elle a voulu m�organiser, parce que je me connais, elle va visiter l�Auvergne. Enfin... peut �tre pas, quand m�me. Apr�s tout, l�h�tel est quand m�me tr�s classe, il s�agirait de faire honneur. Et puis l�id�e de croiser demain matin les regards fatigu�s et r�probateurs apr�s une nuit sans sommeil de tout ces vieux coinc�s que j�ai crois� en bas dans le hall d'entr�e c'est une id�e plut�t amusante� Elle est quand m�me sexy ma femme. On pourrait dire que je suis le bel escort-boy, que sa riche cliente aurait choisi sur catalogue, pour une nuit de d�bauche, apr�s avoir command� du champagne. C��tait quand la derni�re fois que je n�en ai pas bu directement � la source? Il y'a au moins une chose qui n�a pas chang� avec le temps, la cyprine reste le seul ingr�dient capable d�am�liorer le champagne. Hmmm oui... l�id�e me plait, je commence m�me � bander. La soir�e n�est pas si mal partie en fait. Finalement, c�est �a la vie, il faut toujours la regarder du bon c�t�. �videmment, je n�ai pas ouvert la bo�te. J�aurais bien �t� incapable de refermer � l�identique le papier sobre qui l�entourait. Elle le savait probablement, c��tait calcul� de sa part, elle me conna�t trop bien. Evidemment que si j�avais pu le faire sans �tre pris, ma curiosit� aurait �t� la plus forte. Je l�avais secou�e pour voir si �a pouvait me mettre sur la piste mais non. Tout ce que j�ai pu en d�duire c�est qu�il y avait quelque chose dedans. Bien jou� "Captain obvious"! Je frappe � la porte. Je suis un petit peu en avance, mais bon, je ne vais pas rester plant� la. J�entends le bruit sourd des pas qui se rapprochent, la porte s�entre-ouvre. "- Qu�est ce que tu fais l�?" Je ne vois que son visage qui se dessine a contrejour, et son �paule droite nue, sur laquelle roulent encore quelques goutes au creux de sa clavicule, mais la duret� de son ton me prend au d�pourvu. Je balbutie, surpris. Sans m�me me laisser le temps d�articuler quelque chose d�audible, elle encha�ne: "- J�avais dit 19h30, il est 19h30?" - Ben� non mais� - Si je dis 19h30, c�est 19h30, pas avant, et surtout pas apr�s. Donne moi cette bo�te!" �berlu�, je m�ex�cute. - Maintenant mets toi � genoux. - Ici? Mais, non mais� - J�ai dit � genoux! Tu vas attendre ici que je vienne te chercher, �a va peut �tre t�apprendre � ob�ir. - Mais non, mais il y'a des gens, je ne peux pas... Elle ouvre la porte compl�tement pour se mettre face � moi, ses yeux dans les miens. Elle est nue � part une culotte, elle sent la cr�me fra�chement �tal�e, et cet aplomb lui donne une autorit� irr�sistible. "- N�aggrave pas ton cas. Je t�ai dit � genoux, tu te mets � genoux." Sans plus r�fl�chir, je m�agenouille devant elle. Mes yeux sont maintenant � la hauteur de son nombril, et la perle qui s�y trouve me lance un �clat de lumi�re au moment o� elle me tourne le dos, juste avant que la porte ne se referme devant mon visage. Le moelleux de la moquette du couloir vide me fournit tout de m�me une once de confort dans une situation pour le moins embarrassante. J��coute Les �chos de la vie autour de moi: claquements de porte, �clats de voix, des pas qui r�sonnent ci et l�. Je me cherche � peine perdue une justification au cas o� quelqu�un m�apercevrait, et une raison qui pourrait para�tre logique. J�ai fait tomber ma carte et je la cherche? On voudra m�aider� Je me repose 5 min, avant de reprendre ma route? L�absurdit� me fait sourire. Je pourrais aussi simplement me redresser rapidement, mais elle pourrait ouvrir juste � ce moment l�, et l'interpr�ter comme de la r�bellion. Elle avait l�air si d�termin�e, je ne crois pas que �a soit LE soir � se rebeller. Je suis un peu plus au clair sur ce qu�elle pr�voit pour moi ce soir. Visiblement, je suis l� pour ob�ir, et les petits papillons qui s�agitent dans mon ventre m�obligent � reconna�tre que �a me pla�t. Au moins maintenant je sais pourquoi mon c�ur bat si fort. J�entends le bruit m�tallique de la porte de l�ascenseur qui s�ouvre derri�re l�angle du couloir, et des voix, un rire franc de femme, leurs pas qui se rapprochent, mon c�ur s�emballe... Le cliquetis de la serrure �lectronique d�une porte, ouf je peux respirer� Mais je me demande ce qu�elle fait dans cette chambre. Je guette le son de ses pas qui viendraient me lib�rer de cette attente. C�est paradoxal d�ailleurs, je suis bien plus libre ici qu�� l�int�rieur. Je pourrais simplement me lever et partir, me lever et frapper � la porte, je pourrais tout faire... mais non, je ne bouge pas. Je pr�f�re attendre qu�elle vienne me chercher, me prendre et qu�elle m�emporte, qu�elle me capture d�finitivement dans son monde. Je suis librement prisonnier de ma femme, de ma curiosit�, de mes vices. Me voil� perdu dans mes r�flexions lorsque la porte s�ouvre. Le courant d�air me renvoie des effluves sucr�s de soins de peau. Ses jambes qui d�passent de son peignoir blanc sont luisantes, fra�chement �pil�es, les ongles de ses pieds soigneusement vernis d�un rouge �carlate. D'ordinaire, je ne suis pas particuli�rement f�tichiste, sauf dans ces p�riodes de soumission. Elle le sait, c�est un message de plus. Elle s�est mise en sc�ne pour que mon attention soit attir�e dessus "oui, j�ai pris mon apr�m pour m�occuper de moi." Sa voix �tait plus douce, son ton plus espi�gle: - Ils te plaisent comme �a, n�est ce pas? j�entends son sourire provocateur qui me toise, mais je n�ose pas lever les yeux. Je fixe ses pieds et je suis irr�sistiblement attir�. Je voudrais les embrasser, les caresser, et je me sens bander en les imaginant s�approcher de mon entrejambe. J�arrive un souffler un: � oui, ils me plaisent �. Taquine, elle fait bouger ses orteils � Oui�? � Je me force � reprendre un peu de contenance: � - Oui, ils me plaisent � je r�p�te plus durement. � - Oui... qui? � � - Oui Madame, ils me plaisent terriblement �. Elle avance son pied droit sur la pointe pour mieux me le faire admirer, sa vo�te se cambre, je veux le prendre dans mes mains. "- C�est vrai qu�elle a bien travaill�..." fit elle d�une moue satisfaite. C�est alors que j�aper�ois un d�tail qui m�avait �chapp� de prime abord. Derri�re ses jambes, suite au mouvement de son pied, un fin trait de cuir s�est mis � balancer doucement, la boucle qui le termine fr�le les boucles de la moquette. "- Je sais ce que tu regardes maintenant... tu la veux ?" � oui Madame �, "- Tu la veux vraiment?" � oui Madame, s�il vous pla�t �. Je suis maintenant tellement fascin� et obnubil� que j�en oublie le monde ext�rieur, je veux ce collier, je veux cette laisse, il faut que je lui appartienne, plus rien d'autre ne compte. Un rayon de lumi�re vient traverser le corridor plong� dans la p�nombre, illuminant d�un trait ses pieds, quand une porte s�entre-ouvre. Des voix �touff�es r�sonnent vaguement dans le brouillard de mon esprit, et Sa voix, claire, unique, "- Prouve-moi que tu la veux, embrasse mes pieds, demande la." Je me prosterne. A genoux, les deux mains en appui sur le sol, je la v�n�re. Je pose sur la peau claire de son pied, juste sous la cheville, l�g�rement sur le c�t�, un premier baiser, l�ger. Je sens sur mes fesses le tapotement du bout de la laisse qu�elle laisse pendre "- Remonte ces petites fesses, cambre-toi , tu peux faire mieux que �a." J��carte un peu plus les genoux, je recule le bassin, je creuse mes reins. "- Mmm c�est mieux comme �a, tends bien ce petit cul." J�embrasse maintenant ses pieds avec une tendre passion, des chevilles aux orteils, du droit au gauche. Le rayon de lumi�re s�est �largi et �claire la sc�ne, mon visage, ma d�votion "- S�il vous pla�t Madame, je r�ve de ce collier, je vous en supplie, passez le moi." Je suis en transe, � bout de souffle, animal. Je tends mes fesses comme une chatte en chaleur qui essaye d�attirer les caresses, je vibre. En tournant la t�te pour l�cher le c�t� de son pied, je les aper�ois, comme fig�s dans l�embrasure de leur porte, maintenant grande ouverte. Ils doivent avoir une trentaine d�ann�es, un jeune couple, �l�gants, pomponn�s pour sortir. Ils nous regardent, elle debout, � peine v�tue, moi� je lis la stup�faction dans leurs yeux Je reprends bri�vement ma lucidit� en imaginant leur �tonnement devant ce spectacle. Je me redresse, je ne sais plus quoi faire, dois-je me relever, faire comme si de rien n��tait? � - Reste concentr�! � Elle me rappelle � l�ordre, se r�approprie mon attention. Je la regarde, et la vie reprend son cours. Le couple referme la porte, j�entends leurs chuchotements amus�s, leurs rires, mais surtout, je le vois lui... ce collier qui s�approche de moi, ses mains qui viennent contourner la t�te, je sens la douceur du cuir sur la peau, j'entends le tintement des boucles. Et le couple, ils passent dans le couloir. Je tourne la t�te instinctivement pour les regarder, lui regarde ailleurs, visage ferm�, alors qu�il me semble lire un amusement complice quand son regard � elle croise celui de Madame. Madame se rapproche et colle ma t�te sur son ventre en leur lan�ant un � bonne soir�e � jovial. "- Merci, � vous aussi!" r�pondit-elle en pouffant. Je n�ai pas honte, au contraire, je me sens encore plus soumis, comme si leur regard, le fait que cela soit public l�gitimait la domination. Tout au plus, je peux me dire qu�ils n�avaient pas envie d�assister aux jeux sexuels des autres, mais qu�importe, ils s�en remettront. Ca leur fera peut-�tre un sujet de discussion � table. Et si j�ai bien interpr�t� le regard de la jeune femme, peut-�tre m�me un sujet de discussion au lit. Nous sommes maintenant dans la chambre. Elle m�a enfin fait entrer et je suis toujours � genoux, au pied du lit, � l�endroit qu�elle a d�sign� comme MA place. Je tiens dans ma bouche la poign�e de la laisse qu�elle m�a donn� � mordre "pour ne pas qu�elle se salisse au sol." Je la distingue dans le reflet de la fen�tre, elle est de dos. Son peignoir glisse de ses �paules, comme dans une publicit� pour du gel douche. Je vois sa nuque, son dos, le creux de ses reins, ses fesses. Elle passe dans la salle de bain. J�en profite pour visiter la chambre du regard: elle est cossue, moderne, avec un grand lit drap� de blanc. Pas vraiment de charme, mais le luxe moderne. Deux paires de talon hauts tra�nent au sol, une noire vernie, une marron ouverte � lani�re, le jean de ce matin sur la chaise. La valise est grande ouverte sur le lit, mais trop haute pour que je puisse voir ce qu�elle contient. � Viens ici �, elle m�appelle. Je r�fr�ne le r�flexe de me lever et je la rejoins � quatre pattes. Elle se maquille, pench�e en avant sur la pointe des pieds, le bassin en appui contre le lavabo pour �tre au plus pr�s du miroir. � Debout, enl�ve le bas � Je d�fais mes lacets avant de me lever. Je l�aper�ois qui me guette du coin de l��il. Je d�boucle ma ceinture je fais glisser mon pantalon, dans un mouvement que j�essaye sensuel. � J�appr�cie l�effort mais je ne t�ai pas demand� un striptease � dit-elle en souriant, occup�e � lisser ses cils. � Et j�ai dit tout le bas �. Je termine penaud d�enlever chaussures, pantalon et cale�on, et je me trouve donc nu, debout, simplement v�tu de ma chemise dont le bas s��carte l�g�rement pour laisser passer ma verge repos�e mais gonfl�e d�envie. � Qu�est ce que tu penses de mon cul comme �a? Tu ne te verrais pas t'approcher, me pencher un peu plus comme �a, m��carter les jambes comme �a (elle mime le tout en m�me temps), passer tes doigts entre les l�vres pour voir si je mouille assez pour que ta queue coulisse bien? Peut �tre m�me comme �a � et elle pose un genoux sur le lavabo, je vois maintenant parfaitement sa vulve, ses l�vres, ses fesses, son petit trou�. � Oui, je vois que �a te pla�t� � Elle se retourne et se rapproche, attrape ma queue band�e en me regardant dans les yeux, et la branle lentement en la serrant juste un peu trop fort. �- Oui je vois que �a te pla�t, que tu la planterait bien, ton �rection dans ma petite chatte� mais ce soir, je ME fais plaisir � dit-elle myst�rieusement, en me l�chant et retournant vers le miroir. Je reste p�trifi�, � demi-nu, la queue palpitante dress�e entre les deux pans de ma chemise, toujours la laisse entre les dents, j�ai la bouche s�che et l�esprit dans un grand 8. Je voudrais me saisir de cette impudente-l�, contre ce lavabo, lui montrer � quel point j�en ai envie. D'abord, l�empoignade par les hanches, les ramener vers moi, la maintenir d�une main par les cheveux et lui mettre ma queue. Oui, bien profond, d�un coup, faire claquer mon bassin sur ses fesses et lui arracher des cris de plaisir, la sentir d�gouliner sur ma hampe, le long de mes couilles. Et puis jouir, me lib�rer, cracher en elle, bien au fond, la sentir trembler sous l�orgasme que je lui aurai arrach� de toute ma fougue viri� � - Je sais � quoi tu penses mais �a n�arrivera pas. Va trouver la bo�te que tu as apport�e et attend moi au pied du lit, j�arrive � dit-elle en v�rifiant la perfection des traits de ses yeux. Elle a lu dans mes pens�es et elle m�a remis � ma place. Je m�ex�cute, f�brilement. La bo�te est sur la table, je la prends avant de retourner m�agenouiller � ma place. Elle sort de la salle de bain, elle a renfil� son peignoir. � Tu peux poser la bo�te sur le lit, et t�asseoir sur la chaise de bureau, tu peux prendre la laisse dans ta main, �a te soulagera. Comment s�est pass� ta journ�e de boulot? Ton dossier avec l�assurance, �a avance? � Je suis compl�tement d�sar�onn� par sa soudaine sollicitude et sa question. Mais comment peut-elle me parler boulot comme si nous �tions un soir comme les autres � la maison alors qu�une pinc�e de minutes auparavant, je ne me rappelais m�me pas que j�en avais un moi, de travail... Autant me jeter une bassine d�eau froide � la figure! Je recolle les morceaux de mon cerveau, je reprends les choses dans l�ordre, j'organise mes id�es � Oui �a avance, j�ai eu l�expert cet apr�m, le dossier suit son cours. Normalement on devrait pouvoir organiser une r�union � Paris dans quelques jours, j�attends la confirmation du client pour une date � � Ah, mais tu sais que le 8 tu ne peux pas � � Oui oui, je sais. Par contre j�ai pass� la matin�e en r�union sur l��volution du syst�me informatique, � un moment j�ai cru m�me que je piquais une sieste, je d�teste ces r�unions, pourquoi il faut toujours qu�ils fassent des PowerPoint de 3h qui reprennent syst�matiquement les 17 r�unions pr�c�dentes, alors que la seule nouveaut� de celle-ci prendrait � tout casser... 10 minutes?� Elle avait pris la bo�te et l�avait d�ball�e pendant qu�elle me faisait parler boulot, elle se tient maintenant devant moi. � Parfait, tu es pr�t maintenant � dit elle, en se mettant � genoux devant moi, la bo�te ouverte pos�e devant la chaise, de sorte que je ne puisse toujours pas voir ce qu�elle contient. Avant que je n�aie le temps de comprendre, elle avait �cart� mes cuisses, fait coul� un liquide ti�de sur mon p�nis redevenu compl�tement flaccide, et l�avait gliss� dans un fourreau m�tallique simplement fendu verticalement au bout. Tout en maintenant le fourreau en place, elle avait soulev� mes testicules, fait passer rapidement un anneau articul� comme une menotte dessous, qu�elle avait referm� au dessus de ma verge dans l�encoche du fourreau pr�vue � cet effet. Et le clic du cadenas me fait revenir � la r�alit�: je suis encag�. � - �a c�est � moi � dit-elle avec un grand sourire, � et tes �rections aussi. Enfin si tu en as� tu aimes mon cadeau? � � - Oui Madame � Je sens d�j� que ma verge essaye de se trouver de la place, et qu'elle commence � forcer sans pouvoir se redresser, contrainte par la forme incurv�e du fourreau. � - Je savais que te faire parler boulot �a serait le plus efficace, je n�ai pas de temps � perdre, mon planning est charg�. Au moins c�est officiel pour tous les deux que ca, ca ne m�est d�aucune utilit�, puisque de toute fa�on tu t�en sers mal �. Elle se rel�ve, et se dirige vers sa valise. Elle en sort une robe noire. La jolie robe l�g�re que je lui avais offerte il y a quelque temps. Elle me plaisait dans la vitrine, avec son long d�collet�, ses manches courtes, sa longueur qui d�collaient ses jambes jusqu�au cuisses tout en restant portable � toutes occasions, et ce tissu si l�ger qu�on penserait qu�un simple petit coup de vent r�v�lerait monts et merveilles. Elle l�enfile. La robe lui va comme si elle avait �t� cousue sur elle. - Elle me va bien n�est-ce pas? J�attendais la bonne occasion pour la porter. Tu aimes? Je suis suffisamment sexy comme �a? � - Terriblement jolie �. Je la regarde h�siter entre deux paires de bas elle en enfile un � chaque jambe pour comparer. "- A ton avis, des bas noirs ou chair?" � - Noirs � mon avis, Madame � - Mouais� je sais que tu n�aimes pas les bas chair de toute fa�on. Noir avec la robe, �a fait trop sombre, et puis il fait trop chaud pour des bas, j�en profiterai mieux sans. Apr�s tout, j�ai pas souffert sous la cire chaude pour ne pas les montrer, mes jambes (sourire). Elle se rapproche de moi, pose la pointe de son pied sur ma cage. Ma queue se regonfle instantan�ment sous la pression, alors que je fixe sa jambe devant moi. Elle me scrute amus�e: � - Tu r�ves? Que se passe t�il � � - Pardon Madame � �- Enl�ve ce bas, je n�en porterai pas � j�avance mes mains, je les pose sur la toile � la fois douce et rugueuse du nylon, je remonte le mollet, derri�re le genoux, je m�aventure sur la cuisse. Sous mes doigts, le tissu fait un l�ger bruit, j�arrive au liser�, je poursuis l�g�rement mon exploration sur la peau tendre du haut de la cuisse, je la sens fr�mir, et se reprendre s�chement en appuyant son pied, qui prend en �tau mes boules entre la chaise et le m�tal, je g�mis � - Reste � ta place �. Je roule doucement le bas sur sa jambe, je descends jusqu�au pied, qu�elle soul�ve, et puis, elle change de jambe. Je r�p�te l�op�ration sur la seconde jambe, pr�cautionneusement, toujours sous la menace de sa pointe, fermement pos�e sur mon intimit� prisonni�re. Je bande, du mieux que je peux, mais je bande. Des flots de sang traversent ma queue comprim�e, et je la sens battre au rythme de mon c�ur alors qu�elle joue ing�nument avec le cadenas de la pointe de ses pieds. Elle se retourne. � - Referme ma fermeture �clair �. Le zip remonte le long de son dos. Je pense que je peux peut-�tre encore retourner la situation. Avec quelque baisers bien places dans le dos, sur la nuque, dans le creux du cou, si je la prends contre moi, elle se laissera s�rement aller, elle aura autant envie d��tre prise que moi, j'ai envie de la prendre, on pourra ensuite aller l� o� elle a pr�vu qu�on aille, au resto peut �tre... Je la regarde s��loigner dans un mouvement souple des hanches, j�ai laiss� passer ma chance. Elle choisit dans la valise une culotte noire qu�elle enfile en remontant sa robe avec ce joli mouvement du bassin que les femmes connaissent, et qui nous rend... mais dingues! Puis elle revient vers moi, et s�assoit � califourchon sur mes cuisses. Elle m�embrasse. � - J�aime beaucoup te voir comme �a, �a me plait � Elle se fait chatte, panth�re, elle ronronne dans mes oreilles. � Quand j�imagine ce qu�il va se passer ce soir, �a me� hmmm � En m�me temps qu�elle parle, ses mains passent sur mon torse, descendent le long de mon ventre, sa main droite trouve la cage et la fait soupirer d�aise. De la main gauche, elle prend la cha�ne de la laisse, l��carte vers mon dos, en tirant bien pour me faire pencher la t�te en arri�re, et vient alors poser des baisers enflamm�s dans mon cou, entre le collier et ma clavicule, tout en caressant ma bourse gonfl�e de l�autre main. Ma queue me fait mal, je voudrais qu�elle s�empale, je voudrais qu�elle monte et descende, quelle coule sur mon bas-ventre et que nous jouissions ensemble. Elle rel�che la cha�ne et entreprend de d�boutonner ma chemise, en g�missant doucement de gourmandise au creux de mon oreille. Son bassin ondule contre mon ventre, je sais qu�elle se masse le clito sur moi. J�essaye de me redescendre de quelque millim�tres sur la chaise pour lui donner plus de surface, je voudrais lui empoigner les fesses pour la coller toujours plus � moi, mais ses hanches me sont interdites et tirent l�g�rement sur la cage dans leur mouvement arri�re. La chemise compl�tement ouverte, elle joue de la pointe de ses doigts sur les t�tons, d�j� durs et dresses. La sensation est incroyable de douceur tant ils sont sensibles. Elle se rel�ve et me toise � - On dirait que �a te pla�t aussi. La cage semble un peu petite maintenant. Tu as envie de me baiser, hein? �a fait longtemps� � Elle attrape mes t�tons entre ses doigts et les pince. Fort, de plus en plus fort. � - Dis le moi, tu as envie hein, tu veux me baiser! � � - Oui Madame, j�ai envie, je veux vous baiser � - J�ai envie d��tre bais�e ce soir. Envie d��tre bais�e � fond, comme une chienne en chaleur, tu le sais? - Non Madame, je ne le savais pas � - Maintenant tu le sais. Et toi, tu veux me baiser? Mais comment vas-tu me baiser comme �a? Tu ne sers � rien, tu ne peux m�me pas bander. Alors dis moi, comment je vais jouir? - Je ne sais pas, Madame. - Moi je sais, et tu le sauras bien assez t�t... *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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