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Episode 177: Le Dominant

May 28, 20239 minEp. 177
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Episode description

"Elle sait que j'en baise plein d'autres. Que j'aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fessées qui claquent, en leur disant des mots crus et sales à l'oreille." Texte original par Supernova (https://www.deferlante.be/) créatrice, plume et voix du podcast érotique Déferlante. Voix masculine: Seb Koneko (https://www.inkitt.com/konekoseb) Special Guest: Seb Koneko.

Transcript

"Le Dominant" (avec la voix de Seb Koneko) Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir. L'�pisode de ce soir est une grande premi�re. En vue de f�ter les 3 ans de D�ferlante ... et tiens! d'ailleurs, j'esp�re que vous allez participer au concours anniversaire, allez voir, il est encore ouvert sur le site du podcast. ... Je disais?... ah oui! Donc, pour les 3 ans du podcast D�ferlante, j'avais organis� un casting voix masculine. Et j'avais re�u... oh-la-la! de tr�s belles voix, mais il m'a fallu faire un choix. Et j'ai choisi la voix de Seb Koneko, �crivain d�butant, dont les travaux en cours se trouvent sur Inkitt et dont les livres sont d�j� publi�s sur Kobo et Kindle. Seb �crit des nouvelles �rotiques, mais aussi d'autres genres litt�raires. Ce soir, il met en voix un r�cit totalement D�ferlante. J'aime beaucoup son timbre "d�tach� - enveloppant", joli contraste! Attendu de la part d'un... Dominant. Allons-y, pour ce nouvel �pisode. *** Je suis l'homme qui ne couche pas avec elle. mais je dors dans son lit � volont�. En Ma�tre. Je suis l'homme qui la regarde parfois baiser, confortablement assis dans mon fauteuil, un verre de scotch pos� sur la petite table d'� c�t�. Je suis l'homme qui attend d'elle qu'elle jouisse, bien fort. Qu'elle se perde corps et �me dans une vague de plaisir, qu'elle s'y enroule et s'oublie dedans. Et quand c'est fini, je suis l'homme qui la ram�ne au rivage. Qui la soul�ve dans ses bras, pour la d�poser dans son bain. Je retrousse les manches de ma chemise, calmement. J'enl�ve ma montre, que je d�pose sur l'�tag�re en verre. J'attrape le gel douche, que je fais couler sur l'�ponge. Je fais mousser avec un peu d'eau. Je suis celui qui passe lentement l'�ponge dans son cou, entre ses seins, sur son ventre, entre ses cuisses, le long de ses jambes, des chevilles jusqu'aux orteils. Je suis celui qui recueille des soubresauts encore, comme des r�pliques d'orgasme � r�p�tition, � retardement. Celui qui caresse ses seins avec l'�ponge, en s'�tonnant de leur rondeur glissante, et qui souffle doucement sur ses t�tons encore pointus et sensibles. A fleur de peau. Elle se laisse faire, sans protester. Toujours. Je passe mes doigts entre ses l�vres, j'effleure � peine, je reste � distance, en surface. Mais elle vient s'y coller, elle vient s'y frotter, sa chatte qu�mande que je la remplisse. Que j'aille chercher dans les tr�fonds. Je ne le fais pas. J'aime son d�sir intact. Des fois, elle prend une grande bouff�e d'air et se laisse glisser dans le bain, la t�te sous l'eau, les yeux ouverts. Depuis sa relative profondeur, elle me regarde. Je vois l'une ou l'autre bulle d'air sortir de ses narines. Ses jambes cal�es sur le rebord de la baignoire, les mains pos�es � plat, sur son ventre, ou sur ses seins. Sa chatte offerte au regard me veut. Elle me nargue, elle m'aguiche. Mais moi, je ne la prends jamais. Je suis celui qui la pr�pare pour l'offrir aux autres et, surtout, � elle-m�me, � son plaisir. Quand je fais mine de m'�loigner de la baignoire, paniqu�e, elle ressort de l'eau. Elle �clabousse partout, elle attrape ma main, et la remets tout contre sa peau douce. Sur son coeur. Sous le sein lourd, je compte en silence les battements. Forts, rapides, elle est essouffl�e apr�s l'apn�e. Je la regarde droit dans les yeux. Le premier qui cligne des yeux... a per....du. Elle d�tourne le regard. Elle est fatigu�e. De d�sir. Je prends l'immense serviette de bain, chaude et moelleuse. Je l'avais soigneusement pos�e sur le radiateur. Je l'aide � se mettre debout sans glisser, je la regarde frissonner, les bras le long du corps. Elle a la chair de poule, j'ai envie de caresser ses t�tons frip�s. Au lieu de cela, je d�ploie l'immense serviette et je l'enveloppe dedans, je la prot�ge, je la r�chauffe. Je la soul�ve dans mes bras, emmaillot�e comme un gros b�b�, pour aller la d�poser sur le lit. A chaque fois, son premier r�flexe est de se retourner sur le c�t�, de se mettre en boule. Et de pousser joliment son cul en arri�re. Comme pour l'offrir. J'aime la courbe vertigineuse de sa croupe alanguie. Ses cheveux mouill�s s'�parpillent sur l'oreiller. Je me d�shabille, je m'allonge derri�re elle. Mon bras l'enlace tendrement. Elle se blottit. Je lui glisse � l'oreille: "- J'ai tellement envie de toi." Elle tressaille � peine. De joie, d'espoir, de surprise? Vais-je enfin la prendre? Depuis toutes ces ann�es, qu'elle esp�re, qu'elle m'attend, qu'elle me d�sire. Comme toujours, ma main trouve facilement son chemin. J'�carte doucement la serviette et je caresse son sexe mouill�. Mes doigts rebroussent ses poils, tondus � ras et drus, pour chercher ensuite les recoins plus chauds et lisses. J'aime me perdre dedans, tel un hamster ahuri par sa roue. Au bout d'un moment, sa vulve devient doucement huileuse, invitante. Ma verge pousse doucement sa raideur contre sa croupe, je me frotte contre la serviette encore ti�de. C'est doux. Moelleux. Je suis bien ainsi, submerg� de d�sir. Je n'ai pas besoin de plus. Ce mouvement de bascule, ce bercement des corps emboit�s mais s�par�s par la serviette, est tout ce que je souhaite. Mes doigts caressent inlassablement son clitoris, elle g�mit de fa�on sourde, la t�te cach�e dans l'oreiller. Je fais glisser vers le haut, vers le bas, je fais des ronds, dans le sens des aiguilles d'une montre, puis dans l'autre sens, je pince � peine, je tapote doucement. J'�tire cette peau fine, j'appuie sur le bouton de chair saillante, j'effleure en surface. Ma main s'�loigne une seconde ou deux. Son cul recule davantage vers moi, comme pour se faire prendre. J'attends un peu, et je recommence mon exploration. Ainsi, au bout d'un moment, elle devient f�brile. ses cuisses s'entrouvrent d'elles-m�mes. Elle d�gouline, elle est chaude. "- J'ai tellement envie de toi", me dit-elle. Alanguie dans sa fatigue, drap�e dans son d�sir, je la croch�te encore, juste en surface, sans la p�n�trer. Moi, je n'ai pas besoin de plus. Juste la sentir couler sous mes doigts, l'entendre soupirer, g�mir de sa voix rauque, dans la sourdine de l'oreiller. Et me dire que je serai toujours l�, apr�s l'avoir admir�e jouir sous les coups de rein d'un autre, pour la prendre dans mes bras, la ramener, lui donner le bain, la faire jouir � ma fa�on, avant de la donner � nouveau � un autre... qui la fera jouir encore, parfois sous mes yeux, pour me la rendre ensuite, alanguie dans sa fatigue et drap�e dans son orgasme. C'est notre plus beau pas de deux, cette �trange danse du d�sir. Inassouvi. Entier. C'est le tango de notre amour. Elle sait que j'en baise plein d'autres, que j'aime les prendre en levrette soumise, une main ferme dans leurs nuques, et que je leur donne des fess�es qui claquent, en leur disant des mots crus et sales � l'oreille. Elle sait que je p�n�tre des bouches gourmandes, que je les remplis de ce qu'elle n'aura jamais. Pour me vider ensuite dans des culs ronds et �troits, que j'aime empoigner des deux mains, pour mieux les poss�der, jusqu'� la garde. Elle sait qu'il y a peu de chances que je la prenne ainsi. Et pourtant, elle d�sire. Encore et toujours. *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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