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Episode 174: Leurs rendez-vous secrets

Apr 16, 202318 minEp. 174
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Pour ces rendez-vous indécents, elle n'aimait pas porter de culotte. Porter un bustier, un harnais, un porte-jarretelles, un plug... tout ce que vous voulez, mais pas de culotte! Rien que l'idée que son sexe ou son cul soient disponibles d'emblée, ça la faisait mouiller abondamment.

Transcript

"Leurs rendez-vous secrets" Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir. L'�pisode de ce soir est la version longue d'un des 5 mini-r�cits de ma performance live sur la sc�ne de PodRennes, le formidable festival du podcast, en France, l� o� j'ai �t� invit�e le week-end pass�. Mais ce soir, nous voil� revenus � un format "D�ferlante pure", une fiction �rotique comme vous les aimez, et dont j'ai le secret. Dans cet �pisode, une tradition revient: j'ai gliss� plusieurs mots-oblig�s, sugg�r�s par des auditeurs. Alors, je tiens � remercier, dans le d�sordre: Laurent V, Alexandre, O A, Seb et Markl pour... les frissons cr�atifs qui pars�ment cette histoire. Allons-y pour ce nouvel �pisode. *** C'�tait un mercredi d�but d'apr�s-midi, et comme tous les mercredis apr�s-midi, ils avaient rendez-vous dans cette chambre d'h�tel, en cachette. Un de ces h�tels discrets, qui ne paient pas de mine depuis l'ext�rieur. On y vient juste pour baiser. Pour un 5 � 7, comme on dit. Ils se connaissaient depuis des ann�es, ils �taient mari�s, ils avaient des amis en commun, mais ces rendez-vous baiseurs avaient commenc� depuis quelque mois seulement. Ils �taient discrets: toujours la m�me chambre, toujours le m�me rituel. Elle arrivait la premi�re, car son bureau �tait tout pr�s, elle venait � pied. Elle �tait belle, impatiente, excit�e comme une puce. Le temps de se changer, d'enlever sa jupe/chemisier tr�s "comme il faut", et d'enfiler langoureusement les dessous satin�s. Pour ces rendez-vous ind�cents, elle n'aimait pas porter de culotte. Porter un bustier, un harnais, un porte-jarretelles, un plug... tout ce que vous voulez, mais pas de culotte. Rien que l'id�e que son sexe ou son cul soient disponibles d'embl�e, �a la faisait mouiller abondamment. Aucune envie qu'elle ressemble � ces femmes dont le sexe �tait devenu une forteresse inexpugnable. Parfois, en ajustant ses froufrous, elle passait aussi ses doigts contre sa chatte, pour les faire glisser dans la moiteur lubrifi�e et pour sentir sous ses doigts cet onguent � l'odeur musqu�e. Un jour... il venait d'arriver, il �tait tout juste devant la porte, il n'avait m�me pas fait deux pas dans la chambre, qu'elle s'�tait plant�e devant lui, haut perch�e, nue comme un ver la main droite entre les cuisses. Elle s'�tait caress�e longuement, en le d�fiant du regard. Il l'avait sagement admir�e. Puis, la main gauche avait fait un petit signe coquin: "viens ici". Il s'�tait approch� un peu plus. Elle avait dit doucement, presque en chuchotant: "- Ouvre la bouche". Puis, les doigts tremp�s de ses fluides, �taient venus se glisser dans sa bouche. Il les avait longuement suc�s, l�ch�s. Avant de la renverser fi�vreusement sur le lit, pour lui d�vorer la chatte � sati�t�. "Tr�s joli souvenir" pensa-t-elle, en enfilant les jolis bas couleur chair aux bords en dentelle noire. et les escarpins diamant�s. Et surtout, ne pas oublier le rouge � l�vres �carlate. En s'admirant devant le miroir, elle se trouvait un air... lubrique, du plus bel effet. Elle �tait belle � faire bander un c�nobite. Son cul blanc contrastait bien avec le rouge des l�vres. C'est lui, qui lui avait offert ce rouge mystique. Un Saint Laurent, dont la couleur s'appelait officiellement "jeu d'attraction". Ca le rendait litt�ralement raide-dingue, si elle embrassait sa verge, en y laissant des traces rouges, ou... si elle prenait son gland zinzolin dans sa bouche. Il aimait la regarder faire et il frissonnait quand il la voyait gober enti�rement le gland et le faire dispara�tre entre ses l�vres joliment soulign�es. Une copine lui avait dit: "- Non, mais c'est un tel clich�! Une d�n�gation de la f�minit� presque!" "- Oui, oui, ma ch�rie, s�rement" avait-elle r�pondu en riant. Sauf que lui... il en redemandait chaque fois. Ses l�vres �carlates le menaient par le bout de sa verge. Oh, le ping de la messagerie... vite, vite! C'est fou, comme chaque semaine, chaque mercredi apr�s-midi, invariablement, apr�s avoir laiss� sa voiture dans le petit parking en bas de la rue, une sorte d'impatience le gagnait. La rue �tait assez escarp�e, il arrivait en haut, toujours vaguement essouffl�. L� d�j�, il envoyait son message: "Je suis au coin de la rue, je serai l� dans deux minutes." Et ces deux minutes de marche, il les faisait durer. Il aimait l'imaginer, belle, d�sirante, avec une nouvelle tenue sexy � souhait, et cette bouche, mon Dieu! Cette bouche si rouge! Elle �tait tellement dou�e pour les pipes. Tout simplement, elle aimait vraiment le sucer. Ce qui revenait au m�me. Alors, comment l'attendra-t-elle aujourd'hui? Une fois, il l'avait trouv�e d�goulinante, en levrette sur le lit, un joli plug pos� bien en �vidence sur le matelas. Quand il s'�tait approch�, elle avait juste dit: "remplis-moi". Et il avait pris plaisir � le faire. D'abord, le plug et ensuite sa verge. Une autre fois, elle �tait allong�e, alanguie sur le dos, les genoux relev�s, entr'ouverts, en train de se toucher paresseusement. Il pouvait voir sa vulve luisante, ses grandes l�vres gonfl�es, avec une peau plus sombre, enti�rement lisse. L�cher tous les recoins, encore et encore, avant qu'elle ne lui ordonne de sortir sa verge dure, car elle voulait la voir. Il s'�tait remis debout l�, devant elle. Il avait enlev� son polo, sa ceinture, il avait juste d�boutonn� son jeans, abaiss� son boxer pour lui donner � voir l'objet de sa convoitise. Elle avait litt�ralement bondi, f�line, elle l'avait repouss� pour le faire reculer et pour l'asseoir dans le fauteuil. Et sans attendre, elle vint s'empaler sur lui, les jambes bien �cart�es, pos�es sur les accoudoirs. Elle se soulevait � la force des bras, en frottant ses seins contre son torse. Il aimait sentir ses t�tons durs sur sa peau. Il avait envie de les pincer, fort... Mais ses mains �taient d�j� pleines de son cul rond et lourd. Assise sur lui, son bassin avait un mouvement de bascule. Elle cambrait le dos � outrance, elle cherchait le frottement du gland contre un endroit bien pr�cis de son vagin. Quand elle eut trouv� enfin le bon angle, elle l'astiqua ainsi, avec un r�le sourd dans la voix. On aurait dit une fauvette en train de zinzinuler. Dans ses jouissances, elle avait un c�t� tellement ind�cent. Sans oublier le jour o� il l'avait trouv�e � quatre pattes, par terre, juste devant la porte, avec une laisse d�pos�e sur le plancher, � ses pieds. Elle portait un harnais en cuir noir, assez sophistiqu�, qui lui serrait le contour des seins, pour les faire ressortir encore plus. Le bas du harnais esquissait juste le contour d'une culotte l�g�rement trop petite. Et le derri�re, ainsi encercl�, semblait encore plus rond. Comme d'habitude, tout �tait enfilable imm�diatement, � port�e de doigts, de verge ou de langue. Pour la premi�re fois, il eut envie de lui donner des fess�es. Ce cul d�nud� semblait les demander. Alors, il avait ramass� la laisse, pour l'accrocher � l'encoche pr�vue dans la nuque. Puis, il l'avait promen�e jusqu'au lit. Ainsi, � 4 pattes. L�, il lui avait demand� de monter sur le lit et de se placer � 4 pattes toujours, face � lui. "- Ouvre la bouche et attends." Et l�, il avait pris son temps, pour se d�v�tir. Pour bander dur, il se masturba m�me un peu devant elle. Elle attendait la bouche toujours ouverte, et son regard alternait entre la verge raide et ses yeux � lui. Peut-�tre pensait-elle qu'il allait �jaculer sur son visage? C'est l� qu'il eut l'id�e du rouge � l�vres. Il approcha enfin sa verge de son visage, il tira un peu sur la laisse, avant d'ajouter: "- Suce!" Et elle s'empressa de le prendre en bouche. Debout, face � elle, il l'admirait en train de le sucer. C'�tait... satisfaisant � regarder. Puis il admira son dos, sa cambrure et l'arrondi de son cul si blanc. Et l'envie de la fess�e revint, cette fois plus forte. Il attendit patiemment, qu'elle prenne un moment de r�pit, pour l�cher ses bourses, alors il se pencha en avant pour lui coller une claque sur le derri�re. Le bruit ou la morsure de la claque la firent sursauter. Elle leva le regard vers lui et... il attendit la suite. Pour finir, elle chuchota: "- Encore". Et le jeu se mit en place tout seul, comme du papier � musique. Si elle voulait encore une fess�e, alors sa bouche s'enroulait serr�e autour de son �rection. Et elle pompait avec entrain un long moment. Puis, elle attendait sa r�compense sagement. Alors, il tirait sur la laisse pour qu'elle l�ve la t�te et le regarde droit dans les yeux, avant de se pencher l�g�rement en avant, pour lui donner une fess�e bien sonore sur ses fesses d�j� rougies. Et � la longue, elle avait joui ainsi: �puis�e par la pipe interminable, et excit�e de plus en plus fort par les fess�es mordantes. Quand il vit du coin de l'oeil les gouttes couler sur l'int�rieur de sa cuisse, il lui demanda de descendre du lit, se retourner dos � lui, se pencher en avant, bras bien tendus contre le bord du lit. Il lui �carta grossi�rement les jambes, avant de la doigter. Elle �tait m�re, chaude et l�g�rement odorante. Il aimait renifler et l�cher sur ses doigts son excitation. Ensuite, il l'enfourna debout, dru, par derri�re, en tirant parfois sur la laisse. Quand il eut fini de se vider en elle avec un r�le, il prit une belle photo de son cul marqu�. Mais l�... il passa devant la r�ception, il esquissa vaguement un bonjour press�, puis il prit les escaliers. Nombre de fois o� il avait failli sauter les marches deux par deux, mais il se disciplinait � ne pas le faire. Dans l'enthousiasme, il l'avait fait au tout premier rendez-vous et c'est vrai qu'il �tait arriv� tout essouffl�, un peu ridicule peut-�tre? Elle l'avait gentiment repouss� dans le couloir, en ironisant: "- Mais quelle entr�e magistrale!" Le genre d'antiphrase qui fout un peu la honte. "- Non, non, non... tu refais ton entr�e, et mieux que �a!" Evidemment, elle avait bien raison. Il vaut mieux soigner son entr�e. Enfin devant la porte, il prit d'abord 3 grandes respirations. Calmement. Puis, il fit glisser la carte contre la serrure. Il entra dans la chambre, �moustill�, tr�s curieux de la surprise. Mais o� �tait-elle? Tiens, elle �tait introuvable, elle n'�tait nulle part. Ni dans la chambre, ni dans la salle de bain. Une sorte de panique commen�ait � poindre. En cherchant bien, il finit par trouver le petit mot que... sa femme avait griffonn� sur un bout de papier, laiss� sur la table de nuit. "Ch�ri, Etienne a encore mordu la petite Elsa. Je vais vite le chercher � l'�cole, mais ne t'inqui�te pas je me suis arrang�e, je le d�pose en vitesse chez la nounou et j'arrive, mon amour. Attends-moi tout nu, �rig�... caresse-toi, fais-toi plaisir parce que moi, quand je reviendrai, je meurs d'envie de te sucer." L�g�rement d��u, il remis le petit mot sur la table de nuit, et il vit enfin, juste du coin de l'oeil, la culotte nonchalamment pos�e sur l'oreiller. Il s'en empara et il prit plaisir � la renifler. *** Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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