"Leurs rendez-vous secrets"
Vous �coutez D�ferlante, podcast provocateur... de plaisir.
L'�pisode de ce soir est la version longue d'un des 5 mini-r�cits
de ma performance live sur la sc�ne de PodRennes,
le formidable festival du podcast, en France,
l� o� j'ai �t� invit�e le week-end pass�.
Mais ce soir, nous voil� revenus � un format "D�ferlante pure",
une fiction �rotique comme vous les aimez, et dont j'ai le secret.
Dans cet �pisode, une tradition revient:
j'ai gliss� plusieurs mots-oblig�s, sugg�r�s par des auditeurs.
Alors, je tiens � remercier, dans le d�sordre:
Laurent V, Alexandre, O A, Seb et Markl pour...
les frissons cr�atifs qui pars�ment cette histoire.
Allons-y pour ce nouvel �pisode.
***
C'�tait un mercredi d�but d'apr�s-midi,
et comme tous les mercredis apr�s-midi,
ils avaient rendez-vous dans cette chambre d'h�tel, en cachette.
Un de ces h�tels discrets, qui ne paient pas de mine depuis l'ext�rieur.
On y vient juste pour baiser. Pour un 5 � 7, comme on dit.
Ils se connaissaient depuis des ann�es, ils �taient mari�s,
ils avaient des amis en commun,
mais ces rendez-vous baiseurs avaient commenc�
depuis quelque mois seulement.
Ils �taient discrets: toujours la m�me chambre, toujours le m�me rituel.
Elle arrivait la premi�re, car son bureau �tait tout pr�s, elle venait � pied.
Elle �tait belle, impatiente, excit�e comme une puce.
Le temps de se changer, d'enlever sa jupe/chemisier tr�s "comme il faut",
et d'enfiler langoureusement les dessous satin�s.
Pour ces rendez-vous ind�cents, elle n'aimait pas porter de culotte.
Porter un bustier, un harnais, un porte-jarretelles, un plug...
tout ce que vous voulez, mais pas de culotte.
Rien que l'id�e que son sexe ou son cul soient disponibles d'embl�e,
�a la faisait mouiller abondamment.
Aucune envie qu'elle ressemble � ces femmes dont le sexe
�tait devenu une forteresse inexpugnable.
Parfois, en ajustant ses froufrous, elle passait aussi ses doigts contre sa chatte,
pour les faire glisser dans la moiteur lubrifi�e et
pour sentir sous ses doigts cet onguent � l'odeur musqu�e.
Un jour... il venait d'arriver, il �tait tout juste devant la porte,
il n'avait m�me pas fait deux pas dans la chambre,
qu'elle s'�tait plant�e devant lui, haut perch�e, nue comme un ver
la main droite entre les cuisses.
Elle s'�tait caress�e longuement, en le d�fiant du regard.
Il l'avait sagement admir�e.
Puis, la main gauche avait fait un petit signe coquin: "viens ici".
Il s'�tait approch� un peu plus.
Elle avait dit doucement, presque en chuchotant:
"- Ouvre la bouche".
Puis, les doigts tremp�s de ses fluides, �taient venus se glisser dans sa bouche.
Il les avait longuement suc�s, l�ch�s.
Avant de la renverser fi�vreusement sur le lit, pour lui d�vorer la chatte � sati�t�.
"Tr�s joli souvenir" pensa-t-elle, en enfilant
les jolis bas couleur chair aux bords en dentelle noire.
et les escarpins diamant�s.
Et surtout, ne pas oublier le rouge � l�vres �carlate.
En s'admirant devant le miroir, elle se trouvait un air... lubrique,
du plus bel effet. Elle �tait belle � faire bander un c�nobite.
Son cul blanc contrastait bien avec le rouge des l�vres.
C'est lui, qui lui avait offert ce rouge mystique. Un Saint Laurent,
dont la couleur s'appelait officiellement "jeu d'attraction".
Ca le rendait litt�ralement raide-dingue,
si elle embrassait sa verge, en y laissant des traces rouges,
ou... si elle prenait son gland zinzolin dans sa bouche.
Il aimait la regarder faire et il frissonnait
quand il la voyait gober enti�rement le gland
et le faire dispara�tre entre ses l�vres joliment soulign�es.
Une copine lui avait dit: "- Non, mais c'est un tel clich�!
Une d�n�gation de la f�minit� presque!"
"- Oui, oui, ma ch�rie, s�rement" avait-elle r�pondu en riant.
Sauf que lui... il en redemandait chaque fois.
Ses l�vres �carlates le menaient par le bout de sa verge.
Oh, le ping de la messagerie... vite, vite!
C'est fou, comme chaque semaine,
chaque mercredi apr�s-midi, invariablement,
apr�s avoir laiss� sa voiture dans le petit parking en bas de la rue,
une sorte d'impatience le gagnait.
La rue �tait assez escarp�e, il arrivait en haut,
toujours vaguement essouffl�. L� d�j�, il envoyait son message:
"Je suis au coin de la rue, je serai l� dans deux minutes."
Et ces deux minutes de marche, il les faisait durer.
Il aimait l'imaginer, belle, d�sirante,
avec une nouvelle tenue sexy � souhait,
et cette bouche, mon Dieu! Cette bouche si rouge!
Elle �tait tellement dou�e pour les pipes.
Tout simplement, elle aimait vraiment le sucer.
Ce qui revenait au m�me.
Alors, comment l'attendra-t-elle aujourd'hui?
Une fois, il l'avait trouv�e d�goulinante, en levrette sur le lit,
un joli plug pos� bien en �vidence sur le matelas.
Quand il s'�tait approch�, elle avait juste dit:
"remplis-moi". Et il avait pris plaisir � le faire.
D'abord, le plug et ensuite sa verge.
Une autre fois, elle �tait allong�e, alanguie sur le dos,
les genoux relev�s, entr'ouverts, en train de se toucher paresseusement.
Il pouvait voir sa vulve luisante, ses grandes l�vres gonfl�es,
avec une peau plus sombre, enti�rement lisse.
L�cher tous les recoins, encore et encore,
avant qu'elle ne lui ordonne de sortir sa verge dure, car elle voulait la voir.
Il s'�tait remis debout l�, devant elle.
Il avait enlev� son polo, sa ceinture,
il avait juste d�boutonn� son jeans, abaiss� son boxer
pour lui donner � voir l'objet de sa convoitise.
Elle avait litt�ralement bondi, f�line,
elle l'avait repouss� pour le faire reculer et pour l'asseoir dans le fauteuil.
Et sans attendre, elle vint s'empaler sur lui,
les jambes bien �cart�es, pos�es sur les accoudoirs.
Elle se soulevait � la force des bras, en frottant ses seins contre son torse.
Il aimait sentir ses t�tons durs sur sa peau. Il avait envie de les pincer, fort...
Mais ses mains �taient d�j� pleines de son cul rond et lourd.
Assise sur lui, son bassin avait un mouvement de bascule.
Elle cambrait le dos � outrance, elle cherchait le frottement du gland
contre un endroit bien pr�cis de son vagin.
Quand elle eut trouv� enfin le bon angle,
elle l'astiqua ainsi, avec un r�le sourd dans la voix.
On aurait dit une fauvette en train de zinzinuler.
Dans ses jouissances, elle avait un c�t� tellement ind�cent.
Sans oublier le jour o� il l'avait trouv�e � quatre pattes,
par terre, juste devant la porte,
avec une laisse d�pos�e sur le plancher, � ses pieds.
Elle portait un harnais en cuir noir, assez sophistiqu�,
qui lui serrait le contour des seins, pour les faire ressortir encore plus.
Le bas du harnais esquissait juste le contour d'une culotte l�g�rement trop petite.
Et le derri�re, ainsi encercl�, semblait encore plus rond.
Comme d'habitude, tout �tait enfilable imm�diatement,
� port�e de doigts, de verge ou de langue.
Pour la premi�re fois, il eut envie de lui donner des fess�es.
Ce cul d�nud� semblait les demander.
Alors, il avait ramass� la laisse, pour l'accrocher � l'encoche pr�vue dans la nuque.
Puis, il l'avait promen�e jusqu'au lit. Ainsi, � 4 pattes.
L�, il lui avait demand� de monter sur le lit et de se placer � 4 pattes toujours,
face � lui. "- Ouvre la bouche et attends."
Et l�, il avait pris son temps, pour se d�v�tir.
Pour bander dur, il se masturba m�me un peu devant elle.
Elle attendait la bouche toujours ouverte,
et son regard alternait entre la verge raide et ses yeux � lui.
Peut-�tre pensait-elle qu'il allait �jaculer sur son visage?
C'est l� qu'il eut l'id�e du rouge � l�vres.
Il approcha enfin sa verge de son visage, il tira un peu sur la laisse,
avant d'ajouter: "- Suce!"
Et elle s'empressa de le prendre en bouche.
Debout, face � elle, il l'admirait en train de le sucer.
C'�tait... satisfaisant � regarder.
Puis il admira son dos, sa cambrure et l'arrondi de son cul si blanc.
Et l'envie de la fess�e revint, cette fois plus forte.
Il attendit patiemment, qu'elle prenne un moment de r�pit,
pour l�cher ses bourses, alors il se pencha en avant
pour lui coller une claque sur le derri�re.
Le bruit ou la morsure de la claque la firent sursauter.
Elle leva le regard vers lui et... il attendit la suite.
Pour finir, elle chuchota: "- Encore".
Et le jeu se mit en place tout seul, comme du papier � musique.
Si elle voulait encore une fess�e, alors sa bouche s'enroulait serr�e
autour de son �rection.
Et elle pompait avec entrain un long moment.
Puis, elle attendait sa r�compense sagement.
Alors, il tirait sur la laisse pour qu'elle l�ve la t�te
et le regarde droit dans les yeux, avant de se pencher l�g�rement en avant,
pour lui donner une fess�e bien sonore sur ses fesses d�j� rougies.
Et � la longue, elle avait joui ainsi: �puis�e par la pipe interminable,
et excit�e de plus en plus fort par les fess�es mordantes.
Quand il vit du coin de l'oeil les gouttes couler sur l'int�rieur de sa cuisse,
il lui demanda de descendre du lit,
se retourner dos � lui, se pencher en avant, bras bien tendus contre le bord du lit.
Il lui �carta grossi�rement les jambes, avant de la doigter.
Elle �tait m�re, chaude et l�g�rement odorante.
Il aimait renifler et l�cher sur ses doigts son excitation.
Ensuite, il l'enfourna debout, dru, par derri�re, en tirant parfois sur la laisse.
Quand il eut fini de se vider en elle avec un r�le,
il prit une belle photo de son cul marqu�.
Mais l�... il passa devant la r�ception,
il esquissa vaguement un bonjour press�, puis il prit les escaliers.
Nombre de fois o� il avait failli sauter les marches deux par deux,
mais il se disciplinait � ne pas le faire.
Dans l'enthousiasme, il l'avait fait au tout premier rendez-vous
et c'est vrai qu'il �tait arriv� tout essouffl�, un peu ridicule peut-�tre?
Elle l'avait gentiment repouss� dans le couloir, en ironisant:
"- Mais quelle entr�e magistrale!" Le genre d'antiphrase qui fout un peu la honte.
"- Non, non, non... tu refais ton entr�e, et mieux que �a!"
Evidemment, elle avait bien raison. Il vaut mieux soigner son entr�e.
Enfin devant la porte, il prit d'abord 3 grandes respirations.
Calmement. Puis, il fit glisser la carte contre la serrure.
Il entra dans la chambre, �moustill�, tr�s curieux de la surprise.
Mais o� �tait-elle? Tiens, elle �tait introuvable, elle n'�tait nulle part.
Ni dans la chambre, ni dans la salle de bain.
Une sorte de panique commen�ait � poindre.
En cherchant bien, il finit par trouver le petit mot
que... sa femme avait griffonn� sur un bout de papier, laiss� sur la table de nuit.
"Ch�ri, Etienne a encore mordu la petite Elsa.
Je vais vite le chercher � l'�cole, mais ne t'inqui�te pas
je me suis arrang�e, je le d�pose en vitesse chez la nounou et j'arrive, mon amour.
Attends-moi tout nu, �rig�... caresse-toi, fais-toi plaisir
parce que moi, quand je reviendrai, je meurs d'envie de te sucer."
L�g�rement d��u, il remis le petit mot sur la table de nuit,
et il vit enfin, juste du coin de l'oeil, la culotte nonchalamment pos�e sur l'oreiller.
Il s'en empara et il prit plaisir � la renifler.
***
Vous avez �cout� D�ferlante, le podcast du d�sir.
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